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1 février 2023

Halte au Feu ! (et mort aux c.. !) par Madame Caroline GALACTEROS Présidente de GEOPRAGMA

Halte au Feu !

 

(et mort aux c.. !)

 

CHAR UKRAINIEN EN FLAME

 

Jan 31, 2023Geopragma11 CommentsArmementsBillets du LundiEuropeFrancePolitique et Relations internationalesRussieSécurité-DéfenseStratégie GlobaleUkraineOTANRussie

 

Billet du lundi 30 janvier 2023 rédigé par Madame Caroline Galacteros, Présidente et membre fondatrice de Geopragma.

 

Il ne s’agit plus d’une « Opération militaire spéciale » mais d’une véritable guerre. Les objectifs en sont étendus et les moyens aussi. Considérablement. Moscou a pris le mors aux dents devant l’ampleur du soutien occidental au malheureux proxy ukrainien dont le Kremlin a aussi sous-estimé l’héroïsme des troupes et le nationalisme de la population au printemps dernier.

La leçon a été vite apprise, et l’armée russe a connu en quelques mois une véritable remontée en puissance et efficacité dans tous les domaines. Désormais, Vladimir Poutine, pragmatique fataliste exaspéré par les mensonges de « l’Occident collectif » n’a d’autre choix pour sauver la face que d’aller au bout de l’aventure. D’autant qu’il gagne sur le terrain. Les Américains le savent mais préfèrent sacrifier sans vergogne les Ukrainiens jusqu’au moment où ils pourront leur dire qu’ils ont tout essayé mais qu’il leur faut en rabattre et négocier. Plus on attend plus cette négociation sera douloureuse et l’amputation territoriale importante. On peut continuer à le nier, à s’en indigner, à trouver cela inadmissible, à préférer la fuite en avant mais c’est ainsi. Peut-être aurait-on dû, le 17 décembre 2021, lorsque Vladimir Poutine adressa à Washington, l’Otan et l’UE, des projets de traité sur la refondation de la sécurité en Europe, prendre la peine de les lire au lieu de les lui jeter à la figure.

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Dans cette affaire, un an plus tard, ce n’est pas l’ours russe qui est blessé mais l’aigle américain et les moineaux européens. L’Ukraine a perdu depuis des mois déjà ce conflit et, à moins d’engager l’OTAN (avec tous les aléas politiques et militaires que cela comporte) dans un affrontement ouvert avec la Russie, Kiev ne pourra, pour de multiples raisons et d’abord pour des questions d’effectifs et d’armements, renverser le rapport de force.

Il faut donc sortir du mensonge irresponsable dans lequel nous entretenons, notamment en France, les peuples européens sur « la victoire ukrainienne » et « la débâcle russe » et commencer à traiter le drame à hauteur du réel et du possible. Les Mediaş Main Stream mais aussi des figures militaires il est vrai de second ordre, portent à cet égard dans notre pays une très lourde responsabilité. Ce n’est pas seulement de l’indigence informationnelle, c’est de la propagande pure et dure. Tout cela pour complaire, dans ce qu’ils s’imaginent être une unité nationale contre la barbarie russe, à des pouvoirs politiques eux-mêmes en plein déni de réalité et bien peu familiers de ce que signifie la guerre. Volontairement sourds et aveugles aussi, devant ce que la Russie et une bonne partie du monde pensent de l’impérialisme occidental à l’heure des nouveaux équilibres de puissance et d’influence : obsolète, illégitime et stupidement belliqueux face à la multipolarité du monde.

Au lieu de crier à « l’esprit de Munich », aux « réseaux du Kremlin en Europe », à « la Cinquième colonne complotiste », et même carrément d’appeler à une chasse aux sorcières de l’Etat digne du pire maccarthysme, quand des voix de tous bords politiques s’élèvent pour appeler à enrayer au plus vite cette escalade mortifère et inutile (et à imaginer des pourparlers sérieux sans préconditions à partir de l’état des forces sur le terrain avant qu’il ne s’aggrave davantage pour Kiev), j’ose leur donner un conseil : qu’ils prennent donc des cours accélérés d’anglais et se donnent la peine de s’informer ailleurs qu’auprès de l’état-major ukrainien. Qu’ils aillent écouter non seulement les informations officielles de Kiev, mais celle de Moscou, qu’ils s’intéressent aussi au contexte global de ce conflit en Europe, à ce qui se dit et se décide à Pékin, New Dehli, Téhéran, Ryad, Ankara, Bakou, le Caire, et même à Berlin ou Rome ! Qu’ils fassent des liens et changent le petit bout de leur lorgnette pour un grand angle. Surtout, qu’ils prennent enfin le temps de suivre sur…

