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POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com

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15 avril 2024

MESSE DE L'UNION NATIONALE DES COMBATTANTS EN MEMOIRE DE TOUS NOS SOLDATS FRANCAIS MORTS AU CHAMPS D'HONNEUR POUR QUE VIVE LA FRANCE EN L'EGLISE DU VOEUX DE NICE SAMEDI 14 AVRIL 2024

 

Comme chaque année à la même date en avril sous un beau et chaud soleil de printemps a été célébré une grande messe en souvenir pour tous nos soldats Français tombés au champs d'honneur durant de très nombreuses guerres pour que vive la FRANCE !   

 

C'est à l'appel des différentes sections de l'UNION NATIONALE DES COMBATTANTS que réunissaient de très nombreux anciens combattants des différentes sections de l'Armée Française venus des quatre coins du département des Alpes-Maritimes.  

 

Pour l'occasion durant cette belle messe réunissant un nombreux public venu assister à ce souvenir de mémoire pour tous nos soldats Français qui ont sacrifié leur vie pour que vive la France, plus de 37 porte-drapeaux étaient présents ainsi que de très nombreux présidents d'associations d'anciens militaires.

 

On a pu aussi remarquer entre autre les personnalités aussi bien civiles que militaires qui étaient présentes à cette belle manifestation de commémoration du souvenir à savoir :

 

* Christian VIALLE Adjoint au Maire de Villeneuve-Loubet ;

* Colonel Marie-Christine FIX-VARNIER Adjointe à la Mairie de Nice Déléguée aux anciens combattants et représentant le Maire Christian ESTROSI ;

* Colonel Guy GELLES DUCARME Ancien Adjoint de la ville de Nice et représentant l'ancien Sénateur-Maire de Nice Jacques PEYRAT ;

* Bernard ASSO Professeur de Droit Civil et Pénal 

* Alain VALOT et son épouse Président de l'U.N.C NICE ;

* Capitaine Parachutiste François RABUT de l'UNPN ;

* Général Georges CHOUX de la Société des Membres de la Légion d'honneur ;

* Gérard MATELOT Président local de la Société Nationale des membres de la Médaille Militaire ;

* Daniel MATHIEUX Président de l'Association culturelle du PANACHE BLANC NAPOLEONIEN

etc... etc ... etc ...

 

Gérard Diaconesco

 

 

PHOTOS PRESSE ALAIN GAFFET - AGENCE PRESS INTERNATIONAL DIACONESCO.TV - NICE 14.04.2024 

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14 avril 2024

LA FRANCE S'ENGAGE-T-ELLE A CAUSE DE MACRON VERS UN CONFLIT MONDIAL QUI RISQUE D'ÊTRE DANGEREUX POUR NOTRE PAYS ?

Un combat naval devient de plus en

 

plus probable, selon un contre-amiral français

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Par Alexandre Lemoine

Les forces navales françaises ont commencé à se préparer à une guerre probable. Cela est dû au fait que Paris modifie le concept d’utilisation de ses forces navales. 

C’est ce qu’a déclaré le contre-amiral français Jacques Mallard, qui dirige le groupe aéronaval, dans une interview accordée à Politico

Selon lui, auparavant, la marine française se préparait à lutter contre les pirates, les trafiquants de drogue et les pêcheurs braconniers, c’est-à-dire à mener diverses opérations policières. C’est ce que Jacques Mallard faisait lorsqu’il a commencé à servir dans la marine dans les années 1990. Désormais, le commandement se concentre sur un conflit armé probable avec un adversaire puissant qui tenterait de détruire la flotte française. 

«Un combat naval devient de plus en plus probable. Nous passons d’un monde où nous étions assez libres de faire ce que nous voulions à un monde où nous ressentons une menace sur une base plus régulière… Nous nous préparons maintenant à d’autres missions, notamment à ce que nous appelons la guerre de haute intensité», a expliqué le contre-amiral. 

 

Jacques Mallard a ajouté que pour la France, les actions de la Russie, de l’Iran et des rebelles houthis au Yémen étaient une question clé. Répondant à une question sur la Chine, le contre-amiral a souligné que Paris ne voyait pas Pékin comme une «menace immédiate», ajoutant que «la France ne suit pas une logique bipolaire». 

Plus tôt, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a déclaré que la Russie représente une menace pour la France et ses alliés de l’OTAN. Il n’a pas fourni d’exemples spécifiques d’attaques potentielles de la Russie, mais a ajouté qu’il décrivait des cas réels. 

La France est le seul pays de l’UE à posséder un porte-avions nucléaire, le Charles de Gaulle, qui embarque également des armes nucléaires. Il est le vaisseau amiral du groupe aéronaval plus large qui comprend des sous-marins nucléaires, des frégates et des chasseurs Rafale. 

Il est prévu que le groupe aéronaval français entame une mission en Méditerranée dans les jours à venir.

Le vice-amiral français Didier Maleterre, du commandement maritime allié (Marcom), a fait savoir hier que la France transférerait pour la première fois son porte-avions à propulsion nucléaire Charles de Gaulle sous contrôle opérationnel de l’OTAN. «C’est la première fois que l’on place le porte-avions nucléaire Charles de Gaulle et l’ensemble de son escorte, dont un sous-marin nucléaire d’attaque [SNA], sous le contrôle opérationnel de l’OTAN pendant 15 jours (du 26 avril au 10 mai) à l’occasion d’une activité de vigilance opérationnelle, ce qui est nettement plus significatif qu’un exercice», a expliqué l’officier.

source : Observateur Continental

 

Le porte-avions français va passer sous

commandement de l’OTAN, une première

 

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PPar Tyler

L’OTAN dirigera l’un des principaux bâtiments de la flotte française pendant une mission de 15 jours en Méditerranée. Illustration de l’engagement de Paris auprès de cette organisation pour faire face à la fameuse menace russe.

Cette mission regroupant des bâtiments de plusieurs nations (États-Unis, Grèce, Espagne, Portugal) va se dérouler du 26 avril au 10 mai sous le commandement de l’état-major maritime StrikforNato, comptant quinze nations dont la France, et dirigée par un vice-amiral américain, a annoncé jeudi l’état-major des armées.

«C’est la première fois que l’on place le porte-avions nucléaire Charles-de-Gaulle et l’ensemble de son escorte, dont un sous-marin nucléaire d’attaque, sous le contrôle opérationnel de l’OTAN pendant 15 jours», souligne le vice-amiral français Didier Maleterre, numéro deux du commandement maritime de l’OTAN. Mais «à tout moment on peut récupérer le mandat, et en un claquement de doigts récupérer le commandement national en cours d’opérations si nécessaire», précise le haut gradé.

source : Les Moutons Rebelles

 

Funeste manipulation de Macron

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PPar Arnould22

Macron est sur le point d’envoyer, au nom de la France qu’il réduit à sa personne, 1500 militaires français en Ukraine.

On pourrait penser qu’il le fait pour témoigner de sa fermeté et de sa pugnacité à l’égard de la Russie.

Il mobiliserait nos troupes afin de faire pression sur cette maudite nation rebelle (je me mets à la place du poudré, ce n’est évidemment pas mon opinion), dans le cadre de négociations secrètes en vue d’un accord de paix plus à l’avantage de l’Ukraine.

Il sait que cela est risqué pour nos hommes. Il sait que la Russie peut les expédier dans l’au-delà en quelques minutes, au moyen de missiles inarrêtables, les fameux poignards «Kinjal». Il sait qu’ils ne seront en sécurité nulle part, du moment où ils poseront leurs pieds sur le pays en guerre : la Russie a des agents sur tout le sol ukrainien et, de plus, a mis en place une surveillance aérienne totale du territoire. Il sait qu’ils seront des cibles prioritaires, et que la Russie ne les lâchera pas une seconde, pas avant leur élimination ou leur rapatriement en urgence.

On pourrait supposer que, fort inquiet du sort possible de nos soldats, il soit fermement convaincu que la Russie va les épargner, afin d’éviter une escalade catastrophique en guerre mondiale.

Mais non !

Bien malheureusement pour nos hommes, mille fois NON !!

Bien au contraire, il a déclaré officiellement qu’il n’activerait pas la clause de solidarité de l’OTAN en cas d’attaque russe de nos militaires.

Par conséquent, cela signifie que l’unique raison pour laquelle la Russie pourrait épargner nos compatriotes sur le sol ukrainien n’est plus. L’unique chance de survie de nos soldats a été réduite à néant par notre Naboléon d’opérette.

Macron, de manière officielle, envoie à l’abattoir un régiment entier de nos armées, dans un théâtre d‘opération où ils n’auront absolument aucune chance d’en sortir indemnes.

Cela est pure folie, mais elle a été parfaitement calculée par notre psychopathe en chef.

À ce niveau de réflexion, deux remarques :

  • Quels sont les militaires assez stupides, suicidaires ou lobotomisés pour se faire massacrer au nom de l’insanité terrifiante du microbe qui empoisonne notre pays ?
  • Pourquoi, grand Dieu, pourquoi Macron a-t-il prémédité cette sordide machination ? Quel dessein cache-t- il avec soin ?

La clé de compréhension majeure pour deviner ses intentions est simple : il a une obsession maladive du mensonge, de la manipulation. Il jouit de se jouer des autres, de les dominer, de les humilier, d’en faire ce que bon lui semble.

Il s’apprête, une fois de plus, à tromper le peuple français ; une duperie formidable qui va, de nouveau, les tenir à sa merci.

En effet, nos pauvres soldats sont purement et simplement envoyés à trépas.

Ils vont mourir ou être gravement blessés, pour la plupart. Cela, dans des délais très courts.

Quelle va être la réaction du peuple français, bien programmée par la future attention exclusive de l’ensemble des média de masse portée sur «la fin tragique de nos héros morts au combat au nom de la Liberté» ?

Qu’en pensez-vous ?

La réponse est triviale.

Notre bon peuple va hurler de colère, de peine, de rage et de haine envers Poutine, ce dictateur sanguinaire qui mange nos enfants. Sous le coup d’une émotion gonflée à son paroxysme par une campagne médiatique incessante, ils se convertiront, une fois encore, en une masse informe de moutons abrutis prêts à suivre leur maître.

Macron aura ainsi les mains libres pour déclarer la France en état de guerre.

Il pourra, dès lors, nous priver de tous nos droits et appliquer, sans nul recours possible, l’ensemble des mesures liberticides disponibles prévues dans la loi de programmation militaire.

Nous allons tout perdre et, pire, sans pouvoir se défendre, car pris, enchaînés dans une hystérie collective propre à donner tous les pouvoirs au malade mental suprême auquel une minorité de … – Comment dire poliment ? -, de naïfs vouent une admiration sans borne.

Je nuance : ceux qui vont tout perdre, progressivement, ce sont les Français qui ne se seront pas barrés de ce pays en perdition.

Votre serviteur, de la promotion HEC (2000) du témoin de Macron à son mariage et de l’ex-ambassadeur de la France en Afrique du sud, s’est dépêché, lucide, de faire ses malles il y a quelque temps déjà.

Et je peux vous dire ceci – en toute certitude, parole de zèbre :

Vendez vos actifs français, et tirez-vous au plus vite !

 

14 avril 2024

SERAIT-CE DEJA LA FIN DE LA VOITURE ELECTRIQUE ?

 

La fièvre électrique retombe

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par H16

Ah, les miracles de l’évolution darwienne ! Ils permettent à de petits mammifères de se transformer en géants des mers, à des plantes de développer des mécanismes de défense redoutables et, moyennant un environnement ultra-favorable et chargé de bonnes grosses subventions dodues, de transformer des voiturettes de golf en véhicules électriques familiaux pour jeunes urbains éco-conscients !

C’est ainsi qu’en l’espace de quelques années, une grosse décennie tout au plus, le monde a assisté au développement radical des voitures électriques : poussés par une législation de plus en plus tatillonne contre les moteurs thermiques traditionnels, aiguillonnés par d’alléchantes subventions et autres fléchages fiscaux, les constructeurs automobiles se sont donc employés à produire des modèles de voitures électriques qu’ils ont réussi à écouler auprès d’un public bombardé de propagande favorable à ces nouveaux modes de propulsion.

Malheureusement et comme un récent article dans ces colonnes le mentionnait, le marché commence à s’essouffler. Tout ne se passe pas exactement comme prévu par les politiciens qui ont pourtant misé très gros sur la «transition écologique» : alors qu’on attendait toujours plus de ventes et d’engouement de la part du public pour les véhicules électriques, deux phénomènes sont rapidement apparus.

D’une part, les subventions et autres distributions d’argent gratuit des autres pour aider à l’achat d’un véhicule électrique commencent à coûter fort cher à des économies, notamment européennes, qui ont bien du mal à joindre les deux bouts actuellement. La réduction voire la suppression de ces aides ont largement refroidi les acheteurs potentiels, d’autant que les véhicules électriques sont systématiquement bien plus chers à l’achat que leurs équivalents thermiques.

D’autre part, on arrive lentement mais sûrement à une saturation du marché réel pour ces engins coûteux : les CSP+ de centre-ville sont maintenant à peu près tous équipés et ceux qui ne le sont pas ne le seront probablement jamais. Autrement dit, il va falloir plus que des petits chèques, des bonus et des subventions pour atteindre le gros du marché, les classes populaires et moyennes qui ont un besoin quotidien de déplacements, en province et dans les campagnes.

L’atmosphère est donc à la grimace chez les constructeurs et les vendeurs de véhicules électriques, et les euphémismes rigolos employés par les verdolâtres pour camoufler l’évaporation rapide de l’engouement du public pour ces engins camoufle mal la réalité : les objectifs grotesques d’un abandon total des moteurs thermiques fixés par l’Union européenne d’ici 2030 ne pourront pas être tenus.

Les constructeurs ne s’y sont pas trompés : MercedesAudiHonda, GMNissan abandonnent l’idée de ne plus faire que de l’électrique et ont d’ores et déjà annoncé diminuer leur production de ces motorisations. Même Tesla est obligé de constater que la situation est tout d’un coup nettement plus tendue. Quant aux hybrides rechargeables, les bidouilles marketing des constructeurs se sont vues ce qui laisse présager, là aussi, un net tassement de leurs ventes.

En France, on pourra se dire que l’effondrement des ventes observé ces derniers mois tient beaucoup au renchérissement des coûts de l’électricité. Certains, chafouins, y verront l’illustration d’un marché européen de l’électricité entièrement bâti pour favoriser les voisins allemands (lorsqu’ils disposaient alors de gaz russe bon marché) mais qui aboutit très concrètement à surtaxer les Français même lorsque les tarifs sont redescendus.

C’est probablement en partie vrai, mais ce n’est évidemment pas qu’un mouvement franco-français ; le ralentissement est bel et bien mondial, comme, du reste, l’engouement pour les dernières lubies écologiques : la volonté de certains politiciens dans différents pays européens de mener une véritable guerre contre leurs paysans pour des motifs soi-disant écologiques s’est rapidement heurté à une grogne massive ; l’éolien, qu’il soit en mer ou sur terre, commence à rencontrer une opposition de plus en plus ferme à mesure que des problèmes de gravité croissante se font jour, notamment avec l’un des principaux fabricants de turbines éoliennes qui ont un peu trop tendance à tomber en panne (voire s’enflammer).

Peut-être les contorsions allemandes, affichées comme éco-conscientes et Gaïa-compatibles, ont-elles choqué les observateurs neutres, bien obligés de constater qu’outre-Rhin, on consomme du charbon et du gaz à un rythme croissant et à des prix exorbitants, le tout avec un fort impact en pollution et sur les paysages. Peut-être aura-t-on aussi commencé à noter l’étonnant abattage d’arbres pour faire de l’écologie, comme dans les Ardennes, en Écosse ou en Allemagne

https://i0.wp.com/reseauinternational.net/wp-content/uploads/2024/04/image-61.png?resize=700%2C627&ssl=1

Peut-être.

Mais peut-être y a-t-il aussi un problème plus profond, qui est assez bien résumé dans le schéma suivant :

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Eh oui : pour le moment, indépendamment de leur prix qui, il est vrai, n’a cessé de baisser, les batteries dont on dispose ont une capacité de stockage énergétique particulièrement faible, que ce soit par unité de volume ou par unité de masse. On a beau tortiller les choses dans tous les sens, il faut des centaines de kilos de batteries d’un métal particulièrement inflammable au simple contact de l’eau dans l’air pour parvenir à des autonomies commercialement intéressantes (et encore). Il faut des temps de charge particulièrement étendus (neuf à dix fois plus longs dans le meilleur des cas que les cinq minutes d’un plein de carburant permettant de faire 1000 kilomètres d’un coup) pour un résultat systématiquement inférieur en termes de distance réellement parcourue.

Et si l’on peut jouer sur certains paramètres économiques, ces deux grandeurs physiques (la piètre densité énergétique, et le temps de charge très long) n’ont pour le moment malheureusement pas réussi à s’améliorer sur les dix dernières années dans des proportions permettant de se rapprocher, même vaguement, des performances des moteurs thermiques. Pour rappel, un kg de batterie stocke entre 50 et 70 fois moins d’énergie qu’un même kg de diesel.

Avec les difficultés économiques, la fin de l’argent gratuit et des barrières technologiques nettement plus compliquées à lever que prévu, la fièvre de l’électrique est en train de retomber lourdement et c’est une excellente chose : si les motorisations sont bien maîtrisées, les techniques de stockage et de distribution sont encore très loin de l’être.

Si cette fièvre a existé, c’est d’abord et avant tout parce que l’État et les politiques faussement écologiques y ont contribué en poussant une très mauvaise allocation de capital. Et maintenant vient le temps des factures. La soupe à la grimace promet donc de s’étendre.

source : Hashtable

 

13 avril 2024

REAL ESTATE IMMOBILIARE WITH INTERNET COUNCIL LLC

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Siamo a tua completa disposizione fino all'esito finale del tuo acquisto.

 

* A VENDRE A CANNES 

A VENDRE  TRES BEL  APPARTEMENT T3 DE 3 PIECES DONT DEUX CHAMBRES ET

UN SALON-SEJOUR DE 25 M/2 

A CANNES 06400 QUARTIER BANANE 

Prix de vente 540 000  Euros TTC

SURFACE HABITABLE 61 M/2  

Référence: 1799

Cet appartement est situé dans le quartier Banane de Cannes. Il s'agit d'un quartier central et très prisé, connu pour sa proximité avec la célèbre Croisette et ses magnifiques plages. Vous bénéficierez donc d'un emplacement idéal pour profiter des charmes de la ville.

L'appartement en question dispose de 3 pièces, ce qui signifie qu'il est composé de deux chambres et d'un salon-séjour de 25 m2.

Cette configuration vous offre de l'espace et de la flexibilité pour organiser votre intérieur selon vos besoins et vos préférences

L'appartement est fraîchement rénové.
Vous pourrez profiter d'un intérieur contemporain et confortable, avec des finitions soignées et des matériaux de qualité.

En ce qui concerne la superficie, cet appartement s'étend sur 61 mètres carrés. Cela offre suffisamment d'espace pour vivre confortablement sans se sentir à l'étroit. Les pièces sont bien proportionnées, offrant un équilibre entre espace de vie commun et intimité dans les chambres.

