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POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
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29 novembre 2022

POUR CET HIVER 2022/2023 APPRENDRE A PREPARER SA SURVIE AUJOURD'HUI LE POÊLE A BOIS POUR CHAUFFER SON HABITAT

Les poêles à bois, la  solution

100% résiliente pour se chauffer !

11.11.2022

 
 

petit-poele-a-bois-crapaud-gaudin-en-fonte-noir

 
 


Chers amis,



Les poêles à bois sont LE système de chauffage résilient.

Ce sont les seuls qui vous permettent de chauffer efficacement votre logement ET qui fonctionnent même en cas de Black-Out.

Je n’utilise que ça dans ma BAD et j’en suis vraiment très content.

Alors dans cette lettre je vais vous donner toutes les clefs pour choisir le poêle à bois le plus adapté à vos besoins.


Mais avant de vous présenter les différentes technologies, il me paraît important d’insister sur quelques points.


Les contraintes des poêle à bois

Les poêles à bois sont géniaux, je ne jure que par eux.

Mais ils ont plusieurs contraintes... certaines sont facilement surmontables, mais d’autres peuvent rendre impossible leur installation à votre domicile.

Les voici :

    • Un conduit d’évacuation des fumées est obligatoire, dans les vieilles maisons vous pouvez souvent utiliser celui d’une ancienne cheminée. Malheureusement la plupart des appartements modernes n’en ont pas.

    • Le stockage du bois prend de la place, il faut compter facilement plusieurs mètres cubes. Idéalement votre lieu de stockage doit être dans votre habitation, sortir dehors pour chercher des bûches quand il fait -10 degrés n’est pas très agréable.

    • Il n’y a pas de thermostat, la production de chaleur des poêles est en dent de scie. Chauffer correctement nécessite un peu d'expérience et de planification.

    • Les poêles sont lourds, ça peut être difficile de les installer dans les étages.

  • Il y a un risque de brûlure, les poêles chauffent fort et certains modèles peuvent être dangereux pour les enfants, exactement comme les cheminés.
Mais ces quelques inconvénients sont largement compensés par les avantages.


Bûches ou pellets ?

La question elle est vite répondue comme diraient certains : Bûches évidement !

Les pellets sont très pratiques pour alimenter en continu une chaudière.

Mais ils sont quasiment impossibles à fabriquer chez vous, ils nécessitent une colle spéciale et une machine très chère .

Au contraires des bûches qui ne nécessite qu’une tronçonneuse et de l’huile de coude.

Autre raison de ne pas choisir les pellets, la plupart des poêles qui les utilisent fonctionnent à l'électricité.


Vitesse de chauffe ou inertie thermique ?

Pour bien chauffer une pièce, il y a deux choses à prendre en compte.

La vitesse de chauffe, c’est la capacité de votre poêle à chauffer rapidement une pièce.

L’inertie thermique, c’est la capacité du poêle à redistribuer la chaleur emmagasinée pendant une longue durée.

Généralement il y a deux types de poêles :
  • Ceux qui chauffent vite, mais qui ont une inertie thermique faible ;
  • Ceux qui chauffent lentement, mais qui ont une grosse inertie thermique.
Personnellement je privilégie l’inertie thermique, mais à vous de voir ce qui correspond le mieux à votre situation.


Les poêles en acier : Passez votre chemin…
 

Les poêles en acier sont généralement les moins chers, mais aussi les moins efficaces.

La faible épaisseur des plaques d’acier permet de chauffer rapidement une pièce, mais l’inertie thermique est quasiment inexistante.

Attendez-vous à devoir rajouter des bûches toutes les heures pour maintenir la chaleur.

Pour moi, c’est plus de la décoration pour bobo qu’un moyen efficace de se chauffer.


Les poêles en fonte : Pour une chauffe rapide

Les poêles en fonte sont les plus courants, ils chauffent rapidement et fort, mais ont une inertie thermique moyenne.
 

Selon la qualité des poêles, et notamment l’épaisseur de la fonte, ils continuent à chauffer une à deux heures après que le feu se soit éteint.

Dans les régions montagneuses on peu trouver de très belles affaires sur les sites de petites annonces.

Le seul inconvénient est qu'ils deviennent vraiment très chauds et qu’il faut faire attention avec les enfants.