Youtube, la bonne demi-douzaine d’anciens militaires presque tous américains ou britanniques, tous anciens du renseignement, qui chaque jour expliquent par le menu ce qui se passe véritablement sur le terrain mais aussi au plan diplomatique mondial.

 

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La Russie a préféré la réprobation occidentale au risque de voir son existence même mise en danger par l’installation de base OTAN à sa frontière directe. Cela fait plus de 15 ans qu’elle a exprimé à d’innombrables reprises et dans toutes les enceintes, ses préoccupations sécuritaires. Les stratèges américains le savent parfaitement et s’en sont servi pour la poursuite de leurs objectifs propres que j’ai déjà à maintes reprises expliqués, bien moins bien qu’un H. Kissinger ou même qu’un G. Friedman.

L’escalade en cours rend chaque jour moins improbable un ultime avertissement russe touchant directement un pays de l’OTAN et donnant le signal d’une curée généralisée à l’issue aléatoire ou apocalyptique, considérant la supériorité technologique russe en matière d’armes hypersoniques. Qu’attend -t-on pour se réveiller et dire stop ?

Il est une autre supercherie sur laquelle je souhaite revenir, car elle est gravissime du point de vue européen. Elle se situe au plan des valeurs de liberté de tolérance, de démocratie et d’égalité qui forment le socle de l’Europe d’après-guerre et de son surplomb « moral » revendiqué. Le chœur des bellicistes enragés qui vocifèrent leur haine de la Russie le font au nom de ces mêmes « valeurs » que l’on a peine à associer au pouvoir ukrainien actuel, qui a interdit partis politiques et Mediaş d’opposition sans parler de la langue russe. Pire, il a intégré depuis des années dans ses forces des milices ultranationalistes dont les discours, rituels et emblèmes témoignent de l’empreinte omniprésente d’une idéologie de sinistre mémoire aux filiations indicibles. Au nom des droits de l’homme et de la liberté, l’Europe qui se veut pacifiste et éclairée, arme et finance un pouvoir miné par un anti-slavisme forcené aux relents suprémacistes. Cette inversion des valeurs devient indéfendable mais est noyée par l’invasion du territoire ukrainien par les forces russes, aussi inexcusable qu’inévitable. De l’aveu même de plusieurs gouvernants occidentaux et ukrainiens, cette guerre a pourtant été voulue et préparée. Une guerre de l’Otan contre la Russie, de l’Occident contre une grande partie du reste du monde dont l’Ukraine n’est que le proxy volontaire et son peuple la victime sacrificielle.

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C’est une guerre existentielle, mais pas seulement pour la Russie. C’est l’avenir du monde et des lignes de forces planétaires qui se jouent sur le sol de ce pays charnière pour la sécurité en Europe. Une sécurité que chaque palier de l’escalade ruine un peu plus. Il s‘agissait de couper la Russie de l’Europe une fois pour toutes. C’est fait. Il s’agissait de placer l’Europe sous dépendance gazière américaine. C’est fait. Aucun dirigeant européen n’a trouvé à redire au sabotage des gazoducs NS 1 et 2. Le socle de la puissance industrielle allemande n’est plus mais Berlin se tait. Cette attitude suicidaire de l’Europe est proprement délirante. Notre dogmatisme et notre servilité n’ont plus de limites. Nous sommes désormais en première ligne d’un affrontement que Moscou ne peut plus éviter et on y va, la fleur au fusil, tout en expliquant que nous ne sommes pas cobelligérants. Voyage en Absurdie.