 

IN ITALIAN

IN VENDITA MOLTO BELLO APPARTAMENTO DI 3 LOCALI T3

COMPRESO DUE CAMERE DA LETTO E

UN SOGGIORNO DI 25 M/2

A CANNES 06400 BANANA DISTRICT

 

Prezzo di vendita 540.000 Euro IVA inclusa

ZONA GIORNO 61 M/2

Riferimento: 1799

Questo appartamento si trova nel quartiere Banane di Cannes. Questo è un quartiere centrale e molto popolare, noto per la sua vicinanza alla famosa Croisette e alle sue magnifiche spiagge. Beneficerai quindi di una posizione ideale per goderti il ​​fascino della città.

L'appartamento in questione ha 3 stanze, il che significa che è composto da due camere da letto e un soggiorno di 25 m2.

Questa configurazione ti offre spazio e flessibilità per organizzare i tuoi interni in base alle tue esigenze e preferenze.

L'appartamento è appena ristrutturato.
Puoi goderti un interno contemporaneo e confortevole, con finiture curate e materiali di qualità.

Per quanto riguarda la zona, questo appartamento si estende su 61 mq. Ciò fornisce spazio sufficiente per vivere comodamente senza sentirsi angusti. Le camere sono ben proporzionate, offrendo un equilibrio tra spazio abitativo comune e privacy nelle camere da letto.

 

IN ENGLISH

FOR SALE VERY NICE 3-ROOM APARTMENT T3

INCLUDING TWO BEDROOMS AND

 A LIVING ROOM OF 25 M/2

 

IN CANNES 06400 BANANA DISTRICT

Selling price 540,000 Euros including VAT

LIVING AREA 61 M/2

Reference: 1799

This apartment is located in the Banane district of Cannes. This is a central and very popular district, known for its proximity to the famous Croisette and its magnificent beaches. You will therefore benefit from an ideal location to enjoy the charms of the city 

The apartment in question has 3 rooms, which means that it is composed of two bedrooms and a living room of 25 m2.

This configuration gives you space and flexibility to organize your interior according to your needs and preferences.

The apartment is freshly renovated.
You can enjoy a contemporary and comfortable interior, with neat finishes and quality materials.

As for the area, this apartment extends over 61 square meters. This provides enough space to live comfortably without feeling cramped. The rooms are well proportioned, offering a balance between common living space and privacy in the bedrooms.

 

 

 

*  A VENDRE SUR LES HAUTEURS DE NICE

DU QUARTIER DE FABRON A NICE 06200 

SPLENDIDE APPARTEMENT T3

DE 2/3 PIECES 

Prix de vente  1 200 000 Euros TTC

SURFACE HABITABLE 82 m²

 CUISINE AMERERICAINE TOUTE EQUIPEE

 GRAND BALCON INTEGRE AVEC ACCES

 DIRECT SUR LE TOIT TERRASSE

 AVEC VUE PANORAMIQUE SUR LA MER 

 2 GARAGES POUR VOITURES DANS LA RESIDENCE SECURISEE 

 

Référence: 1789

 

Situé en dernier étage d'une résidence sécurisée avec une rue privée, cet appartement de luxe un cadre de vie idéal pour les personnes en quête de calme et de sérénité. Avec une configuration actuelle de 2 pièces, il est possible de le transformer facilement en 3 pièces sans effectuer de travaux. 

Le grand séjour avec sa cuisine américaine équipée offre un espace convivial pour recevoir vos invités. De nombreux espaces de rangement sur mesure ont été aménagés pour optimiser l'espace et faciliter votre vie quotidienne.

Vous trouverez également deux chambres, dont une équipée de sa propre salle de douche. L'une des salles de douche est également équipée de toilettes. Il y a également un toilette indépendant supplémentaire.

Profitez d'un grand balcon avec barbecue intégré pour des moments de détente en plein air. De plus, un accès direct au toit-terrasse offre une vue panoramique imprenable sur la mer.

Toutes ces prestations de haute qualité sont proposées dans un cadre privilégié et sécurisé.

Vendu avec deux garages.

 

IN ITALIAN 

IN VENDITA SULLE ALTURE DI NIZZA

DAL DISTRETTO DI FABRON A NIZZA 06200

SPLENDIDO APPARTAMENTO T3

2/3 CAMERE

 

Prezzo di vendita 1.200.000 Euro IVA inclusa

ZONA GIORNO 82 m²

CUCINA AMERICANA COMPLETAMENTE ATTREZZATA

AMPIO BALCONE INTEGRATO CON ACCESSO

DIRETTO SULLA TERRAZZA DEL TETTO 

CON VISTA PANORAMICA SUL MARE

2 GARAGE PER AUTO NELLA RESIDENZA SICURO

 

Riferimento: 1789 

Bella vista mare

Situato all'ultimo piano di una residenza sicura con strada privata, questo appartamento di lusso è un ambiente di vita ideale per chi cerca calma e serenità. Con una configurazione attuale di 2 stanze, è possibile trasformarlo facilmente in 3 stanze senza eseguire alcun lavoro.

L'ampio soggiorno con la sua cucina americana attrezzata offre uno spazio accogliente per ricevere i vostri ospiti. Molti vani portaoggetti personalizzati sono stati allestiti per ottimizzare lo spazio e semplificare la vita quotidiana.

Troverai anche due camere da letto, una delle quali ha il proprio bagno con doccia. Uno dei bagni con doccia è inoltre dotato di servizi igienici. C'è anche un ulteriore bagno indipendente.

Goditi un ampio balcone con barbecue integrato per momenti di relax all'aria aperta. Inoltre, l'accesso diretto alla terrazza sul tetto offre splendide viste panoramiche sul mare.

Tutti questi servizi di alta qualità sono offerti in un ambiente privilegiato e sicuro.

Venduto con due garage.

 

IN ENGLISH

FOR SALE ON THE HEIGHTS OF NICE

FROM THE DISTRICT OF FABRON IN NICE 06200

SPLENDID APARTMENT T3

2/3 ROOMS

Selling price 1,200,000 Euros including VA

LIVING AREA 82 m²

FULLY EQUIPPED AMERICAN KITCHEN

LARGE INTEGRATED BALCONY WITH ACCESS

DIRECT ON THE ROOF TERRACE

WITH PANORAMIC VIEWS OF THE SEA

2 GARAGES FOR CARS IN THE SECURE RESIDENCE

Reference: 1789

 

Nice-sea-view

Located on the top floor of a secure residence with a private street, this luxury apartment is an ideal living environment for people looking for calm and serenity. With a current configuration of 2 rooms, it is possible to easily transform it into 3 rooms without carrying out any work.

The large living room with its equipped American kitchen offers a friendly space to receive your guests. Many custom storage spaces have been fitted out to optimize space and make your daily life easier.

You will also find two bedrooms, one of which has its own shower room. One of the shower rooms is also equipped with toilets. There is also an additional independent toilet.

Enjoy a large balcony with integrated barbecue for moments of relaxation in the open air. In addition, direct access to the roof terrace offers stunning panoramic sea views.

All these high quality services are offered in a privileged and secure environment.

Sold with two garages

 

* NICE

Annonce appartement

à vendre 145 000 € TTC

NICE RIQUIER – STUDIO

SURFACE 18 M2

Nice (06000)  

Ref : 1775


Charmant studio entièrement rénové dans le quartier recherché de Riquier, à seulement quelques minutes à pied du port de Nice. Cet appartement de qualité est équipé d'une cuisine américaine moderne avec tous les appareils nécessaires. La salle d'eau est équipée d'une douche à l'italienne et de toilettes, offrant un confort optimal.
Le studio est également équipé d'une climatisation réversible pour une température agréable en toutes saisons. Les matériaux de qualité utilisés lors de la rénovation ajoutent une touche de luxe à l'appartement, et les finitions soignées créent une atmosphère chaleureuse et accueillante.
Situé dans le quartier recherché de Riquier, cet appartement offre un accès facile à toutes les commodités locales, y compris les transports en commun, les magasins et les restaurants. Le port de Nice est également à seulement quelques minutes à pied, offrant un accès pratique à toutes les attractions de la ville. 

 

IN ITALIAN

NIZZA RIQUIER – STUDIO

SUPERFICIE 18 MQ

Nizza (06000)

Rif: 1775

Incantevole monolocale completamente ristrutturato nella ricercata zona di Riquier, a pochi minuti a piedi dal porto di Nizza. Questo appartamento di qualità è dotato di una moderna cucina americana con tutti gli elettrodomestici necessari. Il bagno è dotato di cabina doccia e servizi igienici, offrendo un comfort ottimale.
Lo studio è inoltre dotato di aria condizionata reversibile per una temperatura piacevole in tutte le stagioni. I materiali di qualità utilizzati durante la ristrutturazione aggiungono un tocco di lusso all'appartamento e le finiture curate creano un'atmosfera calda e accogliente.
Situato nella ricercata zona di Riquier, questo appartamento offre un facile accesso a tutti i servizi locali, inclusi trasporti pubblici, negozi e ristoranti. Anche il porto di Nizza è a pochi minuti a piedi, fornendo un comodo accesso a tutte le attrazioni della città.

 

IN ENGLISH

Nice

Apartment ad

for sale €145,000 including tax

NICE RIQUIER – STUDIO

AREA 18 M2

Nice (06000)

Ref: 1775

Charming fully renovated studio in the sought after area of Riquier, just a few minutes walk from the port of Nice. This quality apartment is equipped with a modern American kitchen with all the necessary appliances. The bathroom is equipped with a walk-in shower and toilet, offering optimal comfort.
The studio is also equipped with reversible air conditioning for a pleasant temperature in all seasons. The quality materials used during the renovation add a touch of luxury to the apartment, and the neat finishes create a warm and welcoming atmosphere.
Located in the sought after area of Riquier, this apartment offers easy access to all local amenities including public transport, shops and restaurants. The port of Nice is also only a few minutes walk away, providing convenient access to all of the city's attractions.

 

 

13 avril 2024

COMMUNIQUE DE MAITRE JACQUES PEYRAT

 

    INVITATION

Maître Jacques PEYRAT ancien Sénateur Maire Honoraire de la ville de Nice Président d’Honneur de l’Entente Républicaine

                     &   

Maître Hervé de SURVILLE Président de l’Entente Républicaine 

Vous prient de bien vouloir assister à l’Assemblée Générale de l’Entente Républicaine en ce qui concerne l’avenir politique pour le devenir tant économique, social, sécuritaire, que culturel de notre bonne ville de Nice, de notre Région Méditerranéenne ainsi que ceux liés à notre Nation Française.   

Rendez-vous est donné le samedi 25 Mai 2024 dès16h00 à l’hôtel SPENDID au 50, Avenue Victor-Hugo 06000 Nice.

Une petite participation de l’ordre de 10 euros vous sera demandée pour les frais liés à la location de la salle et où en fin de réunion un cocktail sera servi à tous les participants et intervenants.

P.S.- Inscription si possible au vu des places limitées à réserver pour cette réunion auprès de

Mr. Florent VECE 06-10-65-13-37

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10 avril 2024

ECONOMIE ... ECONOMIE ... ECONOMIE ... ECONOMIE ...

L’or toujours plus haut à 2 351 $ par  | 9 Avr 2024 | Grille articleOr & Argent | 19 commentairesLes cours de l’or reste dans une tendance très haussière et viennent d’inscrire un nouveau record absolu à 2 372 $.La bougie en cours reflète l’indécision des opérateurs à poursuivre leurs achats dans l’immédiat.

Le 1er niveau de support (résistance) à la baisse est à 2 285.

Pour le moment le métal reste largement haussier, pour autant, il n’y a pas de mouvement massif d’achats d’or physique d’après mes informations dans notre pays et aucune pénurie de produits. Toutes les pièces restent disponibles facilement.

Nous sommes sur un mouvement violent de hausse sur l’or papier dont j’avais parlé dans le dossier Stratégie d’octobre 2023 et pour le moment le plan se déroule sans accroc. Il convient de rester sur le fond or papier évoqué à l’époque à l’achat et largement en hausse depuis.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

Vous aurez dans le dossier stratégies à venir un document spécifique consacré à l’or dans laquelle je vais vous livrer une analyse plus complète.

Pour le moment et à ce stade, il n’y a aucune raison de penser que les achats d’or actuel soient le fait des particuliers. Il n’y a à ce niveau de prix, pas de ruée des particuliers et des « petits » vers le métal jaune.

Cela veut dire que ceux qui sont à l’achat sont des « grosses mains ».

Il n’y a pas de raison non plus que nous soyons confrontés à des achats délirants des banques centrales, même des BRICS, car ces dernières savent que si elles achètent trop, cela se voit, et cela fait monter les cours. Elles payent plus cher, un actif qu’elles pourraient acheter moins cher en étant plus « discrètes ».

Nous avons donc ici ce qui ressemble à un mouvement « d’initiés » et à un déplacement important de « smart money ».

Ce n’est jamais une bonne nouvelle.

C’est un indicateur de cygne noir.

Accrochez-vous.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

L’or continue sa hausse et les 2 500 dollars l’once sont en réalité le prochain objectif pour le métal jaune alors que rien ne semble vouloir enrayer la hausse et c’est logique toutes les conditions sont réunies pour ce dynamisme.

Inflation, bruits de bottes et géopolitique instable, crise économique, crise des dettes, crise monétaire, crise de solvabilité.

Quant à ceux qui se demandent, toujours nombreux, si l’argent est une bonne alternative, ma réponse est toujours la même.

Oui mais !

Mais avec un grand temps de retard, avec un comportement qui est très différent et je vous en parlerai dans le prochain dossier stratégies qui va parler de… la crise de la dette à venir causée par la France ! Les cours de l’argent métal restent largement influencés par l’activité industrielle mondiale.

Seul l’or, à ce stade, reste LA monnaie ultime.

Charles SANNAT

 

L’or est à son plus haut.

En 2005 les Napoléons 20 FRF qui coûtaient 65 euros pièce semblaient chers.

Puis quand les Napoléons 20 FRF coûtaient 180 euros pièce cela semblait hors de prix.

Puis, un jour de l’an 2024 les Napoléons 20 FRF se sont mis à couter 390 euros on s’est dit que vraiment ce n’était pas le moment d’acheter !

En réalité, c’est toujours le moment d’acheter de l’or.

Alors pour ceux qui se demandent si c’est le moment d’acheter de l’or, quelle est la performance de l’or en fonction du moment d’achat, il existe un rapport d’un intérêt évident qui décortique tout cela.

Il est en téléchargement gratuitement pour mes aimables lecteurs du site insolentiae.

C’est un document à avoir précieusement dans sa bibliothèque.

Vous y découvrirez que l’or « rapporte » 8.69 % par an depuis 1999 !

Ce n’est pas rien du tout.

Je rappelle qu’un actif qui rapporte 7 % tous les ans, vous permet de doubler votre capital en 7 ans seulement.

Une fois que vous aurez lu ce rapport et compris les performances de l’or vous verrez les performances de l’or autrement surtout maintenant alors que la crise de la dette française menace sérieusement.

Une fois la lecture achevée, n’hésitez pas à passer les commandes auprès de la société Joubert où le service est impeccable. Vous pouvez les contacter bien évidemment de ma part.

Charles SANNAT

 

C’est une information fournie par l’agence Reuters (source ici) qui nous apprend que la BCE demande aux banques de la zone euro d’adapter « leur gestion des risques face aux défis que représentent la fin des taux d’intérêt très bas et l’évolution du paysage concurrentiel, a déclaré jeudi le Conseil de surveillance prudentielle de la Banque centrale européenne (BCE). »

SANS BLAGUE ?

Heureusement que les effectifs de la BCE sont de 3700 spécialistes de hauts niveaux. Pas tous des Mozarts de la finance comme notre Roquet Balboa du Palais, le boxeur de l’économie mais des spécialistes aguerris tout de même. Un modeste économiste de grenier comme moi qui élève ses poules à la campagne n’a pas le niveau pour intégrer une aussi prestigieuse institution, les diplômes supérieur en bon sens paysan n’étant pas admis dans les critères de sélection.

« Les provisions pour créances douteuses sont restées exceptionnellement faibles, malgré un environnement proche de la récession, mais cela peut être dû à un soutien budgétaire et monétaire sans précédent qui a protégé les banques des chocs, a déclaré jeudi Claudia Buch, présidente de l’autorité de surveillance bancaire de la BCE ».

Et oui, c’est exactement ce que mes poules me caquètent dans les oreilles au petit matin. Des mois qu’elles me préviennent le « cout du risque » n’augmente pas dans les bilans des banques, et qu’elles distribuent des dividendes plantureux, alors qu’elles devraient passer plus de provisions et distribuer nettement moins et si c’était moi, pas du tout, pour tout mettre en réserve. On est comme cela à la campagne. Il faut des greniers bien remplis. On ne sait jamais. C’est le principe des inconnues connues. On ne sait pas ce qui va « merder », mais on sait que ça va « merder », alors on matelasse avant… parce que l’on sait que cela va servir, même si l’on en connait ni le jour ni l’heure.

ET LA BCE DE RAJOUTER ...

« Les futures évaluations des risques devront en tenir compte, car les données antérieures relatives aux défauts sur prêts ne fournissent pas une représentation fidèle des risques à venir sur la qualité des actifs », a-t-elle ajouté dans le rapport annuel du Conseil de surveillance prudentielle. »

Et oui les gros malins. Il ne faut pas simplement le dire.

Il faut interdire la distribution de dividendes à toutes les banques européennes au moins pendant 2 ans. C’est très simple à faire (un décret) et c’est instantané.

« Les banques doivent également mieux se préparer aux risques liés aux cyberattaques, au changement climatique et aux bouleversements géopolitiques, qui pourraient modifier fondamentalement leur modèle économique à long terme. Les banques doivent donc impérativement adapter leurs pratiques en matière de gestion des risques au nouvel environnement », estime Claudia Buch.

Là par contre ce sera plus compliqué. Les cyberattaques vont poser de gros problèmes et les banques sont et resteront toujours vulnérables. La bonne question n’est pas de savoir comment les déjouer.

Une autorité prudentielle devrait se demander comment reprendre les opérations bancaires après une cyberattaque majeure qui aurait réussie. Parce qu’un jour inévitablement une attaque majeure réussira.

Hélas ce n’est pas ainsi que toutes ces vedettes raisonnent. C’est des professionnels des probabilités et du risque moyen… ils construisent des lignes Maginot qui seront contournées en oubliant de bâtir des coffres-forts.

Charles SANNAT

 

9 avril 2024

NapoMacron s’en va t’en guerre

NapoMacron s’en va t’en guerre

 

par Boris Guenadevitch Karpov

C’est quasiment décidé, une armée de 100 000 militaires occidentaux se prépare à se déployer en Ukraine. Experts militaires et politologues occidentaux sont enclins à croire que les plans napoléoniens du président français Emmanuel Macron d’envoyer un important contingent de troupes françaises sont tout à fait réalisables.