Les poêles de masse : Pour une grosse inertie thermique

Les poêles de masse c’est le top pour chauffer longtemps un grand volume.
 

Pour faire simple, ce sont de gros blocs de pierre ou de briques réfractaires, dans lesquels serpente le conduit d’évacuation des fumées.
 

C’est ce qui leur permet de récupérer un maximum de chaleur de la combustion des bûches.

En fonction des modèles, ils ont une inertie thermique qui peut aller jusqu'à 8h/10h.

Pour vous donner un exemple, le poêle que vous voyez sur la photo met environ 6h (et une dizaine de bûches) avant d’être chaud.

Mais une fois que c’est fait, il restitue doucement la chaleur pendant environ 8h.

C’est parfait pour continuer à chauffer doucement pendant la nuit et éviter de se réveiller dans une pièce glaciale.

Ils ont par contre 3 inconvénients :
  1. Ils mettent beaucoup de temps à chauffer, concrètement si vous l'allumez en rentrant du travail à 18h, il ne sera chaud que vers minuit.
  2. Ils pèsent vraiment lourd, facilement plusieurs tonnes, et ne peuvent pas être installés partout.
  3. Ils sont très chers, neufs ils tournent autour de 10 000 € et comme les modèles anciens sont très recherchés, les occasions sont rares.
Pour moi ce sont les meilleures poêles, mais il faut soigneusement réfléchir à leur installation.


Les poêles hybrides : Un juste milieu

Il existe une très grande quantité de poêles hybrides, je ne pourrais pas tous les citer ici.

Certains ont à la fois des parties en fonte et en pierres réfractaires, d’autres permettent de chauffer de l’eau ou de cuisiner…

Mon poêle principal est justement un de ces poêles hybrides, il est composé d’un corps en fonte et d’une enveloppe en pierres réfractaires.
 

C’est le juste milieu entre les deux technologies, il met environ 1h à chauffer et restitue de la chaleur pendant près de 4 heures.

Certains artisans sont capables de réaliser des poêles hybrides sur mesure, c’est souvent la meilleure option mais il faut avoir le budget.


Attention au dimensionnement de votre poêle !

Votre poêle doit être adapté au volume que vous voulez  chauffer.

S’il est trop petit, il va prendre beaucoup trop de temps pour faire monter la température.

Au contraire, si vous mettez un poêle trop grand dans un petit volume ça va très rapidement se transformer en sauna.

Les anciens propriétaires de ma BAD ont mis un grand poêle en fonte dans une petite chambre, c’est super joli mais mal dimensionné.

Pendant les rénovations de l’hiver dernier j’ai dormi plusieurs semaines dans cette chambre, en deux heures je passais de 10 degrés à plus de 35 degrés.

J’avais le choix entre geler ou avoir trop chaud et dormir sans couette en plein hiver…


Dans un prochain mail je vous parlerai des fameux pianos, les poêles à bois dédiés à la cuisine résiliente.
 



Préparez-vous l'hiver sera long sans énergie sauf si vous êtes prévoyant !

 
 
2 - Poêles à bois : 4 astuces, 3 erreurs et un cadeau ! 
 


Chers amis,  



J’ai eu d’excellents retours sur mes deux dernières lettres sur les poêles et les cuisinières à bois.

Ça fait plaisir de voir que vous avez autant d'intérêt que moi pour ces systèmes anciens, mais qui restent parmi les plus efficaces !

Du coup, je me lance dans une 3e lettre sur le sujet, mais cette fois-ci pour la partager :

  • 4 astuces pour optimiser l’utilisation de vos poêles ;
  • 3 erreurs à ne surtout PAS faire ;
  • 1 cadeau pour transformer la cendre en un produit d’entretiens tout aussi efficace que ceux du supermarché, mais naturel et gratuit.
Commençons par les 4 astuces.


Astuce 1 : Le ventilateur thermique pour diffuser la chaleur

S’il n’y a pas de courants d'air, la chaleur des poêles peut avoir du mal à se diffuser, surtout dans les grandes pièces (elle risque de stagner autour du poêle).

Un bon moyen de faciliter la circulation de l'air, et donc de la chaleur, c’est d’utiliser un ventilateur thermique.
 

Ce que j’adore avec ces petits ventilateurs, c’est qu’ils sont très résilients.