Désormais, le pot aux roses vacille. Face à une réalité militaire trop longtemps tronquée défigurée par les nécessités de la propagande, les comploteurs qui dénoncent depuis un an avec aplomb le complotisme des trolls du Kremlin paniquent devant l’imminence du dévoilement de la vérité. Il faut faire retomber la pression. Retrouver un semblant de dialogue. Mais la confiance est totalement partie du côté russe et nous faisons tout pour que Moscou ne le souhaite pas, d’autant que la Russie est actuellement en position favorable et donc va poursuivre au moins jusqu’à la sécurisation de ses gains officiels (les 4 oblasts) et l’assurance que Kiev ne pourra soutenir dans le temps sa guerre d’attrition.

L’Amérique ne peut l’emporter et a déjà perdu mais veut maintenir à tout prix l’illusion d’une victoire morale et politique possible. L’Europe suit en ordre dispersé et va tout perdre. La France n’a rien compris et encore moins rien voulu comprendre. Nous avons méprisé nos atouts relatifs, renoncé à faire un pas de côté. Comme d’habitude, c’est en suivant une route qui n’est pas la nôtre que nous avons perdu notre chemin.

La haine domine l’intelligence (de situation mais pas seulement) par l’intolérance et le mensonge. C’est l’Ukraine qui est en morceaux qui sera probablement de fait divisée. C’est son peuple qui souffre de la folie d’un gouvernement qui lui avait promis la paix avec la Russie et n’a fait que fomenter la guerre. C’est la jeunesse Ukrainienne qui, quand elle n’a pu s’enfuir à temps, est sacrifiée et envoyée au front sans expérience dans des assauts désespérés qui veulent masquer au monde le rapport de force sans appel défavorable et pomper les milliards américains et européens pour remplir les poches d’une clique ultra corrompue aux relents d’idéologie fasciste. Ne comprenons-nous pas que c’est indéfendable, que l’anti-slavisme éructant et ultraviolent des milices versées dans les forces ukrainiennes entretenues depuis des décennies par les services occidentaux au cours de la guerre froide, puis réveillées, payées, formées armées depuis 2015 par l’OTAN elle-même, ne sont pas là pour sauver l’Ukraine mais pour la sacrifier à la volonté américaine d’affaiblir la Russie, de la couper à jamais de l’Europe et, dans les plus fous fantasmes, de parvenir enfin à la mettre en coupe réglée et à la piller comme cela avait été si magistralement commencé dans les années 90 ? C’est un éléphant dans la pièce que nous faisons mine d’ignorer. Il peut nous écraser.

 

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La guerre en Ukraine, la vérité est bien plus
sobre : L’OTAN a déjà perdu la guerre
contre la Russie.
Voici comment nous le savons :

 

 

Alors que les médias de propagande prostitués prétendent de manière absurde que la Russie bat en retraite et que les forces de l’OTAN gagnent la guerre en Ukraine, la vérité est bien plus sobre : L’OTAN a déjà perdu la guerre contre la Russie. Voici comment nous le savons :

Une guerre terrestre contre une grande puissance militaire est un combat de longue haleine qui nécessite la dépense soutenue d’énormes quantités de munitions : Obus d’artillerie, roquettes, missiles, cartouches pour armes légères, etc.

Pour fournir ces munitions, une force de combat doit être soutenue par une solide infrastructure de fabrication de munitions ou disposer d’énormes stocks capables de soutenir la guerre pendant que les réserves sont épuisées. Les États-Unis n’ont ni l’un ni l’autre. Ils ne disposent pas de stocks suffisamment importants ni d’une infrastructure de fabrication de munitions capable de suivre le rythme de la Russie, qui a parfois dépensé jusqu’à 20 000 cartouches d’artillerie par jour. (Remarque : l’infrastructure de munitions existante aux États-Unis ne peut même pas produire autant de cartouches en un mois complet de production…)

Considérez cet article récent de Breitbart.com : Endless Arms Flow to Ukraine Raises Worry over U.S. Military Readiness Against China, qui prévient que les munitions guidées de précision américaines seraient épuisées en une semaine seulement :

Une analyse d’un groupe de réflexion récemment publiée avertit qu’en l’état actuel des choses, les États-Unis seraient à court de munitions à longue portée et à guidage de précision dans une guerre avec la Chine au sujet de Taïwan en moins d’une semaine – un problème que l’auteur Seth Jones a qualifié de « poubelle vide ».