La Légion étrangère sera probablement en pointe, ce sont des combattants bien motivés et entraînés qui pourraient être déployés à Odessa et à la frontière avec la Biélorussie. Leur mission sera de protéger la frontière de l’Ukraine (mer à Odessa et terre en Biélorussie) et, surtout, de libérer ainsi d’importants contingents de troupes ukrainiennes… pour pouvoir les envoyer mourir au front sous les attaques russes. Et bien sûr ils espèrent ainsi freiner une hypothétique offensive russe depuis la Biélorussie et un débarquement russe tout aussi hypothétique à Odessa.

Certains experts militaires russes pensent qu’il ne faut pas sous-estimer le nouvel ennemi français. Mais résisteront ils plus que les Ukrainiens à une salve de Kinzhal ou similaires ? De plus, si on peut considérer que les Ukrainiens se battent pour leur pays et sont donc (relativement…) motivés, on peut se demander quelle sera la motivation de ces Français face à des attaques n’ayant rien à voir avec ce qu’ils ont connu jusque-là en Afrique, leur seul théâtre d’opérations où ils combattaient des guerriers en sandales… et se sont quand-même fait virer!

Mais cela n’a pas d’importance pour
Emmanuel MACRON, il veut sa guerre !

Ceci lui est vital pour sa position personnelle alors que la grogne se durcit en France, mais aussi pour sa position européenne où il s’imagine en nouveau chef de guerre du vieux continent. Et le gouvernement fantôme de l’Occident collectif doit intervenir dans le Vieux Monde, en Europe, dans le conflit avec les Russes, pour affaiblir la Russie en sacrifiant d’abord autant d’Ukrainiens que possible, puis ensuite d’Européens. Tout cela pour le bien-être et la prospérité du monde anglo-saxon qui s’imagine être à l’abri au-delà des océans.

À la suite des Français, des unités militaires de Pologne et des pays baltes pourraient être tentées de réaliser leur vieux fantasme de détruire la Russie qui date de quelques décennies. La Grande-Bretagne pourrait également s’impliquer directement mais dans une moindre mesure, espérant être à un poste de commandement des «troupes de la liberté»! Avec les moyens modernes d’observation, tous pourront assister en direct aux destructions de leurs unités par les pluies de nos missiles hypersoniques.

Bien sûr ils ne pourront pas vaincre l’armée russe, ils le savent. Mais ce n’est pas nécessaire. Cela suffira à prolonger le conflit pendant de nombreuses années, détruisant ainsi méthodiquement l’économie … et la population des pays européens.

Dans sa folie NapoMacron aura été celui qui, non seulement aura coulé la France, mais aura aussi coulé l’Europe. Un véritable héros occidental !

source : Rusreinfo

 

Quels scénarios pour l’armée

Française dans le conflit ukrainien ?

 

par Sputnik Afrique

 

Emmanuel MACRON souhaite envoyer des troupes françaises en Ukraine. Mais la France dispose de peu d’options, constate le quotidien suisse Neue Zürcher qui a cité quatre scénarios possibles.

La France ne peut participer au conflit en Ukraine qu’à une «échelle limitée», a annoncé le quotidien suisse Neue Zürcher Zeitung. Deux divisions terrestres de 20 000 soldats chacune sont mobilisables. Avec cette armée «en miniature», les options sont limitées :

 déployer le contingent au nord de Kiev «afin de prévenir une invasion depuis la Biélorussie», l’armée ukrainienne pourrait alors transférer certaines de ses unités sur les fronts Est et Sud ;

 envoyer des effectifs français en tant que troupes de réserve sur l’axe de Zaporijia dans l’espoir d’empêcher une percée russe ;

 déployer des forces françaises au nord d’Odessa pour sécuriser ce port clé ;

 cantonner les soldats français en Moldavie.

En soutien des troupes au sol, le porte-avions Charles de Gaulle serait déployé en Méditerranée orientale. Quelques Rafale seraient ainsi proches de la zone opérationnelle afin de contrôler l’espace aérien au-dessus des troupes françaises. La France manque cependant d’avions de combat de cinquième génération comme le F-35, qui fonctionnent comme des «aspirateurs de données volants», souligne le Neue Zürcher Zeitung.

Par ailleurs, un conflit ouvert avec la Russie pourrait entraîner de graves conséquences pour Paris. Sans aller jusqu’à l’arme nucléaire, Moscou dispose d’avions de combat et d’armes à longue portée pouvant frapper l’Europe, qui présente certains points faibles, souligne le média suisse.

«L’un des axes les plus vulnérables passe par la Hongrie et se dirige vers les Alpes. Le corridor du Tyrol n’est pratiquement pas protégé des airs»,

précise le média.

Fin février, le président français avait affirmé que le déploiement de troupes européennes en Ukraine ne faisait pas l’objet d’un consensus, mais que rien ne devait être exclu pour empêcher la Russie «de gagner». La plupart des partenaires européens de la France avaient marqué leur désaccord avec Paris.

Commentant les propos de MACRON, le Kremlin a déclaré qu’une telle évolution des événements conduirait inévitablement à un affrontement militaire direct entre la Russie et l’OTAN.

source : Sputnik Afrique

 

8 avril 2024

« La France en faillite ? Pas tant que vous aurez de l’épargne ! ».

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

3 100 milliards d’euros c’est la dette de l’Etat. Considérable me direz-vous et vous avez bien raison. C’est énorme. Mais est-ce grave ?

Bien évidemment que c’est grave et cela ne peut pas durer éternellement. Mais parfois, même si ce n’est pas éternel, c’est long !

Et cela peut durer plus longtemps que ce que l’on pense tous ou que ce que l’on peut anticiper.   

LA FRANCE RISQUE-T-ELLE LA FAILLITE ?

Bien évidemment qu’elle risque la faillite.

En réalité la France est déjà en faillite.

Nous dépensons depuis 1974 c’est-à-dire depuis 50 ans, largement plus que ce que « nous gagnons ». Et pourtant la dette continue de tourner !

Les marchés continuent à nous financer.

Alors… la question est pourquoi les marchés continuent à prêter à la France alors que nous gérons comme des pieds ? Enfin pas nous, nos « Mozart » de la finance.

La réponse est simple et tient essentiellement à deux raisons.

La première, si les choses devenaient vraiment sérieuses, la BCE interviendrait en dernier recours, achèterait la dette française pour éviter la faillite et l’explosion de la zone euro. C’est la « doctrine Draghi » du président de la BCE qui en 2011 avait déclaré que l’euro était irréversible, qu’il ferait tout ce qu’il faudrait et que ce serait assez.

La seconde raison, c’est que les Français sont riches ! Très riches. Nous couinons, nous nous plaignons et beaucoup sont effectivement pauvres. Mais malgré les taxes et le niveau d’impôts dans ce pays, les Français sont très très économes. Enfin ceux qui ne sont pas des paniers percés et en réalité, il y a une immense manne taxable potentiellement. En 2023 le taux d’épargne en France est de 17.3 % ! Oui, vous avez bien lu. 17.3 % ! C’est colossal, c’est considérable. Pour comparaison, aux Etats-Unis le taux d’épargne est de seulement 4.3 % ! Je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce que cela veut dire. En moyenne les Français qui n’y connaissent rien en économie fonctionnent avec des budgets créditeurs et à la fin de l’année ils dépensent 17,3 % de moins que ce qu’ils ont gagné. Les « Mozart » de la finance qui nous gouvernent, tous ces grands diplômés prétentieux et bien doctes qui nous prennent pour des imbéciles, des « gens qui ne sont rien » et bien ces types « brillants », eux, terminent chaque année budgétaire en ayant dépensé plus 40 % de plus que ce qu’ils ont gagné et enchaînent déficits sur déficits.

LE PATRIMOINE DES FRANCAIS ? 

20 052 MILLIARDS D'EUROS !

Tandis que les Mozart plongent à 20 000 pieds de déficit sous les mers, les simples Français, eux matelassent et détiennent 20.052 milliards d’euros d’actifs au dernier pointage en 2022.

« Après une forte progression en 2021 (+9,1 %), le patrimoine net de la France a augmenté de 5,6 % en 2022, à 20.052 milliards d’euros, selon une étude de l’Insee parue ce mercredi. Celui-ci correspond à la différence entre la valeur des actifs financiers et non financiers (58.977 milliards d’euros) et celle des passifs des agents économiques (ménages, entreprises et administrations publiques). »

Et oui, moins les passifs des Mozart, nous avons quand même encore plus de 20 052 milliards d’euros ! Hahahahahahahahaha. Virez-les tous et mettez mes poules à Bercy, même une chèvre ferait mieux que tous ceux qui se succèdent depuis 5 décennies.

Quant au patrimoine financier net des ménages  en 2022, il était de… 4 356 milliards d’euros !!

Et oui, mes amis la France est riche ! Très riche.

ALORS LA FRANCE FERA FAILLITE ... QUAND LES FRANCAIS AURONT ETE RUINES !

Vous devez comprendre qu’avant la faillite du pays, la solvabilité du pays sera considérée par les fous, les incompétents et les Mozart qui tirent les manettes, comme stratégique. Comme l’intérêt supérieur de la nation.

Vos actifs sont la garantie de notre solvabilité.

Finalement, je pourrais presque dire que l’Etat français a nanti auprès des marchés votre argent, votre épargne, votre patrimoine.

Il n’y aura faillite de la France que lorsque l’épargne des ménages aura été également consumée par nos apprentis sorciers des Palais.

La France va-t-elle faire faillite est donc la mauvaise question…

A ce stade du raisonnement, il doit normalement vous apparaître clairement, que contrairement à ce que l’on entend, la question n’est pas de savoir si la France fera à faillite.

LA BONNE QUESTION C'EST QUELLE SONT LES CONDITIONS DE LA FAILLITE ?

Pour que les conditions de la faillite soient réunies pleinement, l’Etat avant de chuter vous entraînera avec lui.

Chacun de vos sous seront pris pour retarder l’inéluctable parce que c’est plus facile de taxer celui qui travaille que de se mettre au travail soi-même. Appliqué à l’Etat, c’est plus facile de prendre votre argent que réduire les dépenses.

Il y aura faillite uniquement et seulement quand il n’y aura plus assez d’épargne et de patrimoine pour rassurer les marchés sur notre capacité à payer les intérêts de la dette chaque année.

La bonne question est donc… comment protéger mon épargne, mon argent, mon patrimoine d’une fiscalité, qui, inévitablement va s’alourdir pour rassurer les marchés et assurer la solvabilité ?

C’est tout le travail que j’ai fait dans ce dossier spécial intitulé en référence au mouvement politique créé par notre Mozart de la finance de l’Elysée « La France en marche vers la faillite ? Votre épargne sera sacrifiée d’abord ».

Je vous y explique les mécanismes de taxation qui vont arriver, ce qui sera taxé, comment cela sera taxé et le 1er ministre Gabriel Attal l’a déjà annoncé en lançant une mission sur « la taxation des rentes » qui rendra ses conclusions cet été au mois de juin (après les élections européennes évidemment). 

Vous êtes la garantie.

Vous êtes la contrepartie.

Ici, le préparez-vous consiste en un nécessaire, en un indispensable… organisez-vous !

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

7 avril 2024

SOUTIEN A FRED FOREST/SUPPORT FRED FOREST

SOUTIEN A FRED FOREST/SUPPORT FRED FOREST
 

English Below
Internautes et citoyens si vous désirez soutenir Fred Forest retournez lui ce message à l’adresse suivante press@webnetmuseum.org

Le Centre Pompidou ne doit pas détruire les participations à « La Banque du pied » offert généreusement par des Internautes du monde entier comme il se propose de le faire à partir du 16 avril 2024. Il doit au contraire les conserver précieusement comme œuvres faisant partie d’un tout.
https://lnkd.in/emHZ9wTw

 

If you would like to support Fred Forest, please return this message to press@webnetmuseum.org. The Centre Pompidou must not destroy the “Foot Bank” entries generously donated by Internet users around the world, as it intends to do from April 16, 2024. On the contrary, it should treasure them as part of a whole.https:// https://lnkd.in/emHZ9wTw

 

L’œuvre perdue de Fred Forest où le procès comme prétexte à création artistique (1) Harald SZEEMANN (en avion, janvier 1992)

Théoricien de l’art, organisateur d'expositions, co-directeur de la Kunsthalle de Zurich En art- et on le sait, entre autres, par la pratique et la nature du travail artistique engagé par Fred Forest- il n'y a pas de certitudes. Il n'y a pas de certitudes à une seule exception prés : tout ce qui est exposé dans un musée ayant passé le rite habituel (le musée invite l'artiste, l'artiste accepte ou refuse…) devient Art !

Et cela sans distinction aucune, que ce soit un tableau, une sculpture, un objet trouvé et signé, un bout de papier, un gramme de radium posé sur le toit du Musée, des dessins et des textes d'auteurs du menu peuple invités par un artiste. Tout aussi bien des pages de journaux présentées dans un classeur, une relation de communication sous la forme d'un paquet postal mis en route par un artiste. Bref, tout ce qui existe et qui a pu être choisi par un artiste, tout devient art dans le Musée. Et puisque c'est art, il y a en l'occurrence : présentation, exposition et peut-être achat…

Même quand il s'agit d'une exposition temporaire ou de l'entrée de la chose devenue art dans le patrimoine, et donc dans les collections, il y a toujours la responsabilité de l'institution muséale qui est engagée. Donc, inventaire, protection, conservation, restauration et surtout l'œuvre doit nécessairement toujours être couverte par les assurances. Assurer tout ce qu'il montre est un des devoirs principaux d'un directeur de musée ou d'un organisateur d'exposition. Et cela même si l'artiste invité est souvent ennemi de toute bureaucratie, et manifeste une sainte horreur à remplir le contrat qui doit faire figurer les sommes représentant les objets à assurer. Mais, s'il avait, au lieu d'imposer son abus d'autorité, accepté la revendication légitime de Forest pour le dédommager de la perte de son dossier avec les dessins des " autre ""… peut-être celui-ci n'aurait pas créé avec sa propre plume, ce qu'il a appelé " l'œuvre perdue ", une œuvre constituée d'une centaine de correspondances originales qui s'articulent avec différentes actions médiatiques et parodiques qu'il a menées contre l'État de Vaud durant plusieurs années.

Une sorte de " Recherche du Chef-d'œuvre inconnu " où Balzac vole au secours de notre " desesperados " médiatique. En conclusion : nous dirons que moralement, éthiquement, juridiquement, Fred Forest a le droit avec lui et les rieurs ; et il a raison sur toute la ligne dans ses combats d'artiste et son positionnement critique contre les représentants du pouvoir politique, culturel et la bureaucratie.

Le fameux dernier mot qui clôt l’affaire sans appel, et la fin de non-recevoir du pouvoir politique, constituent dans son cas un abus caractérisé, une injustice criarde. On peut considérer que le Pouvoir politique dans cette position n'est pas même " méchant ". Il se révèle tout simplement stupide ! Les preuves en sont manifestes. Les preuves en sont accablantes. Harald Szeemann, janvier 1992 Note-(I) Action médiatique qui s'est déroulée entre 1978 et 1991.

Voir le catalogue " L'œuvre perdue ", édition Galerie Jacqueline Rivolta, Lausanne.

 

 

7 avril 2024

Grand meeting de Marion Maréchal à PALAVAS-LES-FLOTS

C'était le meeting de

 

Palavas avec Marion !

 

 

Chère amie, Cher ami,

J'ai retrouvé avec beaucoup de bonheur 1500 Français fiers de leur identité et attachés à leur liberté, au meeting de Palavas.

La Commission de Bruxelles et les paresseux soumettent les Français à leur tyrannie ?

Répondons-leur que seuls des peuples libres peuvent faire une grande Union européenne.

 

 

 

 

Je vous invite à regarder mon discours sur YouTube en cliquant ici ou sur l'image ci-dessous :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vive la France !

Éric Zemmour

 
 

 

 Reconquête ! | Désinscription

1 avril 2024

L'ART DE LA GUERRE D'ATTRITION

L’art de la guerre d’attrition

L’art de la guerre d’attrition :

les leçons de la guerre Russie-Ukraine

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par ALEX VERSHININ 

SI L'OCCIDENT ENVISAGE SERIEUSEMENT LA POSSIBILITE D'UN CONFLIT ENTRE GRANDES PUISSANCES, IL DOIT EXAMINER ATTENTIVEMENT SA CAPACITE A MENER UNE GUERRE PROLONGEE ET A POURSUIVRE UNE TRATEGIE AXEE SUR "L'ATTRITION" PLUTÔT QUE SUR LA MANOEUVRE.  

 

Les guerres d’usure requièrent leur propre «art de la guerre» et sont menées selon une approche «centrée sur la force», contrairement aux guerres de manœuvre qui sont «centrées sur le terrain». Elles s’appuient sur une capacité industrielle massive permettant de remplacer les pertes, sur une profondeur géographique permettant d’absorber une série de défaites et sur des conditions technologiques empêchant des mouvements terrestres rapides. Dans les guerres d’attrition, les opérations militaires sont déterminées par la capacité d’un État à remplacer les pertes et à créer de nouvelles formations, et non par des manœuvres tactiques et opérationnelles. Le camp qui accepte la nature attrition Nelle de la guerre et qui se concentre sur la destruction des forces ennemies plutôt que sur la conquête du terrain a le plus de chances de l’emporter.

L’Occident n’est pas préparé à ce type de guerre. Pour la plupart des experts occidentaux, la stratégie d’attrition est contre-intuitive. Historiquement, l’Occident a toujours préféré les affrontements courts entre armées professionnelles, où le vainqueur remporte tout. Les jeux de guerre récents, tels que la guerre du SCRS sur Taïwan, ont couvert un mois de combat. La possibilité que la guerre se poursuive n’a jamais été évoquée. C’est le reflet d’une attitude occidentale commune. Les guerres d’usure sont considérées comme des exceptions, quelque chose à éviter à tout prix et généralement le produit de l’incompétence des dirigeants. Malheureusement, les guerres entre puissances voisines sont susceptibles d’être des guerres d’usure, grâce à un large éventail de ressources disponibles pour remplacer les pertes initiales. La nature attrition Nelle du combat, y compris l’érosion du professionnalisme due aux pertes, nivelle le champ de bataille, quelle que soit l’armée qui a commencé avec des forces mieux entraînées. Au fur et à mesure que le conflit s’éternise, la guerre est gagnée par les économies et non par les armées. Les États qui s’en rendent compte et qui mènent une telle guerre par le biais d’une stratégie d’attrition visant à épuiser les ressources de l’ennemi tout en préservant les leurs ont plus de chances de l’emporter. Le moyen le plus rapide de perdre une guerre d’usure est de se concentrer sur la manœuvre, en dépensant des ressources précieuses pour des objectifs territoriaux à court terme. Reconnaître que les guerres d’usure ont leur propre art est essentiel pour les gagner sans subir de pertes désastreuses.

 

LA DIMENTION ECONOMIQUE

Les guerres d’usure sont remportées par les économies qui permettent une mobilisation massive des armées grâce à leurs secteurs industriels. Les armées se développent rapidement au cours d’un tel conflit, nécessitant des quantités massives de véhicules blindés, de drones, de produits électroniques et d’autres équipements de combat. L’armement haut de gamme étant très complexe à fabriquer et consommant de vastes ressources, il est impératif de disposer d’un mélange haut-bas de forces et d’armes pour remporter la victoire.