Pas besoin de branchement électrique ou de batterie, ils fonctionnent uniquement grâce à la chaleur produite par votre poêle (plus précisément le différentiel de température entre le poêle et la pièce).
 

La plaque thermique transforme la différence de chaleur en électricité qui alimente le moteur.

La puissance des ventilateurs thermiques n’est pas incroyable, mais ils sont totalement silencieux et sans danger (mon fils adore l'arrêter avec ses petits doigts, puis rigoler en le regardant repartir).

Certains modèles se posent directement sur votre poêle (idéal pour l’acier et la fonte), d'autres s’attachent au conduit d’évacuation des fumées (idéal pour les poêles couverts de pierres réfractaires ou faïence).

Astuce dans l’astuce : si vous avez un poêle fermé (sans vitres), voir les pales du ventilateur tourner au ralenti est un excellent moyen de savoir quand on doit remettre du bois.


Astuce 2 : Bien calibrer vos bûches

Les chambres de combustion des poêles ont une taille maximale, inutile d’essayer de faire entrer une bûche trop grande de force.

Et pour la plupart des modèles, il n’est pas possible de les faire fonctionner la porte ouverte.

Vous devez donc soigneusement calibrer vos bûches en fonction de la taille de la chambre de combustion de votre poêle.
 

Chez moi par exemple, mes poêles ont des tailles de foyers différentes et j’adapte :
  • L15 cm H10 cm, pour ma cuisinière à bois ;
  • L30 cm H15 cm, pour mon poêle principal ;
  • L50 cm H20 cm, pour le poêle de mon bureau ;
  • Tout le reste, va dans la cheminée.
Je fais le tri en rangeant mon bûcher, ça me fait gagner du temps.


Astuce 3 : Installer un détecteur de fumée et acheter un extincteur

Les poêles chauffent fort et un accident est vite arrivé (je vous donnerai d'ailleurs une anecdote personnelle dans la 3e erreur…).

Plus qu’une astuce, c’est donc pour moi une obligation d’installer un détecteur de fumée au-dessus de votre poêle.

Penser également à placer un extincteur à quelques mètres de votre poêle, pas trop près pour pouvoir l’attraper sans risque en cas de départ de feu.

Ça ne vous coûtera que quelques dizaines d’euros et en cas de problème, ça peut tout changer.


Astuce 4 : Réutiliser votre cendre au jardin ou en lessive !

Si comme moi vous vous chauffez uniquement avec un poêle à bois, vous allez vite vous retrouver avec de grosses quantités de cendres...
 

Mais la cendre n’est pas juste un déchet encombrant, elle est très riche en potasse et vous pouvez la valoriser de plusieurs manières.

Après quelques recherches et expériences, j’ai conservé deux façons très efficaces de l’utiliser, pour :
  • Fertiliser mon jardin et mon potager, mais attention, pas plus d’une poignée par m2 et par an ;
  • Fabriquer une lessive maison, avec seulement des cendres et de l’eau, rien d’autre. Je vous donne la recette plus bas.
Personnellement, même avec ces deux utilisations, il me reste énormément de cendre, alors je l'utilise comme remblais quand je fais des travaux de terrassement !

Après les astuces, voici les 3 erreurs à ne surtout pas faire avec vos poêles !


Erreur 1 : Brûler n’importe quoi

Un bon poêle chauffe fort, très fort, il peut fonctionner avec à peu près n'importe quoi.

Mais ce n’est pas une raison pour mettre n'importe quoi dedans…

Je me connais, je n’ai pas pu m'empêcher de faire pas mal d'expériences, foireuses pour la plupart…

Voici donc quelques exemples de combustibles que je ne vous recommande pas :
  • Des cartons compressés ;
  • Du bois encore vert, pas assez sec ;
  • Le mélange de sciure et de poussière que je récupère quand je nettoie mon établi ;
  • Les coins de bois reconstitués de palettes ;
Le résultat est quasiment toujours le même, une production de chaleur assez faible et un encrassement de la chambre de combustion.

Sauf pour les cartons compressés, qui ont enfumé toute ma maison malgré l'étanchéité de mon système et pour les coins de bois reconstitués de palettes, dont les clous ont bloqué le mécanisme de mon bac de récupération des cendres…

Bref, un poêle à bois c’est fait pour fonctionner avec des bûches de bois sec, point.