« Les États-Unis ont été lents à réapprovisionner leur arsenal, et le DoD n’a mis sous contrat qu’une fraction des armes qu’il a envoyées en Ukraine », a écrit Jones, vice-président senior du Center for Strategic and International Studies (CSIS).

Les États-Unis manquent de matières premières et de main-d’œuvre pour faire fonctionner des usines de munitions à grande échelle.
Plus important encore, pour fabriquer de telles munitions, même si vous disposez de l’infrastructure nécessaire pour les produire, vous devez disposer des éléments suivants 1) des matières premières (métaux, circuits imprimés, fibres de coton, etc.) et 2) une main-d’œuvre suffisamment instruite et motivée pour travailler dans des usines.

Si vous n’avez jamais entendu parler de la fibre de coton, sachez qu’il s’agit d’un composant essentiel à la fabrication des munitions d’artillerie. La source principale est la Chine, et les exportations chinoises de linters de coton ont actuellement neuf mois de retard, ce qui perturbe la fabrication de munitions en Allemagne. Comme le rapporte Nikkei Asia :

 

Les États-Unis ne disposent pas d’une production nationale de matières premières ni d’une main-d’œuvre nationale fiable et instruite. Les jeunes Américains, hommes et femmes, qui auraient pu traditionnellement travailler dans les usines d’armement ne veulent plus travailler du tout. L’éthique du travail en Amérique a été complètement détruite et la plupart des jeunes américains s’attendent à recevoir l’argent du revenu de base universel / l’argent du stimulus et à fonctionner uniquement comme des consommateurs dans la société, et non comme des producteurs.

Le Pentagone a récemment annoncé qu’il allait augmenter la production d’artillerie de 500 %, espérant atteindre une production de 90 000 cartouches d’artillerie par mois. Cette annonce a été largement relayée par les médias, mais ce qui n’a pas fait les gros titres, c’est le fait que les usines nécessaires à la production de ces munitions n’existent pas et doivent être construites de toutes pièces. Le processus de construction des usines prendrait deux ans, en supposant que tout se déroule comme prévu (ce qui n’est jamais le cas). Une fois ces usines construites et testées, d’autres munitions pourraient être produites. Le plus probable est que cela commence à apparaître à la fin de 2025 ou en 2026. Le problème avec ce plan, bien sûr, est que la Russie vaincra probablement l’Ukraine cette année (en 2023), parce qu’elle a la capacité de produire ces niveaux élevés de munitions dès maintenant.

En d’autres termes, les États-Unis et l’OTAN pourraient vraisemblablement augmenter la production de munitions pour mener une guerre en 2025 ou 2026, mais pas en 2023 ni même en 2024. Cela signifie que la Russie dispose d’une énorme fenêtre d’opportunité pour vaincre l’Ukraine et mettre l’OTAN hors d’état de nuire, bien avant que l’OTAN ne puisse rassembler les munitions nécessaires pour représenter une réelle menace pour les forces militaires russes.

Il faudra des années pour augmenter la production des missiles Javelin… et leur conception date de plusieurs décennies
Les missiles antichars Javelin, dont les stocks américains ont été épuisés parce que la plupart d’entre eux ont été expédiés en Ukraine, devraient également être produits par Lockheed Martin. Mais le directeur général de Lockheed Martin ne semble pas avoir une idée solide du temps qu’il faudra pour produire seulement 4 000 par an – une petite fraction de ce qui serait nécessaire pour mener une guerre terrestre avec une grande puissance militaire comme la Russie. Comme le rapporte DefenseNews.com :

Lockheed Martin a l’intention de presque doubler la production de missiles antichars Javelin, en la faisant passer de 2 100 à 4 000 par an, mais il faut que la chaîne d’approvisionnement  » monte en puissance « , selon son directeur général.

Alors que les États-Unis envoient des Javelins de leurs propres stocks militaires à l’Ukraine pour lutter contre la Russie, Lockheed augmente la production de Javelin ? mais atteindre son objectif pourrait prendre jusqu’à deux ans, a déclaré Jim Taiclet dimanche dans l’émission « Face the Nation » de CBS.