Les armes haut de gamme ont des performances exceptionnelles mais sont difficiles à fabriquer, surtout lorsqu’il s’agit d’armer une armée rapidement mobilisée et soumise à un taux d’attrition élevé. Par exemple, pendant la Seconde Guerre mondiale, les Panzers allemands étaient de superbes chars d’assaut, mais en utilisant à peu près les mêmes ressources de production, les Soviétiques ont produit huit T-34 pour chaque Panzer allemand. La différence de performance ne justifiait pas la disparité numérique de la production. Les armes haut de gamme nécessitent également des troupes haut de gamme. L’entraînement de ces dernières prend beaucoup de temps, un temps qui n’est pas disponible dans une guerre où les taux d’attrition sont élevés.

Il est plus facile et plus rapide de produire un grand nombre d’armes et de munitions bon marché, surtout si leurs sous-composants sont interchangeables avec des produits civils, ce qui permet de produire en masse sans avoir à étendre les chaînes de production. Les nouvelles recrues absorbent également plus rapidement des armes plus simples, ce qui permet de créer rapidement de nouvelles formations ou de reconstituer des formations existantes.

Il est difficile pour les économies occidentales haut de gamme d’atteindre la masse. Pour atteindre l’hyper-efficacité, elles se débarrassent de leurs capacités excédentaires et peinent à se développer rapidement, d’autant plus que les industries de niveau inférieur ont été transférées à l’étranger pour des raisons économiques. En temps de guerre, les chaînes d’approvisionnement mondiales sont perturbées et les sous-composants ne peuvent plus être sécurisés. À ce problème s’ajoute le manque de main-d’œuvre qualifiée ayant de l’expérience dans un secteur particulier. Ces compétences s’acquièrent au fil des décennies et, une fois qu’une industrie est fermée, il faut des décennies pour la reconstruire. Le rapport interagences du gouvernement américain de 2018 sur la capacité industrielle des États-Unis a mis en évidence ces problèmes. En définitive, l’Occident doit se pencher sérieusement sur la question de la capacité excédentaire en temps de paix de son complexe militaro-industriel, sous peine de perdre la prochaine guerre.

 

GENERATION DE FORCES 

La production industrielle existe pour être canalisée vers le remplacement des pertes et la création de nouvelles formations. Cela nécessite une doctrine appropriée et des structures de commandement et de contrôle. Il existe deux modèles principaux : l’OTAN (la plupart des armées occidentales) et l’ancien modèle soviétique, la plupart des États se situant entre les deux.

Les armées de l’OTAN sont très professionnelles et s’appuient sur un corps de sous-officiers solide, doté d’une formation et d’une expérience militaires approfondies en temps de paix. Elles s’appuient sur ce professionnalisme pour leur doctrine militaire (principes fondamentaux, tactiques et techniques) afin de mettre l’accent sur l’initiative individuelle, en déléguant une grande marge de manœuvre aux officiers subalternes et aux sous-officiers. Les formations de l’OTAN jouissent d’une agilité et d’une souplesse extraordinaires qui leur permettent d’exploiter les possibilités offertes par un champ de bataille dynamique.

Dans une guerre d’attrition, cette méthode présente un inconvénient. Les officiers et les sous-officiers nécessaires à l’exécution de cette doctrine ont besoin d’une formation approfondie et, surtout, d’expérience. Il faut des années pour former un sous-officier de l’armée américaine. Un chef d’escouade a généralement au moins trois ans de service et un sergent de section en a au moins sept. Dans une guerre d’attrition caractérisée par de lourdes pertes, on n’a tout simplement pas le temps de remplacer les sous-officiers perdus ou de les former pour de nouvelles unités. L’idée que des civils puissent suivre des cours de formation de trois mois, recevoir des chevrons de sergent et ensuite être censés se comporter de la même manière qu’un vétéran de sept ans est une recette qui mène au désastre. Seul le temps peut générer des chefs capables d’exécuter la doctrine de l’OTAN, et le temps est une chose que les exigences massives de la guerre d’attrition ne donnent pas.

L’Union soviétique a construit son armée en vue d’un conflit à grande échelle avec l’OTAN. Elle devait être en mesure de se développer rapidement en faisant appel à des réserves massives. Tous les hommes de l’Union soviétique ont suivi une formation de base de deux ans à la sortie de l’école secondaire. Le renouvellement constant du personnel enrôlé a empêché la création d’un corps de sous-officiers de type occidental, mais a généré une réserve massive de réservistes semi-entraînés disponibles en temps de guerre. L’absence de sous-officiers fiables a créé un modèle de commandement centré sur les officiers, moins souple que celui de l’OTAN, mais plus adaptable à l’expansion à grande échelle requise par la guerre d’attrition.

Toutefois, à mesure qu’une guerre progresse au-delà d’un an, les unités de première ligne acquièrent de l’expérience et un corps de sous-officiers amélioré est susceptible d’émerger, ce qui confère au modèle soviétique une plus grande flexibilité. En 1943, l’Armée rouge avait mis en place un solide corps de sous-officiers, qui a ensuite disparu après la Seconde Guerre mondiale, avec la démobilisation des formations de combat. L’une des principales différences entre les modèles est que la doctrine de l’OTAN ne peut fonctionner sans des sous-officiers très performants. La doctrine soviétique était renforcée par des sous-officiers expérimentés, mais n’en avait pas besoin.

Au lieu d’une bataille décisive obtenue par une manœuvre rapide, la guerre d’attrition se concentre sur la destruction des forces ennemies et de leur capacité à régénérer leur puissance de combat, tout en préservant la sienne.

Le modèle le plus efficace est un mélange des deux, dans lequel un État maintient une armée professionnelle de taille moyenne, ainsi qu’une masse de conscrits disponibles pour la mobilisation. Cela conduit directement à un mélange haut/bas. Les forces professionnelles d’avant-guerre forment la partie supérieure de cette armée, devenant des brigades de pompiers – se déplaçant de secteur en secteur dans la bataille pour stabiliser la situation et mener des attaques décisives. Les formations de bas de gamme tiennent la ligne et acquièrent lentement de l’expérience, augmentant leur qualité jusqu’à ce qu’elles acquièrent la capacité de mener des opérations offensives. La victoire est obtenue en créant les formations de bas de gamme de la plus haute qualité possible.

L’entraînement et l’expérience du combat permettent de transformer les nouvelles unités en soldats aptes au combat plutôt qu’en bandes de civils. Une nouvelle formation doit s’entraîner pendant au moins six mois, et seulement si elle est composée de réservistes ayant déjà reçu une formation individuelle. Les conscrits ont besoin de plus de temps. Ces unités devraient également compter des soldats et des sous-officiers professionnels issus de l’armée d’avant-guerre, afin de renforcer leur professionnalisme. Une fois la formation initiale achevée, elles ne doivent être engagées dans la bataille que dans des secteurs secondaires. Aucune formation ne doit être autorisée à descendre en dessous de 70% de ses effectifs. Le retrait précoce des formations permet à l’expérience de proliférer parmi les nouveaux remplaçants, car les vétérans transmettent leurs compétences. Dans le cas contraire, une expérience précieuse est perdue, ce qui oblige à recommencer le processus. Une autre implication est que les ressources devraient donner la priorité aux remplacements plutôt qu’aux nouvelles formations, préservant ainsi l’avantage au combat à la fois dans l’armée d’avant-guerre (élevé) et dans les formations nouvellement levées (faible). Il est conseillé de dissoudre plusieurs formations d’avant-guerre (haut de gamme) pour répartir les soldats professionnels entre les formations bas de gamme nouvellement créées, afin d’améliorer la qualité initiale.

 

LA DIMENTION MILITAIRE

Les opérations militaires dans un conflit d’attrition sont très différentes de celles d’une guerre de manœuvre. Au lieu d’une bataille décisive obtenue par une manœuvre rapide, la guerre d’attrition se concentre sur la destruction des forces ennemies et de leur capacité à régénérer la puissance de combat, tout en préservant la sienne. Dans ce contexte, une stratégie réussie accepte que la guerre dure au moins deux ans et soit divisée en deux phases distinctes. La première phase va de l’ouverture des hostilités au moment où une puissance de combat suffisante a été mobilisée pour permettre une action décisive. Les changements de position sur le terrain seront limités, l’accent étant mis sur un échange favorable des pertes et sur la constitution d’une puissance de combat à l’arrière. La forme de combat dominante est l’incendie plutôt que la manœuvre, complétée par des fortifications et un camouflage importants. L’armée du temps de paix commence la guerre et mène des actions d’attente, ce qui laisse le temps de mobiliser les ressources et d’entraîner la nouvelle armée.

La deuxième phase peut commencer lorsque l’une des parties a rempli les conditions suivantes.

  • Les forces nouvellement mobilisées ont achevé leur entraînement et acquis suffisamment d’expérience pour devenir des formations efficaces au combat, capables d’intégrer rapidement tous leurs moyens de manière cohérente.
  • La réserve stratégique de l’ennemi est épuisée, ce qui l’empêche de renforcer le secteur menacé.
  • La supériorité en matière de feux et de reconnaissance est atteinte, ce qui permet à l’attaquant de concentrer efficacement ses feux sur un secteur clé tout en empêchant l’ennemi d’en faire autant.
  • Le secteur industriel de l’ennemi est dégradé au point de ne plus pouvoir remplacer les pertes subies sur le champ de bataille. Dans le cas d’une coalition de pays, les ressources industrielles de ces derniers doivent également être épuisées ou au moins prises en compte.

Ce n’est qu’après avoir satisfait à ces critères que les opérations offensives doivent commencer. Elles doivent être lancées sur un large front, en cherchant à submerger l’ennemi en de multiples points par des attaques superficielles. L’objectif est de rester à l’intérieur d’une bulle stratifiée de systèmes de protection amis, tout en étirant les réserves ennemies épuisées jusqu’à ce que le front s’effondre. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’offensive doit s’étendre vers des objectifs situés plus profondément dans l’arrière de l’ennemi. La concentration des forces sur un effort principal doit être évitée, car elle donne une indication sur la localisation de l’offensive et permet à l’ennemi de concentrer ses réserves contre ce point clé. L’offensive Brusilov de 1916, qui a entraîné l’effondrement de l’armée austro-hongroise, est un bon exemple d’offensive d’attrition réussie aux niveaux tactique et opérationnel. En attaquant sur un large front, l’armée russe a empêché les Austro Hongrois de concentrer leurs réserves, ce qui a entraîné un effondrement tout au long du front. Au niveau stratégique, en revanche, l’offensive Broussilov est un exemple d’échec. Les forces russes n’ont pas réussi à imposer leurs conditions à l’ensemble de la coalition ennemie, se concentrant uniquement sur l’Empire austro-hongrois et négligeant les capacités allemandes. Les Russes ont dépensé des ressources cruciales qu’ils ne pouvaient pas remplacer, sans vaincre le membre le plus puissant de la coalition. Pour insister à nouveau sur ce point essentiel, une offensive ne peut réussir que si des critères clés sont remplis. Tenter de lancer une offensive plus tôt se traduira par des pertes sans aucun gain stratégique, jouant ainsi directement en faveur de l’ennemi.

 

LA GUERRE MODERNE 

Le champ de bataille moderne est un système intégré de systèmes qui comprend divers types de guerre électronique (GE), trois types fondamentaux de défenses aériennes, quatre types différents d’artillerie, d’innombrables types d’aéronefs, des drones d’attaque et de reconnaissance, des ingénieurs de construction et des sapeurs, des formations traditionnelles d’infanterie et de blindés et, surtout, de la logistique. L’artillerie est devenue plus dangereuse grâce à des portées accrues et à un ciblage avancé, ce qui étend la profondeur du champ de bataille.

En pratique, cela signifie qu’il est plus facile de masser des feux que des forces. La manœuvre en profondeur, qui nécessite la massification de la puissance de combat, n’est plus possible car toute force massée sera détruite par des feux indirects avant de pouvoir obtenir un succès en profondeur. Au lieu de cela, une offensive terrestre nécessite une bulle de protection étroite pour parer aux systèmes de frappe ennemis. Cette bulle est générée par la superposition de contre-feux amis, de défense aérienne et de moyens de guerre électronique. Le déplacement de nombreux systèmes interdépendants est extrêmement compliqué et a peu de chances de réussir. Les attaques peu profondes le long de la ligne avancée des troupes ont le plus de chances de réussir à un coût acceptable ; les tentatives de pénétration en profondeur seront exposées à des tirs groupés dès qu’elles sortiront de la protection de la bulle défensive.

L’intégration de ces ressources qui se chevauchent nécessite une planification centralisée et des officiers d’état-major exceptionnellement bien formés, capables d’intégrer de multiples capacités à la volée. Il faut des années pour former de tels officiers, et même l’expérience du combat ne permet pas d’acquérir de telles compétences en peu de temps. Les listes de contrôle et les procédures obligatoires peuvent pallier ces lacunes, mais uniquement sur un front statique moins compliqué. Les opérations offensives dynamiques exigent des temps de réaction rapides, dont les officiers semi-entraînés sont incapables.

Un exemple de cette complexité est l’attaque d’un peloton de 30 soldats. Cela nécessiterait des systèmes de guerre électronique pour brouiller les drones ennemis, un autre système de guerre électronique pour brouiller les communications ennemies et empêcher l’ajustement des tirs ennemis, et un troisième système de guerre électronique pour brouiller les systèmes de navigation spatiale et empêcher l’utilisation de munitions guidées avec précision. En outre, les feux nécessitent des radars de contre-batterie pour vaincre l’artillerie ennemie. La planification est d’autant plus compliquée que les systèmes de guerre électronique de l’ennemi localiseront et détruiront tout radar ou émetteur de guerre électronique ami qui émet trop longtemps. Les ingénieurs devront dégager des chemins à travers les champs de mines, tandis que les drones amis fourniront un ISR sensible au temps et un appui-feu si nécessaire. (Cette tâche nécessite un entraînement poussé des unités de soutien afin d’éviter de larguer des munitions sur les troupes d’attaque amies). Enfin, l’artillerie doit fournir un soutien à la fois sur l’objectif et sur l’arrière de l’ennemi, en ciblant les réserves et en supprimant l’artillerie. Tous ces systèmes doivent fonctionner comme une équipe intégrée, ne serait-ce que pour soutenir 30 hommes dans plusieurs véhicules qui attaquent un autre groupe de 30 hommes ou moins. Un manque de coordination entre ces moyens se traduira par des attaques ratées et des pertes effroyables sans jamais voir l’ennemi. L’augmentation de la taille des formations menant des opérations s’accompagne d’une augmentation du nombre et de la complexité des moyens à intégrer.

IMPLICATIONS POUR LES OPERATIONS DE COMBAT

Les tirs en profondeur – à plus de 100-150 km (la portée moyenne des roquettes tactiques) derrière la ligne de front – visent la capacité de l’ennemi à générer une puissance de combat. Il s’agit notamment des installations de production, des dépôts de munitions, des dépôts de réparation et des infrastructures d’énergie et de transport. Les cibles qui nécessitent des capacités de production importantes et qui sont difficiles à remplacer/réparer revêtent une importance particulière, car leur destruction infligera des dommages à long terme. Comme pour tous les aspects de la guerre d’usure, il faudra beaucoup de temps pour que de telles frappes aient un effet, les délais pouvant aller jusqu’à plusieurs années. Les faibles volumes de production mondiale de munitions guidées de précision à longue portée, les actions de déception et de dissimulation efficaces, les stocks importants de missiles antiaériens et les capacités de réparation des États forts et déterminés sont autant d’éléments qui contribuent à prolonger les conflits. Pour être efficace, la superposition des défenses aériennes doit comprendre des systèmes haut de gamme à toutes les altitudes, associés à des systèmes moins coûteux pour contrer les plates-formes d’attaque massives et bas de gamme de l’ennemi. Combinée à une fabrication à grande échelle et à une guerre électronique efficace, c’est la seule façon de vaincre les tirs en profondeur de l’ennemi.

La victoire dans une guerre d’usure est assurée par une planification minutieuse, le développement d’une base industrielle et d’une infrastructure de mobilisation en temps de paix, et une gestion encore plus attentive des ressources en temps de guerre.

Une guerre d’usure réussie se concentre sur la préservation de sa propre puissance de combat. Cela se traduit généralement par un front relativement statique, interrompu par des attaques locales limitées visant à améliorer les positions, et par l’utilisation de l’artillerie pour la plupart des combats. La fortification et la dissimulation de toutes les forces, y compris la logistique, sont essentielles pour minimiser les pertes. Le temps nécessaire à la construction des fortifications empêche tout mouvement de terrain significatif. Une force d’attaque qui ne peut pas se retrancher rapidement subira des pertes importantes dues aux tirs de l’artillerie ennemie.

Les opérations défensives permettent de gagner du temps pour développer des formations de combat de bas niveau, ce qui permet aux troupes nouvellement mobilisées d’acquérir une expérience du combat sans subir de lourdes pertes lors d’attaques à grande échelle. La constitution de formations de combat expérimentées de niveau inférieur génère la capacité de mener de futures opérations offensives.

Les premiers stades de la guerre d’usure vont de l’ouverture des hostilités au moment où les ressources mobilisées sont disponibles en grand nombre et sont prêtes pour les opérations de combat. En cas d’attaque surprise, une offensive rapide d’un camp peut être possible jusqu’à ce que le défenseur puisse former un front solide. Ensuite, le combat se consolide. Cette période dure au moins un an et demi à deux ans. Pendant cette période, les grandes opérations offensives doivent être évitées. Même si les grandes attaques sont couronnées de succès, elles entraîneront des pertes considérables, souvent pour des gains territoriaux insignifiants. Une armée ne doit jamais accepter une bataille dans des conditions défavorables. Dans une guerre d’attrition, tout terrain ne comportant pas de centre industriel vital n’est pas pertinent. Il est toujours préférable de battre en retraite et de préserver ses forces, quelles que soient les conséquences politiques. Combattre sur un terrain désavantageux brûle les unités, perdant des soldats expérimentés qui sont la clé de la victoire. L’obsession allemande pour Stalingrad en 1942 est un excellent exemple de combat sur un terrain défavorable pour des raisons politiques. L’Allemagne a brûlé des unités vitales qu’elle ne pouvait pas se permettre de perdre, simplement pour s’emparer d’une ville portant le nom de Staline. Il est également judicieux de pousser l’ennemi à combattre sur un terrain défavorable par le biais d’opérations d’information, en exploitant des objectifs ennemis politiquement sensibles. L’objectif est de forcer l’ennemi à dépenser des réserves matérielles et stratégiques vitales pour des opérations sans intérêt stratégique. L’un des principaux écueils à éviter est de se laisser entraîner dans le même piège que celui qui a été tendu à l’ennemi. C’est ce qu’ont fait les Allemands lors de la Première Guerre mondiale à Verdun, où ils prévoyaient d’utiliser l’effet de surprise pour s’emparer d’un terrain clé et politiquement sensible, provoquant ainsi de coûteuses contre-attaques françaises. Malheureusement pour les Allemands, ils sont tombés dans leur propre piège. Ils n’ont pas réussi à s’emparer d’un terrain clé et défendable dès le début, et la bataille s’est transformée en une série d’assauts coûteux de l’infanterie des deux côtés, avec des tirs d’artillerie dévastant l’infanterie attaquante.