Erreur 2 : Ne pas entretenir votre poêle

Pour entretenir votre poêle, vous n'avez besoin de faire que deux choses :
  • Vider régulièrement les cendres ;
  • Ramoner le conduit d’évacuation des fumées ;
Ne rigolez pas avec le ramonage, surtout si comme moi, vous utilisez votre poêle tout l’hiver.

Si vous utilisez votre poêle au quotidien, un ramonage annuel est indispensable, si c’est plus occasionnel tous les 2 ou 3 ans.

Un feu de cheminée puis un incendie de toiture est vite arrivé, parole de pompier volontaire.


Erreur 3 : Mettre des matières inflammables à proximité…

Ça peut paraître évident… vous vous êtes d’ailleurs sûrement dit, en lisant ce titre “Heu on me prend pour un con là ?”.

Mais même si on est conscient des risques, une bêtise est vite arrivée, avec potentiellement des conséquences dramatiques…

Je vais donner un exemple personnel.

Dans ma chambre d’amis, j’ai un superbe poêle avec un étendoir constitué de petites tiges en métal repliables (en rouge sur la photo).
 

Quand il neige ou qu’il pleut dehors, la chaleur du poêle est idéale pour sécher un habit ou une serviette.

Mais la chaleur du poêle en fonte est tellement forte qu’il a mis le feu a une serviette.

Le pire dans tout ça, c’est que c’est arrivé deux fois à quelques mois d'intervalle !

Une fois avec mon beau père, une fois avec ma femme.

Les deux m’ont dit “mais c’était à peine tiède quand j’ai mis la serviette, je ne pensais pas que…”.

Heureusement que j’avais installé un détecteur de fumée…

La leçon de cette histoire, c’est de ne prendre aucun risque, un incendie ça ne pardonne pas.

Après ce deuxième incendie de serviette j’ai démonté l’étendoir…


En cadeau : Téléchargez la recette de la lessive à la cendre de bois !

Ça fait presque un an que je travaille sur un projet exceptionnel, il devait initialement faire 200 pages, puis 300, puis 400… pour finir à presque 500 !

Il m'a demandé une quantité de travail incroyable, mais il est enfin terminé !

Je ne pensais vous le présenter officiellement que vendredi, mais je n’ai pas pu résister à vous partager un petit extrait dès aujourd’hui.

LESSIVE 0 BOIS

 

 

3 - Les cuisinières à bois, résilience et rusticité !

 
 

cuisiniere-bois

 
 
Chers amis,

Il y a quelques jours, je voua ai envoyé une lettre sur les poêles à bois, LE système de chauffage résilient.

Aujourd’hui, ce sont les cuisinières à bois qui sont à l'honneur !

Comme les poêles, elles fonctionnent exclusivement au bois, vous n’aurez besoin d’aucune électricité ni d’aucun gaz pour les utiliser !

Mais même si elles peuvent chauffer une pièce, elles sont d’abord conçues pour cuisiner.

Je vais ici vous parler de leurs avantages et de leurs inconvénients, de l’utilisation que je fais de la mienne et de l'intérêt d’en avoir une en cas de Black-Out.

Mais avant de commencer, voici comment elles fonctionnent !


Un poêle à bois, avec des plaques de cuisson en plus !

Le fonctionnement des cuisinières à bois est similaire à celui des poêles, avec :
  • Une chambre de combustion où brûlent des petites bûches pour produire de la chaleur ;
  • Une plaque chauffante pour concentrer la chaleur et la redistribuer aux poêles et casseroles ;
  • Un conduit d’évacuation des fumées ;
  • Un bac de récupération des cendres.
Voici par exemple la mienne :
 

C’est simple, rustique, efficace !

Tout ce que j’aime :)


Plaques, fours intégrés… les différents types de cuisinières à bois

Comme pour les poêles, il y a une très grande diversité de cuisinières à bois.

La mienne est le modèle le plus simple que vous puissiez trouver, avec une seule plaque de cuisson.

Mais il y a un nombre infinie de modèles qui peuvent avoir :
  • Une ou plusieurs plaques de cuisson ;
  • Un four intégré ;
  • Des réservoirs d’eau ;
  • Etc.
Voici quelques exemples.

Une cuisinière à bois avec four intégré (c’est la porte de droite sur la photo) :
 

Ça peut être pratique, notamment pour les plats qui ont besoin de mijoter longtemps, mais le thermostat est très dur à gérer.