« Nous nous efforçons de porter la production à 4 000 unités par an, et cela prendra plusieurs mois, voire deux ans, parce que nous devons faire en sorte que notre chaîne d’approvisionnement s’accélère également », a déclaré M. Taiclet. « Nous pensons pouvoir presque doubler la capacité dans un délai raisonnable ».

S’agit-il donc de mois ou d’un an ? Et même une fois cet objectif de 4 000 par an atteint, cela ne résout pas le problème que les systèmes antichars Javelin sont basés sur une conception vieille de plusieurs décennies qui les rend moins impressionnants contre les chars russes modernes.

Un autre problème est que l’inventaire actuel des missiles Javelin est largement périmé, ce qui en fait des ratés. Souvent, ils ne déclenchent pas leurs propulseurs principaux et retombent simplement au sol. C’est parce qu’ils contiennent des batteries internes, et que celles-ci ont perdu leur jus.

Avertissement de blasphème pour cette vidéo montrant des échecs de Javelin :

Selon Defense News, chaque munition antichar Javelin est fabriquée avec 250 microprocesseurs. Beaucoup d’entre eux proviennent de l’extérieur des États-Unis, c’est-à-dire probablement de Taïwan ou d’autres pays asiatiques. Taïwan est sur le point de faire face à une attaque de la Chine qui inclura presque certainement un embargo naval contre la nation insulaire, bloquant les exportations de microprocesseurs. Cela signifie que la chaîne d’approvisionnement de la production américaine de Javelin s’arrête.

Étonnamment, personne au Pentagone n’a pris la peine de sécuriser les sources domestiques pour les pièces critiques des munitions.

Et il est trop tard pour créer une toute nouvelle chaîne d’approvisionnement dans un avenir proche, car des changements aussi radicaux nécessitent de nombreuses années.

La Russie, en revanche, a été contrainte de développer sa chaîne d’approvisionnement nationale depuis au moins 2014, date à laquelle de graves sanctions économiques ont été imposées à la nation. Les sanctions de 2022, qui ont coupé la Russie du système de transactions financières SWIFT, ont en outre contraint la Russie à s’appuyer presque exclusivement sur des approvisionnements nationaux en minerai de fer, acier, aluminium, cuivre, puces électroniques, poudre à canon et autres. En conséquence, la Russie a au moins une décennie d’avance sur les États-Unis en termes d’approvisionnement national en composants de munitions.

En d’autres termes, il faudrait aux États-Unis une décennie pour reconfigurer leurs chaînes d’approvisionnement militaire au point de pouvoir commencer à fabriquer de manière fiable de grandes quantités de munitions sur leur territoire. Mais avant que cela ne devienne une réalité, les manifestants écologistes essaieront de fermer les mines nécessaires à l’acquisition de matières premières au niveau national : Cobalt, cuivre, aluminium, nickel, magnésium et ainsi de suite.

 

En effet, les États-Unis d’Amérique ne sont plus capables de produire des munitions à l’échelle nécessaire pour mener une guerre soutenue avec une quelconque puissance militaire sérieuse : la Chine, la Russie ou autre. Les États-Unis et l’OTAN ont déjà perdu cette guerre avec la Russie avant même qu’elle ne s’intensifie. Il n’existe tout simplement pas la chaîne d’approvisionnement et l’infrastructure de fabrication nécessaires pour mener une telle guerre dans le monde réel. C’est pourquoi le département d’État américain s’appuie sur la propagande des « fake news » et les campagnes médiatiques pour tenter de convaincre le peuple américain qu’il est en train de gagner une guerre qu’il est en réalité en train de perdre gravement.

Comme nous l’avons vu au début de l’occupation de la Maison Blanche par le régime de Biden, l’armée américaine ne peut même pas combattre les talibans sans faire demi-tour et s’enfuir, laissant derrière elle des milliards de dollars d’équipement qui sont instantanément tombés dans les mains de groupes terroristes soutenus par l’État.

Si l’Amérique ne peut pas combattre les talibans, comment pouvons-nous espérer combattre la Russie ?