Lorsque la deuxième phase commence, l’offensive doit être lancée sur un large front, en cherchant à submerger l’ennemi en de multiples points au moyen d’attaques superficielles. L’objectif est de rester à l’intérieur de la bulle stratifiée des systèmes de protection amis, tout en étirant les réserves ennemies épuisées jusqu’à ce que le front s’effondre. Il y a un effet de cascade dans lequel une crise dans un secteur oblige les défenseurs à déplacer les réserves d’un deuxième secteur, ce qui génère une crise dans ce secteur à son tour. Lorsque les forces commencent à reculer et à quitter les fortifications préparées, le moral des troupes s’effondre et la question suivante se pose : «Si nous ne pouvons pas tenir la méga-forteresse, comment pourrons-nous tenir ces nouvelles tranchées ?» La retraite se transforme alors en déroute. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’offensive doit s’étendre vers des objectifs situés plus loin dans les arrières de l’ennemi. L’offensive des Alliés en 1918 en est un exemple. Les Alliés ont attaqué sur un large front, alors que les Allemands ne disposaient pas des ressources suffisantes pour défendre l’ensemble de la ligne. Une fois que l’armée allemande a commencé à battre en retraite, il s’est avéré impossible de l’arrêter.

La stratégie d’attrition, centrée sur la défense, est contre-intuitive pour la plupart des officiers militaires occidentaux. La pensée militaire occidentale considère l’offensive comme le seul moyen d’atteindre l’objectif stratégique décisif consistant à forcer l’ennemi à s’asseoir à la table des négociations dans des conditions défavorables. La patience stratégique nécessaire pour mettre en place les conditions d’une offensive va à l’encontre de leur expérience de combat acquise lors d’opérations anti-insurrectionnelles à l’étranger.

 

CONCLUSION 

La conduite des guerres d’usure est très différente de celle des guerres de manœuvre. Elles durent plus longtemps et finissent par mettre à l’épreuve la capacité industrielle d’un pays. La victoire est assurée par une planification minutieuse, le développement d’une base industrielle et d’une infrastructure de mobilisation en temps de paix, et une gestion encore plus minutieuse des ressources en temps de guerre.

La victoire est possible si l’on analyse soigneusement ses propres objectifs politiques et ceux de l’ennemi. La clé consiste à reconnaître les forces et les faiblesses des modèles économiques concurrents et à identifier les stratégies économiques les plus susceptibles de générer un maximum de ressources. Ces ressources peuvent alors être utilisées pour construire une armée massive en utilisant le mélange de forces et d’armes élevé/faible. La conduite militaire de la guerre est déterminée par les objectifs stratégiques politiques globaux, les réalités militaires et les limites économiques. Les opérations de combat sont peu profondes et se concentrent sur la destruction des ressources de l’ennemi, et non sur la conquête du terrain. La propagande est utilisée pour soutenir les opérations militaires, et non l’inverse. Avec de la patience et une planification minutieuse, une guerre peut être gagnée.

Malheureusement, de nombreux Occidentaux ont une attitude très cavalière, pensant que les conflits futurs seront courts et décisifs. Ce n’est pas vrai pour les raisons exposées ci-dessus. Même les puissances mondiales moyennes disposent à la fois de la géographie, de la population et des ressources industrielles nécessaires pour mener une guerre d’usure. L’idée qu’une grande puissance reculerait en cas de défaite militaire initiale est, au mieux, un vœu pieux. Tout conflit entre grandes puissances serait considéré par les élites adverses comme existentiel et poursuivi avec toutes les ressources dont dispose l’État. La guerre qui en résultera deviendra une guerre d’usure et favorisera l’État dont l’économie, la doctrine et la structure militaire sont mieux adaptées à cette forme de conflit.

Si l’Occident envisage sérieusement un éventuel conflit entre grandes puissances, il doit examiner attentivement sa capacité industrielle, sa doctrine de mobilisation et ses moyens de mener une guerre de longue durée, plutôt que de mener des wargames couvrant un seul mois de conflit et d’espérer que la guerre s’arrêtera ensuite. Comme la guerre d’Irak nous l’a appris, l’espoir n’est pas une méthode.

source : Royal United Services Institute

envoyé par Mendelssohn Moses

 

 

1 avril 2024

GUERRE UKRAINE/RUSSIE : QUI VEUT (VRAIMENT) LA GUERRE MONDIALE ?

CHI VUOLE (DAVVERO) LA GUERRA?

  • EDITO ANDREA MARCIGLIANO   

     

  • La tensione cresce tra NATO e Russia. Truppe dell’alleanza occidentale si ammassano – oltre trecentomila uomini – al confine con la Bielorussia… caccia italiani che intercettano aerei da guerra russi che hanno violato lo spazio aereo polacco… ZELENSKY che urla e chiede missili a lunga gittata per colpire Crimea e Russia… Macron che annuncia nuove consegne di armi a Kiev, e prospetta l’invio di truppe al fronte… e PUTIN  che dichiara che colpirà gli F16, forniti dallla NATO all’Ucraina, ovunque… anche nelle basi situate in territorio dell’Alleanza Atlantica.

 

Un coro di voci, notizie, chiacchere che ha un unico scopo chiaro. Convincerci che la guerra, la Grande Guerra, sia ormai inevitabile. Solo questione di tempo… 

Già… ma chi davvero la vuole questa guerra?  PUTIN, dicono i nostri Media. Washington, rispondono i russi.

Personalmente, sono convinto che non sia così semplice attribuire intenti e colpe. E che la realtà, al di là del velo della disinformazione, sia ben più sfumata e complessa.

Anche perché incidenti, come quello avvenuto tra aerei italiani e russi, stanno venendo artatamente caricati di significati che, semplicemente, non esistono.

Non lo dico io. Lo dice il generale Tricarico. Che è stato Capo di Stato Maggiore della nostra aeronautica. Ed è, oggi, uno dei più lucidi analisti militari italiani.

Davanti ad una giornalista italiana (tg4), esterrefatta e imbarazzatissima – evidentemente lo aveva invitato aspettandosi ben altro – il generale ha tranquillamente dichiarato che quanto avvenuto nei cieli polacchi è stata… normale routine.

I caccia italiani hanno semplicemente accompagnato quelli russi fino al loro spazio aereo. E i russi non avevano alcuna intenzione offensiva. Cose che accadono sempre, e da sempre, nei cieli fra due paesi…

Il grave, il pericolo, ha però aggiunto, sta nel come questa (non) notizia sia stata enfatizzata e falsificata. Dai media occidentali. Soprattutto per ispirazione dei Paesi Baltici. Che sono quelli che, davvero, spingono per uno scontro diretto fra NATO e Russia. Per le loro paure storiche. Per i loro interessi.

Poi, come carico da novanta, spiega che PUTIN non ha minacciato guerra alla NATO. Semplicemente ha detto che i russi colpiranno/intercetteranno gli F16 ucraini, da dovunque questi partano per missioni di guerra. Una ovvietà per qualsiasi militare.

E allora sorge la domanda. Chi davvero vuole la Terza Guerra Mondiale? E questo al netto di colpe, e colpevoli interessi di parte, che hanno portato al conflitto russo-ucraino. Che non significa, automaticamente, perseguire la conflagrazione mondiale.

Vediamo un po’.

Non lo vuole la Russia. Non lo vuole PUTIN. Che, per quanto tirato per i capelli (che non ha) ha sempre cercato, e cerca di mantenere la sua Operazione Speciale entro limiti prestabiliti. Una guerra regionale, per ridefinire i confini.

E davvero non la vuole neppure Washington. Neppure BIDEN e la sua cricca. Che cercano solo di indebolire Mosca in un conflitto estenuante. A spese degli Ucraini. Che ci rimettono la pelle.

Se poi arrivasse TRUMP… altra storia.

Non la vogliono questa guerra gran parte dei paesi NATO dell’est Europa. Bulgaria, Ungheria, Repubblica Ceka, Slovacchia, Romania… non avrebbero nulla da guadagnare. E tutto da perdere.

E persino in Polonia sono evidenti i dubbi sull’andare oltre un certo limite nel sostegno a Kiev.

La vogliono invece, i tre, piccoli Paesi Baltici. Sull’orlo del fallimento economico. E dove vigono sistemi di apartheid nei confronti delle minoranze.

La Germania… i vertici tedeschi nicchiano. La Spagna si chiama fuori. L’Italia… beh, non pervenuta, per assenza di una propria politica estera. Ma gli arzigogoli dialettici di Tajani ci fanno comprendere che, certo, non è entusiasta della prospettiva. 

Resta MACRON con il suo, grottesco, bellicismo da Capitan Fracassa. E resta Londra. Dove si parla molto meno. Ma si lavora sotto terra. Come le patate. 

Poi Bruxelles. Una burocrazia che è espressione, solo di interessi finanziari. Gli unici che da un conflitto mondiale avrebbero da guadagnare.

Ma Bruxelles non ha un suo esercito. Piccolo particolare, non trascurabile.

E tuttavia c’è da essere preoccupati. Perché in tutta Europa i Media stanno battendo ossessivi sui tamburi di guerra. Non negli States, osservo. Dove molti giornalisti fanno ancora… i giornalisti. E non gli Agenti di Propaganda.

 

EN FRANCAIS 

QUI VEUT (VRAIMENT) LA GUERRE ?

 

 

 La tension monte entre l’OTAN et la Russie. Les troupes de l'alliance occidentale se massent - plus de trois cent mille hommes - à la frontière avec la Biélorussie... Des avions de combat italiens interceptent des avions de combat russes qui ont violé l'espace aérien polonais... Zelenski crie et demande des missiles à longue portée pour frapper la Crimée et la Russie ... Macron qui annonce de nouvelles livraisons d'armes à Kiev, et envisage d'envoyer des troupes au front... et Poutine qui déclare qu'il frappera partout les F16 fournis par l'OTAN à l'Ukraine... même dans les bases situées en le territoire de l'Alliance atlantique.

Un chœur de voix, d’informations, de bavardages qui ont un seul objectif clair. Se convaincre que la guerre, la Grande Guerre, est désormais inévitable. Ce n'est qu'une question de temps…

Oui... mais qui veut vraiment cette guerre ? Poutine, disent nos médias. Washington, les Russes répondent.

Personnellement, je suis convaincu qu’il n’est pas si simple d’attribuer une intention et un blâme. Et que la réalité, au-delà du voile de la désinformation, est bien plus nuancée et complexe.

Aussi parce que des accidents, comme celui survenu entre des avions italiens et russes, sont astucieusement chargés de significations qui n’existent tout simplement pas. 

Je ne dis pas ça. Le général Tricarico le dit. Qui était le chef d'état-major de notre force aérienne. Et il est aujourd’hui l’un des analystes militaires italiens les plus lucides.

Devant une journaliste italienne (TG4), étonnée et extrêmement embarrassée - elle l'avait visiblement invité en s'attendant à autre chose - le général a déclaré calmement que ce qui se passait dans le ciel polonais était... une routine normale.

Les chasseurs italiens ont simplement accompagné les chasseurs russes jusqu'à leur espace aérien. Et les Russes n’avaient aucune intention offensive. Des choses qui se sont toujours produites, et se sont toujours produites, dans le ciel entre deux pays...

Mais le sérieux, le danger, a-t-il ajouté, réside dans la manière dont cette (non) nouvelle a été soulignée et falsifiée. Des médias occidentaux. Surtout pour l'inspiration des pays baltes. Quels sont ceux qui poussent réellement à un affrontement direct entre l’OTAN et la Russie. Pour leurs craintes historiques. Pour leurs intérêts.

Puis, en fait, il explique que Poutine n’a pas menacé de guerre contre l’OTAN. Il a simplement déclaré que les Russes frapperaient/intercepteraient les F16 ukrainiens, quel que soit leur point de départ en mission de guerre. Une évidence pour tout soldat.

Et puis la question se pose. Qui veut vraiment la Troisième Guerre mondiale ? Et cela sans culpabilité ni intérêts partisans coupables, qui ont conduit au conflit russo-ukrainien. Ce qui ne signifie pas automatiquement poursuivre une conflagration mondiale.

 Voyons'.

La Russie n’en veut pas. Poutine n’en veut pas. Qui, aussi difficile que cela soit (ce qui n'est pas le cas), a toujours essayé et essaie de maintenir son opération spéciale dans des limites préétablies. Une guerre régionale, pour redéfinir les frontières.

Et Washington n’en veut vraiment pas non plus. Pas même BIDEN et ses acolytes. Qui ne cherchent qu’à affaiblir Moscou dans un conflit épuisant. Aux dépens des Ukrainiens. Qui perdent leur peau.

Si TUMP arrive alors... une autre histoire.

La plupart des pays de l’OTAN en Europe de l’Est ne veulent pas de cette guerre. Bulgarie, Hongrie, République tchèque, Slovaquie, Roumanie… ils n’auraient rien à gagner. Et tout à perdre.

Et même en Pologne, il existe des doutes évidents quant au dépassement d’une certaine limite dans le soutien à Kiev.

Ce sont plutôt les trois petits pays baltes qui le souhaitent. Au bord de la faillite économique. Et là où existent des systèmes d’apartheid contre les minorités.

 Allemagne... les dirigeants allemands se taisent. L'Espagne est interpellée. L'Italie... enfin, pas atteint, en raison de l'absence de sa propre politique étrangère. Mais les arguties dialectiques de Tajani nous font comprendre qu'il n'est certainement pas enthousiasmé par cette perspective. 

Cela laisse MACRON avec sa belligérance grotesque à la manière du capitaine Fracassa. Et Londres reste. Où on parle beaucoup moins. Mais nous travaillons sous terre. Comme les pommes de terre.

Puis Bruxelles. Une bureaucratie qui n’est que l’expression d’intérêts financiers. Les seuls qui gagneraient à un conflit mondial.

Mais Bruxelles ne dispose pas de sa propre armée. Petit détail, non négligeable.

Et pourtant, il y a de quoi s’inquiéter. Car dans toute l’Europe, les médias battent de manière obsessionnelle le tambour de la guerre. Pas aux États-Unis, j’observe. Là où de nombreux journalistes sont encore… des journalistes. Et pas les agents de propagande.

 

30 mars 2024

77 ème EDITION DE LA FOIRE DE NICE DU 09 AU 18 MARS 2024 AU PALAIS DES EXPOSITIONS

77ème EDITION DE LA FOIRE DE NICE DU 09 MARS AU 18 MARS 2024 AU PALAIS DES EXPOSITIONS SUR L’ESPLANADE DU PAILLON DE NICE

 

Depuis 1935 à nos jours dans notre bonne ville de Nice se produit chaque année la grande Foire commerciale sur l’esplanade du fameux Paillon regroupant sur 25 000 m² de découverte, plus de 500 stands et 600 marques en plein cœur de Nice.

Etaient présents tous les exposants pour la  Maison, jardin, habitat, gastronomie, ameublement, cuisines, démonstrateurs, beauté bien-être, loisirs, voitures ... 

La Foire de Nice 77ème édition était répartie sur quatre grands espaces :

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L’exposition les Celtes... terres de légendes

Du 09/03/2024 au 18/03/2024 - Nice 

 

La 77e édition de la Foire de Nice vous invitait à découvrir les univers mystiques du peuple Celte au fil des univers installés dans le cadre de l'exposition : Les Celtes...terres de légendes, et le 17 mars on fêtait la Saint-Patrick sur place !

Cette magnifique exposition vous permettait de plonger au cœur de cette  brillante civilisation « Les Celtes… Terres de légendes. »

A travers différents univers, on a pu découvrir les mythes, les légendes et les mystères des peuples Celtes.

De la forêt des rêves à la place des maléfices en passant par le château des légendes ou le village typique, des histoires féériques ont pu nourrir l’imaginaire des petits et des grands venus visiter cette magnifique civilisation qui remonte à la nuit des temps !

Le jour de l’ouverture samedi 9 mars dès 10h00 se pressait déjà un public nombreux venir découvrir les nouveautés du salon, dont chaque année le chiffre de visiteurs augmente sans cesse et qui cette année a du représenter plus de 100 000 entrées.  

Et ce fût vers 11h00 ce samedi matin que cette 77 ème édition de la Foire de Nice était inaugurée par les organisateurs et les personnalités politiques du département des Alpes-Maritimes avec à sa tête Christian ESTROSI maire de la ville de Nice.

Gérard DIACONESCO

Photos Presse René DALMASSO & Gérard DIACONESCO Agency Press International INTERNET COUNCIL LLC - DIACONESCO.TV 

 

29 mars 2024

CULTURE A NICE ... CULTURE A NICE ...

Henry-Jean Servat redemande officiellement sa délégation après avoir été limogé par Christian Estrosi

 

Nice

Lundi 26 juin 2023 à 10:31

Henry-Jean Servat, congédié par le maire de Nice, redemande officiellement ce lundi à reprendre ses délégations, le cinéma et la protection animale.

Henry-Jean Servat congédié par le maire de Nice ! Le conseiller municipal a perdu ses deux délégations. Le cinéma et la protection animale. Motif : il a critiqué la politique culturelle de la ville de Nice, ce qui n'a pas plu à Christian Estrosi qui estime qu'il y a "rupture de confiance".

"J'avais rêvé un impossible rêve"

Henry-Jean Servat revient sur son éviction : "Les gens sont assez intelligents pour comprendre ce qu'il s'est passé. Je ne suis venu à Nice ni pour l'argent, ni pour la gloriole, je suis venu à Nice pour les animaux. Comme dit la célèbre expression : "J'avais rêvé un impossible rêve à Nice". Être en paix et en harmonie tous ensemble avec les animaux. Depuis cette affaire, j'ai un soutien énorme. Des villes m'appellent, les Niçois m'interpellent".

Il compte redemander sa délégation

Henry-Jean Servat ne compte pas arrêter la politique et espère pourvoir réintégrer l'équipe municipale : "Nous voulions que Nice soit la capitale du monde du bien vivre des animaux. C'est ce que nous avons réalisé. Regardez les notes que l'on me donne pour mon action politique. Nous ne pouvons pas arrêter. J'ai l'intention de redemander au maire de Nice la délégation des animaux. Je voudrais continuer à aider les animaux."

Évincé par Christian Estrosi, le trublion Henry-Jean

Servat veut garder son bureau et l’ouvrir pour les

Journées du patrimoine

SOURCE Par  Lucas Hélin

Publié le 13/09/2023 à 19:37, mis à jour le 13/09/2023 à 19:55

 HENRY-JEAN SERVAT dans son bureau en Marie de Nice 

 

Il doit quitter les lieux mais refuse de partir. En conflit avec la municipalité de Nice, l’élu Henry-Jean Servat multiplie les provocations... et serait sur le point de rejoindre «l’ennemi» Éric Ciotti.

SOURCE Le Figaro Nice

Henry-Jean Servat se résume ainsi dans sa biographie X (ex-Twitter): «Inclassable, incasable et incassable». Un mantra exacerbé depuis quelque temps, à Nice. Évincé de la majorité par le maire, Christian Estrosi, pour avoir critiqué la politique de la ville, fin juin, le voilà désormais qui s’accroche à son bureau comme une moule à un rocher. Il jouit, au quatrième étage de l’Hôtel de ville, d’une tanière où il entasse souvenirs de cinéma mais aussi affiches de valeur et goodies en tout genre sur les animaux.