Une cuisinière à bois avec un réservoir d'eau intégré et un robinet (celle-ci était à donner dans le groupe d’entraide de mon village) :
 

Certaines cuisinières peuvent même être raccordées à un ballon d’eau chaude :
 

Les 6 grands avantages, rusticité et résilience

Les cuisinières à bois ont 6 grands avantages, elles :
  1. Sont très résilientes, le bois est une ressource facile d’accès ;
  2. Sont rustiques et solides, une bonne cuisinière vous durera des décennies avec un minimum d’entretien, mais prévoir tout de même un ramonage tous les ans ;
  3. Chauffent fort, il vous faudra un temps d’adaptation pour ne pas cramer vos repas :) ;
  4. Chauffent longtemps, l’inertie thermique est parfaite pour garder au chaud pendant des heures une bouilloire, une théière ou un plat ;
  5. Diffusent la chaleur dans toute la pièce, voire toute la maison, c’est un véritable système de chauffage qui peut remplacer un poêle à bois ;
  6. Ne fument pas, si votre système est bien installé.

Les 5 inconvénients, praticité et chaleur

Mais les cuisinières à bois ont aussi quelques défauts qui les rendent peu pratiques pour une utilisation quotidienne.

Voici leurs 5 principaux inconvénients, elles :
  1. Mettent du temps à chauffer, il faut compter environ 10mn avant de commencer à cuisiner, pas très pratique si vous voulez juste vous faire un thé par exemple ;
  2. N’ont pas de thermostat, la chaleur de la plaque varie en fonction de l’intensité du feu et de l’inertie thermique, ce qui n’est pas toujours pratique pour cuisiner ;
  3. Chauffent fortement la pièce, c’est super en hiver, beaucoup moins en été où il peut faire rapidement plus de 40 degrés dans votre cuisine ;
  4. Ont une chambre de combustion assez petite, les bûches doivent donc être soigneusement calibrées ;
  5. Ont une structure qui chauffe fort, il y a un risque de brûlure, notamment pour les jeunes enfants.
Pour toutes ces raisons, je n’utilise que rarement ma cuisinière à bois (et presque jamais en été, ma cuisine se transformerait en sauna…).

C’est surtout en hiver, lorsque je ne suis pas pressé et que j’ai envie de me faire plaisir que je l’allume.

C’est un bonheur de disposer patiemment les bûches, de craquer l'allumette, de sentir la chaleur dans la pièce et de regarder la neige tomber par la fenêtre pendant que ma soupe mijote ;)

Mais malgré ça, je garde précieusement ma cuisinière à bois, c’est un élément indispensable en cas de rupture de la normalité.


La solution idéale en cas de Black-out ?

Les cuisinières à bois sont peu pratiques pour une utilisation quotidienne.

Mais elles sont très intéressantes en cas de rupture de la normalité et plus particulièrement de Black-Out.

Elle vous permettront à la fois de :
  • Chauffer efficacement une pièce ;
  • Purifier de l’eau non potable par ébullition ;
  • Cuisiner, sur plaque et au four.
Et un dernier argument non négligeable si vous ne comptez pas l’utiliser régulièrement, c’est leur beauté (certains modèles sont tout simplement magnifiques !) :
 

Où trouver, récupérer ou acheter une cuisinière à bois ?

Avant tout, c’est un achat qui ne se décide pas sur un coup de tête.

Il faut réfléchir soigneusement à l’utilisation que vous comptez en faire et à l’emplacement que vous lui destinez.

Ensuite, vous avez trois possibilités :
  • L’acheter neuf, c’est idéal pour trouver un modèle parfaitement adapté à vos besoins, les prix vont de quelques centaines d’euros à plusieurs milliers ;
  • L'acheter d'occasion, sur les sites de petites annonces vous pouvez faire de très bonnes affaires, les premiers prix tournent autour de 50 € ;
  • La récupérer gratuitement auprès de personnes qui cherchent à s’en débarrasser (elles sont difficiles à déplacer… c’est gagnant-gagnant).
Même si les neuves sont sans doute plus performantes, j’ai un faible pour les anciennes.

En plus d’être beaucoup moins chères, je trouve ça magique de préparer mes repas sur la même cuisinière en fonte qu’il y a 50 ans.


Préparez-vous rapidement, surtout en cas de Black-Out  !

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