Rien de ce que j’ai écrit ici n’entre dans les détails des missiles hypersoniques techniquement supérieurs de la Russie, de ses ICBM à rentrée multiple, de ses systèmes de défense anti-aérienne de classe mondiale, de son artillerie supérieure, de ses drones, de sa guerre électronique, etc. Même si les États-Unis et l’OTAN affrontaient la Russie char contre char, artillerie contre artillerie, la Russie gagnerait toujours car son matériel est tout simplement plus efficace et plus fiable.

Tel est le résultat du Pentagone américain qui devient « wok » et se concentre sur les soldats transsexuels, les soutiens-gorge gonflables pour hommes et les soirées de travestissement en talons hauts au lieu de se concentrer sur la construction d’une armée capable de projeter sa puissance et de vaincre ses ennemis géopolitiques. Sous la direction idiote des hauts gradés du Pentagone, l’armée américaine d’aujourd’hui n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était même pendant la Tempête du Désert. Et à l’époque, les Irakiens n’avaient pas d’armes nucléaires, de missiles hypersoniques, de drones kamikazes et de systèmes de défense anti-aérienne haut de gamme.

Je le répète : les USA et l’OTAN ont déjà perdu cette guerre avec la Russie. C’est déjà fait. Maintenant, il ne reste plus qu’à la Russie à effectuer le travail pénible de la guerre pour atteindre leurs objectifs militaires. La seule façon pour la Russie de perdre ce conflit est qu’elle choisisse de reculer et de se retirer.

Cette issue semble incroyablement improbable.

Écoutez mon analyse complète sur tout cela et plus encore dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui :

  • Damar Hamlin se prostitue à l’American Heart Association, qui prône les vaccins.
  • L’AHA est un groupe de façade de Big Pharma qui promeut les statines et les vaccins.
  • Les libéraux d’Hollywood menacent d’ARRÊTER de faire des films sur le malaise tant que tout le monde ne sera pas vacciné.
  • CHER HOLLYWOOD : NOUS ACCEPTONS VOS CONDITIONS !
  • Pourquoi les films d’Hollywood sont nuls : Remplis de thèmes WOKE et scénarisés par des idiots.
  • MANGEZ PLUS D’INSECTES : Une épicerie suédoise propose des recettes à base de vers de farine.
  • Les États-Unis se mobilisent pour envoyer des MILLIERS de chars en Ukraine
  • Une escalade avec la Russie conduira à l’anéantissement nucléaire de l’Occident
  • Medvedev prévient les pays de l’OTAN qu’ils seront « réduits en poussière » si l’escalade se poursuit.
  • Les pays de l’OTAN ont des années de retard dans la production industrielle nécessaire pour mener une guerre.

 

  • Les forces américaines et britanniques seront à court de munitions dans quelques semaines.
  • L’Autriche et la Hongrie déclarent qu’il n’y a pas d’armes pour l’Ukraine.
  • Les États-Unis sont laissés sans défense contre la Chine, il ne reste aucune défense nationale.
  • Les Américains qui gagnent 100 000 dollars vivent toujours d’un chèque à l’autre.
  • Un gestionnaire de fonds spéculatifs met en garde contre un crash de « méga-bombe à retardement ».
  • La plupart des villes les plus dangereuses du monde sont situées aux États-Unis.
  • Le Trésor américain affirme qu’aucun fonds américain n’a été détourné en Ukraine… sérieusement.
  • Achats colossaux d’or par les banques centrales, des milliers de tonnes en 2022
  • Une roche spatiale géante contient des trillions de dollars de minéraux (et alors ?)

liens sources vidéos

Brighteon: Brighteon.com/343f42a4-1c9a-4665-adcd-88652702cb61

Rumble: Rumble.com/v27ysou-situation-update-feb-1-2023-its-too-late-for-nato-to-win-the-war-against-ru.html

Bitchute: Bitchute.com/video/B6N2ybaJyfcb/

Banned.Video: Banned.video/watch?id=63da782cf246b125edf47b02

iTunes podcast: Healthrangerreport.com/situation-update-feb-1-2023-its-too-late-for-nato-to-win-the-war-against-russia

https://www.brighteon.com/embed/343f42a4-1c9a-4665-adcd-88652702cb61

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