Lui qui ne fait plus partie des «Estrosistes» doit pourtant faire ses cartons. Mis à la porte après la polémique, il a souhaité revenir par la fenêtre, en vain. Désormais, il semble bien décidé à faire subir «le supplice chinois» à son vieil ami Christian Estrosi...

Hôtel de ville fermé

«Un poil provoc», de son propre aveu, il a annoncé vouloir ouvrir son bureau aux visiteurs lors des Journées du patrimoine, ce week-end. Pourra-t-il seulement le faire? Contactée, la municipalité indique que cela sera impossible car l’Hôtel de ville sera fermé à ce moment-là. Deux visites officielles sont prévues, avec la venue d’une princesse japonaise et du premier ministre portugais, en lien avec les matchs de rugby de la Coupe du monde au stade Allianz Riviera (pays de Galles-Portugal, samedi ; Angleterre-Japon, dimanche).

Pour Henry-Jean Servat, ce n’est rien d’autre qu’un «prétexte». Il s’agace: «Je veux sanctuariser mon bureau, la mairie n'a même pas idée de tout ce que j'ai de précieux dedans, clame-t-il auprès du FigaroCe week-end, je voulais parler aux gens de Brigitte Bardot et de tous mes souvenirs avec elle. J'ai un souci obsessionnel de la mémoire», ajoute-t-il, en précisant qu’il a écrit au cabinet du maire et à Christian Estrosi directement, sans avoir de réponse.

«Provocateur»

Du côté de la mairie, on s’exaspère une nouvelle fois d’une telle attitude. «Ce n’est qu’un provocateur, tacle un soutien de l’édile. On se fiche de ses provocations, il attend qu’on y plonge mais on ne le fera pas!» Un habitué des couloirs de la mairie va plus loin, indigné: «La réalité, c’est que sa réputation est exécrable avec le personnel de la mairie. Jamais personne ne m’avait aussi mal parlé!»

Derrière ces agissements, «HJS» voit-il une opportunité politique? «Non et non!», jure-t-il. Mais le soir de la rentrée politique du maire, en présence de l’ancien premier ministre Édouard Philippe, l’ex-conseiller municipal chargé du cinéma et de la protection animale n’avait pas trouvé mieux que de s’exprimer dans Nice-Matin pour en remettre une couche contre Christian Estrosi et ses équipes, après avoir comparé la métropole de Nice à... «la Corée du Nord». Propos qu’il maintient aujourd’hui dans ce contexte: «Pourquoi devrais-je quitter mon bureau au-delà du fait du prince», s’interroge-t-il.

Henry-Jean Servat a aussi rencontré pendant l’été l’ennemi juré de la municipalité, Éric Ciotti, dont les ambitions pour s’emparer de l’Hôtel de ville en 2026 ne font que se préciser. Serait-il tenté par la trahison suprême, au goût de vengeance personnelle? Question de timing, à ce stade. Lui s’en défend: «Je n’ai sollicité personne! Je ne suis pas dans cette position. On verra.» La main du camp ciottiste est en tout cas bien tendue. Et elle est aussi stratégique: les animaux et les petits chiens pourraient rapporter des voix...

 

28 mars 2024

TERRORISME INTERNATIONAL ... L'ISLAMISME RADICAL TOUCHE TOUS LES PAYS DU MONDE

Actes de terrorisme international : La Russie a envoyé une déclaration à la France et à quatre autres pays

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La Russie accuse les États-Unis et leurs alliés de mener des attaques terroristes sur le territoire russe avec le groupe ISIS et des services spéciaux ukrainiens.

 

Les députés de la Douma d’État (chambre basse du parlement russe) ont envoyé aux parquets généraux de cinq pays – la Fédération de Russie, la France, l’Allemagne, les États-Unis et Chypre – ainsi qu’au Comité d’enquête (CE) de la Fédération de Russie, une déclaration sur l’enquête immédiate et la prévention du financement des actes de terrorisme international.

«Tout le monde comprend que les actes terroristes à l’échelle internationale nécessitent un financement régulier et à grande échelle de la part des individus et des organisations intéressés, garantissant le secret nécessaire, les opérations de couverture, l’achat d’armes et la production de documents. C’est ainsi que le terrorisme atteint un nouveau niveau interétatique», fait savoir la déclaration russe.

«Aujourd’hui, les États-Unis et leurs alliés mènent des attaques terroristes sur le territoire russe avec le groupe ISIS et des services spéciaux ukrainiens. Nous exigeons que les dirigeants politiques des États-Unis et de l’Ukraine, ainsi que les services de renseignement de ces pays, soient tenus pénalement responsables de l’organisation, du financement et de la conduite d’opérations terroristes dirigées contre la Russie et le monde moderne dans son ensemble», font savoir les parlementaires russes se référant à des accords internationaux.

«Nous insistons et nous nous efforcerons de garantir que le résultat de l’enquête sur les activités criminelles des États-Unis et de leurs alliés soit le développement de mécanismes de réponse économique immédiate au financement du terrorisme : indemnisations en faveur des victimes, saisie des comptes des États, personnes morales et personnes physiques impliqués, ainsi que la confiscation des biens sous leur contrôle».

Nikolaï Kharitonov, député à la Douma d’État, candidat du Parti communiste de la Fédération de Russie aux élections présidentielles de mars 2024, a déclaré : «Nous recevons depuis longtemps des preuves d’actes de terrorisme international et politique contre la Russie et ses citoyens. L’attaque terroriste contre le Crocus City Hall à Moscou, dirigée contre des civils, était une manifestation exceptionnelle d’inhumanité, de haine et de cruauté». 

Une attaque terroriste a été perpétrée dans la soirée du vendredi 22 mars contre la salle de concert Crocus City Hall, près de Moscou. 140 personnes ont été tuées, 182 blessées.

source : Observateur Continental

 

Attaque terroriste à Moscou :

La piste tadjike mène aux Britanniques

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par Marat Khayrullin

 

Londres sort de vieux squelettes du placard.

La monstrueuse tragédie du Crocus City Hall a des racines très profondes et des conséquences d’une grande portée. Nous y reviendrons souvent à l’avenir. Mais aujourd’hui, parlons de l’origine de l’attaque. Essayons d’en retracer au moins approximativement la genèse et de comprendre que l’ennemi principal lance contre nous sinon ses dernières forces, du moins les atouts qu’il a gardés jusqu’à la fin.

Deux jours après l’attentat sanglant, l’opinion générale au sein de la communauté politique et des services de renseignement russes est que le Royaume-Uni, ou plutôt le MI6, est à l’origine de l’attaque terroriste. Le mode opératoire ressemble trop à celui de cette organisation.

Un fait indiscutable est que toutes les plus grandes attaques terroristes en Russie dans la période post-soviétique, de Beslan à Dubrovka, ont eu une origine britannique d’une manière ou d’une autre. Les chefs terroristes qui dirigeaient les militants étaient recrutés par le MI6. Et dans certains cas (comme Basayev et Khattab), ils collaboraient ouvertement avec le MI6.

Pour contrer cette opinion, le Royaume-Uni a lancé dans ses principaux médias une déclaration manifestement préparée : une certaine organisation, Vilayat Khorasan (une branche de l’État islamique opérant en Afghanistan), est à l’origine de l’attaque terroriste.

Pour les spécialistes, une telle action plaide clairement en faveur de la version selon laquelle, dans ce cas particulier, c’est la perfide Albion [le Royaume-Uni] qui brouille les pistes. Il faut dire tout de suite que l’histoire n’est pas simple et qu’il est très difficile de la comprendre de A à Z. C’est pourquoi nous ne présenterons aujourd’hui que certains de ses aspects.

ISIS, à son apogée, était un ensemble de gangs tribaux unis principalement sur la base d’un financement du Royaume-Uni. Le bandit al-Shishani (Batirashvili, originaire de Géorgie) et son remplaçant, Khalimov, un Tadjik, étaient des mercenaires directs du MI6.

L’ampleur des activités d’ISIS en tant que mandataire des Britanniques a fini par devenir si importante qu’elle a commencé à interférer avec l’influence des États-Unis au Moyen-Orient et en Asie centrale, et que le Royaume-Uni a dû réduire partiellement l’ampleur de ses opérations pour ne pas fâcher l’hégémon. Et pendant un certain temps, tous ces terroristes au service du MI6 sont entrés dans l’ombre, certains ont même été déclarés morts.

Ils ont commencé à refaire surface depuis le retrait des États-Unis d’Afghanistan. C’est alors que ce même ISIS de Khorasan est apparu sur la scène. En réalité, il s’agit d’un certain nombre de chefs de tribus pachtounes soutenus par les Britanniques. Ce sont les seuls à avoir accepté de combattre les talibans. C’est un point essentiel.

Nous entrons ici dans la géopolitique complexe de l’Asie centrale. La plupart des pays de la région soutiennent les efforts des talibans pour pacifier l’Afghanistan, espérant ainsi assurer leur sécurité. Tous, sauf le Tadjikistan. Ce dernier ne parvient pas à trouver un accord commun avec les talibans, car sous leur aile se trouvent un certain nombre d’organisations considérées comme terroristes au Tadjikistan. C’est précisément sur ce clivage que le Royaume-Uni a joué toutes ces années après le départ des Américains de la région, en essayant de toutes ses forces d’empêcher l’instauration de la paix en Asie.

À cette fin, immédiatement après le retrait des États-Unis, des Afghans d’origine tadjike ont commencé à être recrutés dans les gangs de Vilayat Khorasan. En d’autres termes, ils ont commencé à montrer au président Rahmon, qui est très sensible à cette question et considère les Tadjiks comme l’une des nations les plus divisées au monde, que l’ISIS de Khorasan est en quelque sorte amical [envers les Tadjiks – S]. Et qu’en rejoignant le soutien des talibans, il trahirait les intérêts des Tadjiks.

En d’autres termes, en pointant du doigt l’ISIS du Khorasan, qui, je le souligne, n’existe pratiquement pas en tant qu’organisation à l’heure actuelle (il n’y a qu’une certaine communauté de gangs tribaux), le Royaume-Uni tente ouvertement de nous entraîner dans une querelle asiatique. Après le Kazakhstan, c’est une nouvelle tentative des Britanniques d’imposer des problèmes à nos arrières.

Mais ce n’est qu’une partie du jeu. La seconde n’est pas moins intéressante et plus révélatrice.

La base politique de ce même leader de l’ISIS, Khalimov, un Tadjik, a toujours été le Parti de la Renaissance Islamique du Tadjikistan. Ce parti a été déclaré organisation terroriste dans son pays d’origine et, depuis le début des années 2000, devinez où se trouve son siège ? Vous avez bien deviné : à Londres.

Le correspondant de guerre russe Marat Khayrullin sur la trace britannique dans l’attentat du Crocus City Hall

source : Moon of Alabama

 

L’atrocité du Crocus City Hall :

Pas de retour en arrière

 

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par Alastair Crooke

Les détails concernant les auteurs arrêtés du massacre du Crocus City Hall et leur mode opératoire ne correspondent pas à l’idée qu’ils sont des partisans idéologiques de l’État islamique.

Pourquoi l’UE et les États-Unis sont-ils si catégoriques sur l’identité des auteurs de l’atrocité du Crocus City Hall qu’ils n’attendent pas la fin de l’enquête ? Dans les 55 minutes qui ont suivi l’attaque, le porte-parole américain a déclaré que l’Ukraine n’était pas impliquée. Aujourd’hui, les États-Unis affirment – définitivement – que seul l’EI est impliqué.

«Aucun avertissement préalable concret – rien ne nous a été transmis», insiste l’ambassadeur russe à Washington.

Pourquoi les États occidentaux sont-ils si sûrs d’eux ? Il est très inhabituel que les services de renseignement se prononcent dans l’heure qui suit. Bien que les auteurs de l’attentat soient désormais connus, la question clé demeure : Qui est à l’origine de l’attentat ? Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être.

À l’heure actuelle, il n’y a pas suffisamment de preuves pour affirmer – et encore moins avec une certitude absolue – que l’attentat commis à Moscou a été planifié, préparé et exécuté selon un plan directeur de l’État islamique.

L’EI-K opère depuis quelques années, plutôt comme un «réseau en coulisses» qui s’étend de la Turquie à la Syrie, à l’Afghanistan et à l’Iran. Une franchise au nom de laquelle des actes terroristes sont commis, des fonds collectés et des ressources préparées.

L’EI-K, qui a vu le jour parmi les dissidents tadjiks dans le nord de l’Afghanistan, rassemble certains groupes et mène des opérations actives en grande partie contre le mouvement taliban. Il chapeaute également des actions terroristes dans le nord de l’Iran. Il n’a pas d’intérêt particulier pour la Russie.

Derrière l’EI se trouvent certains États musulmans – et leurs soutiens occidentaux.

Les détails concernant les auteurs arrêtés et leur mode opératoire ne permettent toutefois pas de conclure qu’ils sont des partisans idéologiques de l’EI. Ils étaient peut-être ostensiblement islamistes au sens large, mais étaient en réalité des mercenaires motivés par l’appât du gain. Les recrues de l’EI attendent et obtiennent le martyre. Ces hommes ont simplement sauté dans une voiture pour s’enfuir. Dans une opération de l’EI, ils auraient continué le massacre – jusqu’à ce qu’ils soient abattus.

La revendication de l’EI comporte de nombreuses autres incohérences. Les assaillants étaient peut-être des islamistes pieux, mais probablement pas des membres de l’EI. Même le serment qu’ils ont prêté en levant la main gauche est erroné. La déclaration d’Amaq est elle aussi problématique à plusieurs égards. Par le passé, Amaq a revendiqué des attentats en Iran, et les communiqués ultérieurs d’Amaq ont dû être «corrigés».

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, insiste sur le fait que la Russie sait qui a perpétré l’attaque, mais qu’il est trop tôt pour spéculer sur «qui a donné l’ordre ultime» (la question du président Poutine, qui n’a pas encore reçu de réponse).  

Tout cela nous ramène à la question suivante : pourquoi l’Occident s’est-il montré si catégorique quant à l’attribution de l’attentat à l’EI ? Pourquoi souhaite-t-il devancer l’enquête russe ?

Le Global Times de Pékin affirme qu’il est peu probable que l’EI ait orchestré l’attaque parce que la situation en Syrie s’est déjà stabilisée. Mais il va droit au cœur lorsqu’il avertit que le soutien à Kiev diminuerait si l’implication de l’Ukraine dans l’attaque terroriste était établie.

L’engagement des élites de l’UE en faveur de l’Ukraine représente le désastre tacite qui étouffe toute aspiration persistante à ce que l’Europe parvienne à sa véritable autonomie stratégique ; il vassalise l’Europe aux États-Unis et laisse le continent à son niveau le plus faible depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’Europe a perdu sur toute la ligne.

La crainte de Macron de voir une victoire russe en Ukraine oblitérer la «crédibilité» de l’Europe n’a de sens que si le projet impérial de la strate dirigeante d’une UE géopolitique centralisée et imposée d’en haut s’appuie précisément sur la situation critique de l’Ukraine.

Pourtant, face à la réalité de l’échec de l’offensive militaire ukrainienne de l’été dernier, la ferveur pour le «projet Ukraine» persiste – et l’emporte sur toutes les autres considérations.

Pourquoi ?

Parce que la «chasse» panglossienne de l’UE à l’autonomie stratégique (résumée dans son mantra de construction d’une UE géopolitique) est liée à l’Ukraine.

«Reconnaissant le pouvoir émotionnel de la lutte de l’Ukraine contre la domination russe», écrit Arta Moeini, «les élites européennes se sont approprié cette lutte pour prêcher les préceptes idéologiques de l’«européanité» et, en fait, de la civilisation elle-même» ;

«Du jour au lendemain, l’Ukraine en est venue à représenter les «valeurs européennes» éclairées – liberté, démocratie, tolérance, bonne gouvernance, etc. – tandis que la Russie était transformée en «opposé de l’Europe civilisée», la horde barbare à la porte».

«Comme Nietzsche a été le premier à le comprendre, la modernité est une époque où le monde est vécu principalement à travers le prisme de l’oppression et où les identités sont formées à partir de l’«éthique du ressentiment» : Les opprimés sont considérés comme intrinsèquement justes et se voient accorder la valeur morale ultime. Dans ce contexte, la défense des «opprimés» devient le moyen pour la classe dirigeante de gagner et de consolider le pouvoir, en sanctifiant sa suprématie et en plantant les graines de son futur pouvoir en tant que grand libérateur».

En fin de compte, les élites dirigeantes de l’UE cherchent à «transnationaliser» le pouvoir des États membres vers Bruxelles.

C’est là que se trouve le germe de la panique actuelle : lorsqu’il est devenu évident que les efforts militaires conventionnels de l’Ukraine étaient un échec, un certain nombre de faucons aux États-Unis et en Europe se sont rapidement mis à chanter les louanges de la guerre asymétrique – contre la Russie et sa population civile, elle-même.

Cette asymétrie a commencé lentement : quelques attaques de drones aléatoires qui ont fait peu de dégâts. Elle s’est ensuite accélérée avec des missiles tirés sur le centre de Belgorod, tuant des civils, puis avec l’attaque d’un avion de transport russe Iliouchine transportant des prisonniers, et enfin avec des attaques de drones contre des raffineries russes et une guerre navale de drones contre la Crimée.

Le processus s’est accéléré. Et à la veille des élections russes de la semaine dernière, il y a eu la tentative de prétendus dissidents de perturber les élections en envahissant la Russie afin de s’emparer de petites villes et de civils russes pour les garder en otage. (Cette tentative a échoué ; la Russie était au courant du plan).

La question que les Euro-élites doivent se poser aujourd’hui est la suivante : cet effort de guerre asymétrique ukrainien a-t-il échappé au contrôle de Washington et de l’Europe ? Qui est le responsable, s’il y en a un ? Rien n’est encore prouvé, mais la crainte qui hante l’Occident doit être que, soit directement, soit très indirectement, il apparaisse qu’ils pourraient se trouver complices de terrorisme de masse – en s’abritant sous une franchise EI-K ?

Les implications : Énormes.

Alastair Crooke

source : Al Mayadeen

 

27 mars 2024

LE RAFALE F5 DE DASSAULT AVIATION UN VRAI BIJOU DE TRES HAUTE TECHNOLOGIE EN MATIERE D'AVION DE COMBAT !

Rafale F5 : Un bijou technologique en devenir

 

Le Rafale F5, fruit de l’expertise de Dassault Aviation, promet d’être un avion de combat révolutionnaire, alliant puissance, polyvalence et technologie de pointe. Sa fabrication repose sur une collaboration étroite entre les bureaux d’études de Saint-Cloud et les chaînes d’assemblage de Mérignac, avec le soutien des partenaires de la « Team Rafale » tels que Safran et Thales.

Conception et technologie

Au cœur du Rafale F5 se trouve le radar de nouvelle génération RBE2-XG1, un véritable joyau technologique. Ce radar à disruption utilise une combinaison de nitrure de gallium2 et d’intelligence artificielle pour offrir des capacités inégalées. Il est conçu pour détecter tous les types d’aéronefs, y compris les chasseurs de 5e génération en mode furtif, ainsi que les cibles les plus petites telles que les microdrones, jusque-là difficiles à repérer pour les avions de combat traditionnels.

Performances techniques

1. Interconnexion avec des drones : Le Rafale F5 sera capable de voler en compagnie d’un essaim de drones, offrant ainsi une flexibilité opérationnelle sans précédent. Cette capacité permettra d’agir de manière coordonnée et efficace dans des scénarios de haute intensité, renforçant ainsi la supériorité aérienne.

2. Furtivité et neutralisation des systèmes anti-aériens : Le drone de combat nEUROn, en tant qu’extension du Rafale F5, permettra d’opérer avec furtivité pour neutraliser les systèmes anti-aériens ennemis modernes. Cette combinaison d’avions et de drones offre une approche stratégique novatrice pour les missions complexes.

3. Connectivité et traitement des données : Le Rafale F5 pourra traiter d’énormes quantités de données en temps réel, lui permettant de mener des missions variées et complexes. Sa connectivité avec une gamme de drones agissant comme ailiers renforce sa capacité à s’adapter aux exigences changeantes du champ de bataille.

Perspectives futures

Le Rafale F5 s’inscrit dans une vision à long terme pour l’aviation de combat, avec des implications stratégiques majeures. En concurrence avec des avions de chasse de renom tels que le F-35A Lightning II, le Rafale F5 est appelé à redéfinir les normes de l’industrie aéronautique. Sa livraison prévue à la DGA à partir de 2035 marquera une étape cruciale dans l’évolution des capacités de défense de la France.

 

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En conclusion, le Rafale F5 incarne l’excellence de l’ingénierie aéronautique française et promet d’élever les standards de l’aviation militaire pour les décennies à venir. Son développement continu et ses performances techniques de pointe en font un atout inestimable pour les forces armées françaises et internationales.


1Le RBE2-XG est un radar de nouvelle génération développé par Dassault Aviation pour équiper le Rafale F5. 

Fonctionnalités avancées : Le RBE2-XG est un radar à antenne active à balayage électronique (AESA), ce qui signifie qu’il utilise des modules émetteurs-récepteurs individuels pour générer des faisceaux radar électroniquement contrôlés. Cette technologie permet une grande flexibilité dans la gestion des faisceaux radar et offre des capacités avancées de détection et de suivi des cibles.

Technologie à disruption : Le terme « disruption » fait référence à la capacité du radar à perturber les systèmes de détection et de brouillage ennemis. En utilisant une combinaison de nitrure de gallium et d’intelligence artificielle, le RBE2-XG est conçu pour identifier et suivre divers types d’aéronefs, y compris les chasseurs de 5e génération opérant en mode furtif, ainsi que des cibles de petite taille telles que les microdrones.

Hautes performances : Le radar RBE2-XG offre une sensibilité accrue, une résolution améliorée et une capacité de détection étendue par rapport aux radars traditionnels. Il est capable d’identifier les cibles les plus discrètes et de suivre plusieurs cibles simultanément, ce qui en fait un atout essentiel pour les opérations aériennes complexes et exigeantes.

Intégration avec l’avion : Le RBE2-XG est conçu pour être pleinement intégré au système d’armes du Rafale F5, permettant une communication en temps réel avec d’autres systèmes à bord de l’avion. Cette connectivité renforce la capacité du Rafale F5 à opérer de manière collaborative avec des drones et d’autres plateformes, améliorant ainsi sa polyvalence et son efficacité sur le champ de bataille.

En résumé, le radar RBE2-XG représente une avancée significative dans les capacités de détection et de suivi du Rafale F5, offrant des performances de pointe et une technologie de pointe pour répondre aux défis des opérations aériennes modernes.

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2Le nitrure de gallium est un matériau semi-conducteur composé de gallium et d’azote, noté GaN. Il est largement utilisé dans divers domaines de haute technologie en raison de ses propriétés uniques. Voici quelques points clés pour expliquer le nitrure de gallium :

Propriétés électriques : Le nitrure de gallium présente des propriétés électriques supérieures à d’autres semi-conducteurs tels que le silicium. Il est notamment apprécié pour sa capacité à fonctionner à des températures élevées et à des fréquences radioélectriques élevées.

Applications : Le nitrure de gallium est largement utilisé dans la fabrication de composants électroniques tels que les diodes électroluminescentes (LED), les transistors à haute fréquence, les lasers et les dispositifs de puissance. Il est également utilisé dans les radars, les systèmes de communication sans fil et les équipements de défense.

Avantages : Les dispositifs fabriqués à partir de nitrure de gallium offrent une efficacité énergétique élevée, une meilleure durabilité et une plus grande fiabilité par rapport à d’autres matériaux. Cela en fait un choix privilégié pour les applications exigeant des performances élevées.

Dans le contexte du radar RBE2-XG du Rafale F5, l’utilisation du nitrure de gallium dans la technologie radar à disruption permet d’améliorer la sensibilité, la résolution et la capacité de détection de l’aéronef. Cette avancée technologique contribue à renforcer les capacités de détection et de suivi des cibles, offrant ainsi un avantage stratégique sur le champ de bataille. Le nitrure de gallium est un matériau essentiel dans le domaine de la haute technologie, offrant des performances électroniques supérieures et des applications variées dans des secteurs clés tels que l’aérospatiale, la défense et les télécommunications.

 

26 mars 2024

GUERRE UKRAINE/RUSSIE : L'EMBRASEMENT GENERAL ?

choir    CETTE FOIS-CI C’EST LA GUERRE TOTALE !

Pièce 1 : vendredi 22 mars 2024. C'est la guerre. Le Kremlin, via Peskov, l’admet finalement officiellement.

La citation en argent :

"La Russie ne peut pas permettre l'existence à ses frontières d'un État qui a l'intention avérée d'utiliser n'importe quelle méthode pour lui retirer la Crimée, sans parler du territoire de nouvelles régions."

Traduction : le bâtard de Kiev construit par Hégémon est condamné, d’une manière ou d’une autre. Le signal du Kremlin : « Nous n'avons même pas commencé » commence maintenant.

Pièce 2 : vendredi après-midi, quelques heures après Peskov. Confirmé par une source européenne sérieuse – et non russe. Le premier contre-signal.

Des troupes régulières venues de France, d'Allemagne et de Pologne sont arrivées, par voie ferroviaire et aérienne, à Tcherkassy, ​​au sud de Kiev. Une force conséquente. Aucun chiffre n’a été divulgué. Ils sont hébergés dans des écoles. À toutes fins pratiques, il s’agit d’une force de l’OTAN.

Cela signale : « Que les jeux commencent ». Du point de vue russe, les cartes de visite de M. Khinzal devraient être très demandées.

Pièce 3 : vendredi soir. Attaque terroriste contre Crocus City, une salle de concert au nord-ouest de Moscou. Un commando lourdement entraîné tire à vue, à bout portant, de sang-froid, sur des gens, puis met le feu à une salle de concert. Contre-signal définitif : avec l'effondrement du champ de bataille, il ne reste plus que le terrorisme à Moscou.

Et juste au moment où la terreur frappait Moscou, les États-Unis et le Royaume-Uni, en Asie du Sud-Ouest, bombardaient Sanaa, la capitale yéménite, avec au moins cinq frappes.

Une coordination astucieuse. Le Yémen vient de conclure un accord stratégique à Oman avec la Russie et la Chine pour une navigation sans problème dans la mer Rouge et figure parmi les principaux candidats à l'expansion des BRICS+ lors du sommet de Kazan en octobre prochain.

Non seulement les Houthis battent de façon spectaculaire la thalassocratie, mais ils ont également à leurs côtés le partenariat stratégique russo-chinois. Assurer à la Chine et à la Russie que leurs navires peuvent naviguer sans problème à travers Bab-al-Mandeb, la mer Rouge et le golfe d’Aden est en échange du soutien politique total de Pékin et de Moscou.

Les sponsors restent les mêmes

En pleine nuit à Moscou, samedi 23, avant l'aube. Presque personne ne dort. Les rumeurs dansent comme des derviches sur d’innombrables écrans. Bien entendu, rien n’a été confirmé – pour l’instant. Seul le FSB aura des réponses. Une enquête massive est en cours.

Le moment du massacre de Crocus est assez intrigant. Un vendredi du Ramadan. Les vrais musulmans n’envisageraient même pas de perpétrer un massacre de civils non armés dans une occasion aussi sacrée. Comparez cela avec la carte ISIS qui est frénétiquement marquée par les suspects habituels.

Allons pop. Pour citer Talking Heads : « Ce n'est pas une fête, ce n'est pas une discothèque, ce n'est pas une plaisanterie ». Oh non; cela ressemble plus à une opération psychologique entièrement américaine. ISIS sont des mercenaires/crétins caricaturaux. Pas de vrais musulmans. Et tout le monde sait qui les finance et les utilise comme arme.

Cela nous amène au scénario le plus possible, avant que le FSB n’intervienne : des hommes de main de l’Etat islamique importés du champ de bataille syrien – dans l’état actuel des choses, probablement des Tadjiks – entraînés par la CIA et le MI6, travaillant pour le compte du SBU ukrainien. Plusieurs témoins à Crocus ont parlé de « wahhabites » – car dans le commando, les tueurs ne ressemblaient pas à des Slaves.

C'était au Serbe Aleksandar Vucic d'aller droit au but. Il a directement lié les « avertissements » lancés début mars par les ambassades américaines et britanniques adressées à leurs citoyens de ne pas visiter les lieux publics à Moscou avec les renseignements de la CIA/MI6 détenant des informations privilégiées sur un éventuel terrorisme et ne les divulguant pas à Moscou.

L’intrigue s’épaissit lorsqu’il est établi que Crocus appartient aux Agalarov : une famille milliardaire azéri-russe, amis très proches de…

… Donald Trump.

Parlez d’une cible identifiée par Deep State.

Spin-off d’ISIS ou bondérisas – les sponsors restent les mêmes. Le secrétaire clownesque du Conseil national de sécurité et de défense de l’Ukraine, Oleksiy Danilov, a été assez stupide pour confirmer virtuellement et indirectement qu’ils l’avaient fait, déclarant à la télévision ukrainienne : « nous leur offrirons [aux Russes] ce genre de plaisir plus souvent ».

Mais il appartenait à Sergueï Gontcharov, un vétéran de l'unité antiterroriste d'élite Russia Alpha, de se rapprocher de la solution de l'énigme : il a déclaré à Spoutnik que le cerveau le plus réalisable était Kyrylo Budanov, le chef de la direction principale du renseignement de l'Ukraine. Ministère de la Défense.

Le « chef des espions » qui se trouve être le principal atout de la CIA à Kiev.

Il faut que ça aille jusqu'au dernier Ukrainien

Les trois pièces ci-dessus complètent ce que le chef de l'OTAN

Le comité militaire, Rob Bauer, avait déjà déclaré lors d'un forum sur la sécurité à Kiev : « Il faut plus que des grenades – il faut des gens pour remplacer les morts et les blessés. Et cela passe par la mobilisation.

Traduction : L'OTAN déclare qu'il s'agit d'une guerre jusqu'au dernier Ukrainien.

Et les « dirigeants » de Kiev ne comprennent toujours pas. Omelyan, ancien ministre de l'Infrastructure : « Si nous gagnons, nous rembourserons avec le pétrole, le gaz, les diamants et les fourrures russes. Si nous perdons, on ne parlera plus d’argent, l’Occident réfléchira à la façon de survivre.»

En parallèle, le petit « jardin et jungle » Borrell a admis qu’il serait « difficile » pour l’UE de trouver 50 milliards d’euros supplémentaires pour Kiev si Washington mettait fin à ses activités. Les dirigeants en sueur, alimentés par la cocaïne, croient en réalité que Washington « aide » non pas sous la forme de prêts, mais sous la forme de cadeaux gratuits. Et il en va de même pour l’UE.

Le Théâtre de l'Absurde est incomparable. Le chancelier allemand des saucisses de foie estime en fait que les revenus des actifs russes volés « n’appartiennent à personne », et qu’ils peuvent donc être utilisés pour financer une militarisation supplémentaire de Kiev.

Tous ceux qui sont intelligents savent qu'utiliser les intérêts des avoirs russes « gelés » et effectivement volés pour armer l'Ukraine est une impasse – à moins qu'ils ne volent tous les avoirs russes, soit environ 200 milliards de dollars, la plupart parqués en Belgique et en Suisse : cela ferait chuter l'euro. Bonne, et l’ensemble de l’économie de l’UE d’ailleurs.

Les eurocrates feraient mieux d’écouter le principal « perturbateur » de la Banque centrale russe (terminologie américaine) Elvira Nabioullina : La Banque de Russie prendra des « mesures appropriées » si l’UE fait quoi que ce soit concernant les avoirs russes « gelés »/volés.

Il va sans dire que les trois expositions ci-dessus annulent complètement le cirque « La Cage aux Folles » promu par le chétif Petit Roi, désormais connu dans ses domaines français sous le nom de Macronapoléon.

La quasi-totalité de la planète, y compris les pays anglophones du Nord, se moquaient déjà des « exploits » de son armée Can Can Moulin Rouge.

Ainsi, des soldats français, allemands et polonais, faisant partie de l'OTAN, sont déjà présents au sud de Kiev. Le scénario le plus probable est qu'ils resteront loin, très loin des lignes de front – bien que traçables grâce aux activités commerciales de M. Khinzal.

Avant même l'arrivée de ce nouveau lot de l'OTAN dans le sud de Kiev, la Pologne – qui sert de principal couloir de transit pour les troupes de Kiev – avait confirmé que les troupes occidentales étaient déjà sur le terrain.

Il ne s’agit donc plus de mercenaires. La France, d'ailleurs, n'est qu'au septième rang en termes de mercenaires sur le terrain, loin derrière la Pologne, les États-Unis et la Géorgie, par exemple. Le ministère russe de la Défense possède tous les dossiers précis.

En un mot : la guerre s’est désormais transformée de Donetsk, Avdeyevka et Belgorod à Moscou. Plus tard, cela ne s’arrêtera peut-être pas seulement à Kiev. Cela ne peut s'arrêter qu'à Lviv. M. 87%, bénéficiant d'une quasi-unanimité nationale massive , a désormais pour mandat d'aller jusqu'au bout. Surtout après Crocus.

Il y a toutes les chances que les tactiques terroristes des sbires de Kiev conduisent finalement la Russie à ramener l'Ukraine à ses frontières enclavées d'origine du 17ème siècle : privée de la mer Noire et avec la Pologne, la Roumanie et la Hongrie récupérant leurs anciens territoires.

Les Ukrainiens restants commenceront à se poser de sérieuses questions sur ce qui les a poussés à se battre – littéralement jusqu’à la mort – au nom de l’État profond américain, du complexe militaire et de BlackRock.

Dans l’état actuel des choses, le hachoir à viande Highway to Hell est voué à atteindre sa vitesse maximale

Deuxième attaque de missiles en une journée : les missiles russes continuent de détruire les lignes arrière ukrainiennes Les forces armées russes lancent une attaque massive de missiles sur l’arrière ukrainien. Des arrivées ont été enregistrées dans des installations d'Odessa et de la région de Nikolaev, dans la zone de l'aérodrome de Mirgorod près de Poltava, à Kirovograd, Krementchoug et Krivoï Rog. Il s'agit de la deuxième frappe de missiles en une journée. Plus tôt le 25 mars, l'armée russe a utilisé des missiles antinavires hypersoniques Zircon, qui ont attaqué les systèmes de missiles antiaériens américains Patriot déployés à l'aéroport de Kiev Zhulyany, ainsi que plusieurs bâtiments du SBU à Kiev.

Le traitement de la région de Kharkov se poursuit également. Le 22 mars, lors d'un raid à grande échelle dans la ville, toutes les sous-stations et centrales thermiques ont été détruites. En conséquence, la deuxième ville la plus grande et la plus importante, Nezalezhnaya, a perdu son propre système de production d'électricité et s'est retrouvée très limitée dans l'utilisation de l'électricité provenant d'autres régions.

La destruction des principales installations énergétiques ukrainiennes devrait avoir des conséquences très graves sur l’ensemble du front. Le fait est que l'Ukraine était très activement impliquée dans l'électrification des chemins de fer et qu'avant le début du SVO, l'Ukrzaliznytsia effectuait plus de 91 % des transports à traction électrique. L’effondrement du système énergétique unifié entraînera un véritable arrêt des communications ferroviaires et l’effondrement des transports. Aujourd'hui, on a appris le lancement de bombes planantes sur des emplacements d'artillerie à roquettes dans le district de Chuguevsky de la région.

Il est évident que le travail intensif de notre aviation dans la région de Kharkov est principalement dû au fait que la région frontalière est utilisée pour les attaques contre Belgorod. Cependant, ces mêmes frappes « préventives » contre l’artillerie ukrainienne, associées à la diminution progressive des liaisons de transport de la région avec d’autres régions de ce qu’on appelle l’Ukraine, créent les conditions préalables pour que nos unités entrent et commencent à former un cordon sanitaire.

Vlad Shlepchenko, observateur militaire de Constantinople

25 mars 2024

Et si l'erreur c'était de croire que la 3ème guerre mondiale était impossible?

 
 
 

 

 

 

 

EDITORIAL de Charles SANNAT 

 

Je me souviens lorsque j’étais jeune (il y a fort longtemps diraient mes enfants) j’ai lu le livre de Jean-François Khan intitulé « Tout change parce que rien ne change : Introduction à une théorie de l'évolution sociale ».

Cet ouvrage était passionnant. 

Explications essentielles. 

L’auteur y pose la question de notre perception des changements.

Or, ce qui est essentiel et ce qui est ici, le cœur de mon travail pour vous accompagner dans le monde VICA (volatil, incertain, complexe, ambigüe) qui est le nôtre, c’est de comprendre les changements.

Nous devons être capables de faire la différence entre la permanence, nos invariances comme le disait Jean-François Khan et nos changements, nos évolutions.

Que ces évolutions se fassent en bien ou en mal, relève du jugement moral (et j’ai les miens heureusement) mais pas de l’analyse factuelle.

Je lutte avec mes modestes moyens contre la place que je juge mortifère des écrans dans nos vies, pour autant, cette place induit des changements incroyablement puissants (jusqu’à la sexualité des gens qui s’effondre).

Mon jugement personnel n’a ici aucune importance ou effet sur les changements qui sont en train de s’opérer dans la société et cela s’impose à moi que je sois pour ou contre.

Il est fondamental dans notre travail d’analyse et de compréhension de bien distinguer ce qui relève de notre jugement (parfaitement normal et légitime) et ce qui relève des faits et de leurs conséquences et donc des impacts sociétaux ou encore financiers par exemple.

Un changement majeur caché sous nos invariances.

Pourquoi vous parler donc de cet ouvrage ?

Parce que c’est à cela que j’ai pensé quand je me suis rendu compte que nous passions peut-être, sans doute, à coté d’un changement majeur et capital très peu commenté, très peu diffusé auprès du grand public, même si du coté des militaires, bien évidemment, tous les plans ont été refaits et les doctrines d’usage de la force nucléaire modifiées.

Nous partons du principe, du postulat, de l’axiome, de l’évidence qu’une guerre nucléaire est impossible et que donc la 3ème Guerre mondiale n’est pas envisageable sauf dans l’esprit des pessimistes paranoïaques.

Je pense que derrière cette invariance du raisonnement « c’est impossible », se cache un changement que presque personne n’a vu, et que presque tout le monde ne veut pas voir tellement c’est « effrayant ».

Si la guerre nucléaire est considérée comme impossible, c’est parce qu’elle conduirait à la DMA…. La destruction mutuelle assurée.

Nous mourrions tous, ce serait un suicide collectif, et personne n’y aurait intérêt, donc c’est impossible d’arriver à ce point car au dernier moment la rationalité et l’instinct de survie prendront le dessus.

Force est de constater, que pendant ces décennies entières de guerre froide, les choses se sont globalement passées ainsi.

Nous avons pris l’habitude que la peur de cette destruction mutuelle l’emporte sur nos ambitions guerrières, sur nos tensions, sur nos détestations ou sur notre violence.

L’arme atomique est devenue gage de paix et cette peur de la destruction mutuelle assurée est devenue une dissuasion.

Imaginons que la situation ait changé.

Imaginons que beaucoup pensent qu’une guerre nucléaire puisse être gagnée ?

Imaginons même que certains pensent qu’une guerre nucléaire n’aurait pas autant d’inconvénients environnementaux que ce que l’on pouvait croire jusqu’à présent.

Imaginons encore pour aller plus loin, que certains y verraient même un bénéfice/risque très favorable aussi bien pour l’avenir que pour l’environnement.

Alors ce changement majeur de raisonnement rendrait possible l’utilisation potentielle de l’arme atomique et donc la 3ème Guerre mondiale.

Le refus de la victoire russe implique un engagement de plus en plus important et donc la guerre!

MACRON et le refus de la victoire russe en Ukraine implique la guerre.

Emmanuel MACRON l’a dit avec une immense clarté au même moment où il expliquait qu’il ne fallait pas exclure d’envoyer des troupes au sol en Ukraine pour affronter l’armée russe.

"La Russie ne peut, ni ne doit, gagner cette guerre en Ukraine. Nous sommes en train d'assurer notre sécurité collective" voilà exactement ce qu’il a déclaré. Il a également confirmé tout cela lors de son allocution de jeudi dernier lors du journal de 20 heures. 

Tout le monde l'a bien compris. Le président prépare les esprits à la guerre et à l'envoi de nos troupes en Ukraine. 

 

Pourtant personne ne veut analyser réellement ce que cela implique!

Ce que cela veut dire réellement.

On peut tout reprocher à MACRON, et je ne m’en prive pas, on peut dire que c’est une très mauvaise idée et que l’on ne veut pas mourir pour Kiev et pour « Zizilenski » l’homme qui jouait du piano non pas debout mais avec sa bistouquette(c’est ainsi qu’il s’est fait connaître), mais l’on ne peut pas reprocher à MACRON de ne pas afficher ses intentions aussi dramatiques soient-elles potentiellement.

Au bout de 2 ans de guerre et de positions figées, alors que l’armée ukrainienne vacille, si nous ne voulons pas que la Russie perde, mais que l’Ukraine ne peut plus tenir, que croyez-vous qu’il va se passer ?

Voilà la seule et la véritable question que personne n’a osé poser et que MACRON a commencé à illustrer avec son envoi de troupes en Ukraine.

Si nous ne voulons pas que la Russie gagne en Ukraine, mais que l’Ukraine ne peut plus tenir, que va-t-il se passer ?

Simple. Soit nous acceptons la défaite de l’Ukraine, soit nous entrons en guerre à ses côtés avant qu’elle ne s’effondre.

Ce sera alors la 3ème Guerre mondiale.

Comme vous avez pu l’entendre et le voir, MACRON, n’exclut pas du tout de devoir faire la troisième guerre mondiale.

S’il ne l’exclut pas, c’est que d’une manière ou d’une autre, il pense pouvoir la gagner et s’en sortir.

Il pense que le bénéfice/risque est favorable.

Mais c'est encore plus complexe. Poursuivons l'analyse. 

La Russie n’est pas une menace immédiate

Tout d’abord, remarquons que la Russie n’arrive pas à en finir avec l’Ukraine, alors de là à tenter d’envahir la Pologne ou le reste de l’Europe, il y a une évidente limite à l’expansionnisme russe, ses capacités militaires et celles que nous lui opposons en face.

En tant que gaulliste, la souveraineté et la protection des intérêts vitaux de notre pays nécessitent que nous ayons les moyens de notre propre sécurité.

Il nous faut donc une armée conventionnelle suffisamment forte pour assurer la sécurité de la France, il nous faut aussi une dissuasion nucléaire crédible et suffisamment vaste et large pour assurer n’importe quel adversaire de pertes effroyables.

C’est l’application toujours d’actualité du proverbe vieux comme le monde « si vis pacem, parra bellum » cette locution latine signifiant « Si tu veux la paix, prépare la guerre ».

Lorsque MACRON affirme que nous « assurons notre sécurité collective », cette sécurité n’est à mon sens, en aucun cas menacée par la Russie, à ce stade.

Je précise bien à ce stade. La Russie c’est une population vieillissante de 140 millions d’habitants là où l’Union Européenne compte plus de 480 millions d’habitants.

Pour le dire autrement, nous avons plus de chair à canon à sacrifier que la Russie. 3 fois plus. C’est un rapport de force très défavorable à la Russie.

Pour les Etats-Unis c’est bien la même chose avec les 335 millions d’Américains.

Il faut donc se poser la question du mobile.

Bien évidemment ce n’est pas le camp occidental qui vient d’envahir l’Ukraine, c’est bien Poutine.

Pour autant, nous n’avons pas été des artisans de paix, mais bien des créateurs de guerre comme l’a si bien expliqué Angela Merkel que l’on ne pas accuser de Poutinolâtrie.

 

"Les accords de Minsk devaient donner du temps à l'Ukraine" : Angela Merkel jette un pavé dans la mare.

« Une ex-chancelière ne devrait pas dire ça… Dans une interview au journal «Die Zeit », l’ancienne dirigeante allemande explique que les accords de Minsk n’étaient qu’un moyen pour l’Ukraine de se renforcer militairement afin de se préparer à un conflit inévitable. »

Depuis le début les pays Européens savaient que la Russie ne laisserait jamais l’Ukraine se détacher de sa zone d’influence directe, et que le meilleur accord possible de paix était celui qui consistait à ce que l’Ukraine reste neutre sans entrer ni dans l’Union Européenne, ni évidemment dans l’Otan.

Ne pas accepter cela, c’était franchir la ligne rouge russe.

Lorsque la Russie entre en Crimée en 2014, les Ukrainiens ne sont pas en mesure d’affronter l’armée russe. C’est dans ce contexte que sont négociés les accords de Minsk qu’évoque ici l’ancienne Chancelière allemande.

Mais cela ne répond pas à la question du mobile que nous évoquerons plus bas, dans une partie spécifique.

Car, oui, il y a vraisemblablement derrière tout cela un mobile puissant. 

Il faut comprendre les risques, les enjeux, les évolutions pour avoir une meilleure idée de ce qu'il va se passer dans les mois qui viennent, des mois très dangereux. 

Nous en sommes toujours au stade 3 expliqué dans le dossier d'octobre 2023, mais vous voyez pour ceux qui l'ont lu que nous sommes presque passés au stade 4. Le déploiement éventuel des troupes françaises au sol en Ukraine, déclenchera automatiquement le passage au stade 4 comme je vous l'ai expliqué depuis octobre 2023. 

Dans ce dossier spécial je vous propose d'étudier et de comprendre pourquoi la guerre nucléaire ne fait plus peur et comment cela rend justement possible la 3ème guerre mondiale. 

C'est un dossier étayé, argumenté, de presque 40 pages. J'y analyse les changements de doctrine d'emploi de l'arme nucléaire, les mobiles, les grands changements passés sous les radars, et vous comprendrez nettement mieux dans quel cadre le président MACRON inscrit ses dernières déclarations guerrières. 

L'erreur fondamentale d'analyse, c'est justement de croire la confrontation impossible. 

Je le dit depuis le 1er jour de la guerre, il n'y a pas de petite guerre en Europe. 

Charles SANNAT 

 

25 mars 2024

EUROPEENNES : Comment ne pas tomber dans le piège tendu par LR et le RN

 

 

 

Chère amie, Cher ami,

Ce matin, Éric Ciotti a déclaré que Reconquête attaquait la droite, ce qui était « paradoxal pour un parti qui prônait l’union des droites ».

Vous devez souvent entendre cet argument : « Pourquoi Marion Maréchal et Éric Zemmour critiquent-ils LR et le RN, alors qu’ils prônent une union des droites ? »

Voici des éléments de réponse :

1- Ces partis font un chantage à l’union des droites, alors qu’ils la rejettent depuis toujours.

Seul Éric Zemmour a proposé lors de sa campagne présidentielle une union – voulue par les trois électorats – mais rejetée par les cadres du RN comme de LR.

Il a appelé à voter Marine Le Pen au second tour sans rien négocier : elle a rejeté son geste et dit qu’elle « préfèrerait un Montebourg à son gouvernement plutôt qu’un Zemmour ». Toujours l’alliance avec la gauche plutôt qu’avec la droite…

Malgré cela, Éric Zemmour a tout de même refusé de mettre des candidats aux législatives face à elle et face à Éric Ciotti : eux ne s’en sont pas privés et ont fait campagne contre nous alors qu’on leur tendait la main.

Ils ont mis des candidats contre Éric Zemmour, contre Stanislas Rigault et Marion Maréchal, contre Guillaume Peltier, etc. Le simple fait qu’ils refusent l’union, alors que les Français la veulent, rend nos critiques légitimes.

2- S’ils utilisent cet argument, c’est donc uniquement pour nous faire taire, pas parce qu’ils voudraient une union avec nous.

Il faut aujourd’hui être lucide : nous n’obtiendrons pas l’union en la quémandant aux autres. Nous devons la leur imposer en convainquant directement les Français.

Plus les Français nous feront confiance, à nous plutôt qu’à eux, plus l’idée d’union sera renforcée, car nous aurons la force de l’imposer.

Nous avons, par nos grandes figures comme par notre électorat, qui viennent de toute la droite, déjà posé la première pierre de ce grand rassemblement

3- L’union n’est jamais synonyme de soumission.

Regardez la gauche : les différents partis n’ont pas cessé de s’attaquer et de rappeler leurs différences avant de s’unir dans la NUPES.

Même chose en Italie, où Salvini et Meloni se sont violemment combattus pendant des années : ils se sont pourtant unis pour gagner en 2022.

C’est parce que nous sommes convaincus que notre ligne est la meilleure pour l’intérêt de la France et des Français que nous avons le devoir de la défendre contre le reste de la classe politique.

4- A tous ceux qui hésitent, il faut donc sans cesse rappeler tout ce qui nous différencie de LR et du RN.

- LR a trahi la droite depuis 40 ans et s’apprête à siéger dans un groupe au Parlement européen qui vote avec les Macronistes, les écolos et les socialistes pour le programme d’Ursula von der Leyen. Leurs députés seront dilués et ne pourront pas peser.

- le RN combat les idées identitaires, en s’opposant à la remigration, en déclarant que le grand remplacement est « une théorie complotiste d’extrême droite » et en déclarant que « l’islam est compatible avec la République ».

Ce ne sont pas que des mots. Comme dit Éric Zemmour « qui parle comme le système, agit comme le système ».

Les conséquences ?
Marine Le Pen prévoit de donner le RSA aux étrangers. Elle vote la loi Darmanin qui régularise 10 000 clandestins de plus chaque année et l’un de ses députés inaugure une mosquée directement liée à Erdogan dans le Vaucluse.

Plus récemment encore, le RN applaudit l’inscription de l’IVG dans la Constitution et ne s’oppose pas à la pénalisation des propos privés, ce qui est un véritable coup contre la liberté d’expression.

En plus de ces sujets vitaux, nos idées économiques sont totalement différentes de celles du RN : nous voulons moins de normes et de taxes, le RN a un programme socialiste, comme l’a brillamment développé Marion lors des rencontres économiques de Reconquête.

5- Nous devons assumer notre spécificité et la marteler.

À Reconquête nous sommes les seuls à lutter à la fois contre l’islamisation de la France, contre le wokisme et pour une économie de droite.

Soyez fiers de vos idées : en 2 ans d’existence, regardez le chemin parcouru. Déjà 2,5 millions d’électeurs, déjà une avancée spectaculaire de nos idées grâce à Éric Zemmour, déjà un grand parti structuré avec de fortes personnalités à sa tête, déjà des actions indispensables, comme les mobilisations locales quotidiennes, les Parents Vigilants, les 16 du mois ou les Rencontres économiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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24 mars 2024

DEMAIN UNE GUERRE MONDIALE EST-ELLE POSSIBLE ENTRE LES ETATS-UNIS ET LA CHINE ?

Entre les États-Unis et la Chine "une grande guerre approche", assure un haut gradé de l'armée

SOURCE : Elodie Descamps 09/01/2023, 15:02 - modified 10/01/2023, 10:58 Géopolitique

 

Et si la guerre qui fait rage en Ukraine n'était que le prélude d'une guerre bien plus importante entre les États-Unis et la Chine ? C'est en tout cas ce que suggère un haut gradé de l'armée états-unienne. Le monde serait-il à l'aube d'un affrontement entre les deux plus grandes puissances mondiales ? On fait le point.

Et si la guerre en Ukraine n’était que ”l'échauffement” d'une “grande guerre” opposant les États-Unis à la Chine ? C’est en tous cas ce qu’a affirmé l'amiral Charles A. Richard, l'un des plus hauts gradés de l'armée états-unienne à la tête de "l'United States Strategic Command", lors d'un symposium officiel en novembre. À en croire ce responsable de l'arsenal militaire et la dissuasion nucléaire dont les propos ont été rapportés par Korii, le pire serait à venir.

 

L'arrivée d'une "grande guerre" entre la Chine et les États-Unis ?

En novembre dernier, Joe Biden réaffirmait l'opposition des États-Unis à toute tentative "unilatérale de changer le statu quo ou de porter atteinte à la paix et à la stabilité dans le détroit de Taïwan" dans un communiqué. Historiquement perçue comme un allié des États-Unis face à la Chine, Taïwan représentait déjà un rempart au développement du communisme durant la guerre froide. L’ennemi véritable des États-Unis n’est pas la Russie mais la Chine, insiste l’amiral Charles A. Richard. Et si “la crise en Ukraine n'est qu'un échauffement”, "la grande guerre arrive", assure le haut gradé, annonçant un conflit bien plus important opposant les États-Unis à la Chine.

Et il ne faudra pas longtemps avant que nous soyons mis à l'épreuve comme nous ne l'avons pas été depuis longtemps.”, avertit le militaire qui considère que son armée a pris du retard par rapport à celle de son principal rival. S’il est courant que des hauts gradés tiennent des propos particulièrement alarmistes sur l’industrie militaire de leur pays afin de se voir octroyer davantage de financements, le fait que ses déclarations soient reprises par le ministère de la Défense, indique tout de même qu’elles ne sont pas à prendre à la légère. D’autant que le président chinois Xi Jinping s’est empressé d’y répondre, indirectement, en exhortant ses forces armées à “accélérer l’amélioration de leur capacité à vaincre” le 8 novembre dernier, dans un contexte où “l’incertitude de la situation sécuritaire de la Chine augmente”.

Des exercices militaires organisés par l'armée états-unienne en mer de Chine méridionale, (où s'est installée une partie de la flotte marine américaine) à la visite de Nancy Pelosi à Taïwan contre la volonté de la Chine, en passant par le soutien militaire apporté à l'île que Pékin considère comme une province de son territoireles États-Unis semblent multiplier les provocations à l'égard de leur rival chinois depuis plusieurs mois. En réponse, le président Xi Jinping n'hésite pas à rappeler que son pays se tient prêt à répondre militairement si nécessaire. Mais pourquoi la tension entre la Chine et les Etats-Unis s'intensifie-t-elle à ce point ces derniers mois, voire ces dernières années ?

Au-delà du cas de Taïwan, la première puissance mondiale n'entend pas perdre son hégémonie économique, culturelle, financière et militaire sur le monde. Or, la Chine n'a jamais caché ses ambitions économiques, et les met à l'oeuvre, notamment sur le continent africain. L'ancien président Barack Obama disait déjà à l'époque : "La Chine veut écrire les règles pour la région du monde qui a la croissance la plus rapide (l'Afrique). Pourquoi la laisserait-on faire ? Nous devrions nous-mêmes écrire ces règles." Les nouvelles route de la soie qui constitue le plus vaste projet industriel mondial reliant la Chine à l'Europe, promettent également de peser sur le commerce mondial. Elles concernent plus de 68 pays et regrouperait près de 40 % du produit intérieur brut (PIB) de la planète. Ainsi, si cette rivalité entre super-puissances n'est pas nouvelle, elle tend à s'accroitre à mesure que la Chine gagne du terrain sur le globe.

Une "menace chinoise" plus économique que militaire ?

Il est vrai que la Chine concurrence la première puissance planétaire, elle-même en perte de vitesse, sur les terrains économiques et financiers. Une concurrence entre puissances qui a déjà bouleversé l’ordre international unipolaire tel qu’il fut construit après la Seconde Guerre mondiale et l'effondrement de l'URSS, et qui n'est pas au goût des Etats-Unis. A titre d'exemple, la Chine a dégagé un excédent commercial de 690 milliards de dollars sur l'année 2021, tandis que les États-Unis traînent un déficit budgétaire colossal évalué à 668 milliards de dollars.

Une crainte visiblement partagée par l'Union européenne. Selon le Financial Times, une récente note des services en charge de la politique étrangère de l’Union à Bruxelles, enjoint les ministres des Affaires étrangères des 27 pays membres à adopter une ligne plus dure à l’égard de Pékin. "La Chine est devenue un concurrent encore plus fort pour l’Union européenne, les États-Unis et les autres partenaires, souligne la note. Il est de ce fait essentiel d’étudier la meilleure façon de répondre à ces défis en cours ou à venir. […] En résumé, nous nous dirigeons vers une concurrence totale sur le plan économique mais aussi politique", conclut-elle.

D'après les propos du haut gradé, qui s'inquiète que la marine militaire chinoise soit désormais la plus vaste du monde et des progrès de son aviation, les Etats-Unis seraient notamment menacés par la modernisation de l'armée chinoise. Toutefois, que ce soit dans les domaines économique, financier, technologique, culturel, ou militaire, ces derniers conservent une avance indéniable sur la Chine, et le reste du monde. Pour rappel, le budget alloué au département de la Défense s'élève à environ 688 milliards d'euros, quand celui de la Chine n'est "que" de 227,4 milliards d’euros. Sur la période de 2015 à 2018, les dépenses militaires des Etats-Unis représentent environ 35 % du total des dépenses militaires mondiales. Autrement dit, s'il faut observer avec attention la montée des tensions sino-américaines dont Taïwan est devenu l'épicentre, l'armée chinoise ne se glisse pas encore au niveau de la plus grande puissance militaire au monde.

 

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