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26 octobre 2018

CINÉMA FRANÇAIS : LES 100 ANS DES STUDIOS DE LA VICTORINE DE LA VILLE DE NICE

43° 40′ 26″ nord, 7° 13′ 03″ est   

 

Les Studios de la Victorine de la ville de Nice

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Studios de la Victorine de la ville de Nice

 

Studios_Riviera_La_Victorine_Nice_2


Panneau annonçant l'entrée des studios.


Localisation 16 avenue Édouard Grinda
Nice
Drapeau de la France France
Coordonnées 43° 40′ 26″ nord, 7° 13′ 03″ est
Inauguration 1919
Fondateurs Louis Nalpas
Serge Sandberg
Anciens noms Studios Riviera (2000-2017)
Nombre de plateaux 10
Propriétaire Ville de Nice

Les studios de la Victorine sont des studios de cinéma créés en 1919 à Nice.

Localisation

Les studios de la Victorine se trouvent 16 avenue Édouard Grinda, dans le quartier Saint-Augustin à l'ouest deNice, à quelques centaines mètres au nord de la gare de Nice-Saint-Augustin et à moins d'un kilomètre de l'aéroport de Nice-Côte d'Azur.

Historique

À l'origine : le domaine de Victor Masséna

Le domaine de la Victorine est à l'origine une propriété horticole. À l'époque où il fait construire la villa MassénaVictor Masséna3e duc de Rivoli et 5e prince d'Essling, descendant du maréchal Masséna, acquiert le domaine, le transforme en propriété d'agrément et le baptise La Victorine d'après le prénom de sa nièce Victoire1.

En 1919, son fils André Prosper Victor Eugène Napoléon Masséna revend la propriété à deux producteurs Louis Nalpas et Serge Sandberg2, qui y créent les studios de la Victorine. Les lieux sont immenses, d'une superficie de 7 hectares, et deviennent l'un des principaux studios français et le lieu de tournage d'un très grand nombre de films3.

La période du cinéma muet : création des studios
Louis Nalpas et Serge Sandberg
Avant La Victorine : la colline de Cimiez, haut-lieu du cinéma niçois.

Louis Nalpas est alors le producteur indépendant des Films Louis Nalpas. Après la réussite de La Sultane de l'amour, il décide de faire de Nice la capitale européenne du cinéma et s'associe avec Serge Sandberg, adjoint de Charles Pathé pour y créer les studios de la Victorine. Les premiers travaux sont immédiatement réalisés : terrassement, voirie, construction de quatre studios avec bureaux, ateliers, laboratoires et bâtiment de la centrale électrique. Parallèlement Nalpas poursuit ses activités à la villa Liserb de Cimiez4.

À la fin du tournage de Tristan et Yseult Louis Nalpas rencontre d'insurmontables difficultés. Les travaux de La Victorine engloutissent les capitaux rapportés par les productions des Films Louis Nalpas et la plupart des artistes qui l'ont accompagné à CimiezLouis DellucGermaine DulacJean DurandHenri FescourtMarcel LévesqueGaston Modot, le quittent pour retourner travailler à Paris. Les studios de la Victorine cependant sont prêts. Robert Boudrioz les inaugure avec le tournage de L'ÂtreLéonce Perret et Albert Dieudonné lui succèdent brièvement. Puis les réalisateurs ne viennent plus : l'équipement des nouveaux studios est déjà dépassé, les sunlights ne peuvent fonctionner car l'installation électrique n'a pas été réalisée, son bâtiment est resté vide faute de financements, la municipalité de Nice étant finalement revenue sur sa promesse de capitaux 4.

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Nalpas cède en 1921 ses parts à Serge Sandberg et quitte Nice. La Stoll-Films de Londres vient réaliser ses films à La Victorine à l'aide de groupes électrogènes. Puis c'est au tour de René Navarre d'utiliser les studios pour y tourner rapidement quelques films à épisodes pour sa Société des Cinéromans. Sa compagnie ne reste pas longtemps à La Victorine : les films sont des échecs et la Société des Cinéromans périclite avec la fin du soutien financier de Sandberg4.

Épuisé comme Louis Nalpas par ces difficultés, Serge Sandberg ferme les portes des studios au début de l'année 1923. Il finit par les vendre très en dessous du prix demandé à la nouvelle société de production de Denis Ricaud, ex-administrateur de Pathé-Consortium. Après presque une année d'interruption, l'activité des studios reprend, fin 1923, avec le tournage sous la direction de Gennaro Dini de La Nuit du vendredi 13. En février 1924, Albert Dieudonné et Jean Renoirviennent y réaliser Catherine, production pour laquelle ils font construire quinze décors différents. Ricaud revend les studios en août 1924 à la Société des Films Legrand qui y fait réaliser quelques travaux de rénovation. Dini termine avec la nouvelle société Romanetti commencé sous Ricaud. Deux films sont encore tournés pour la même société : Des fleurs sur la mer et L'Île sans amour réalisés par André Liabel avec Renée Sylvaire et Elmire Vautier, future héroïne du premier Belphégor4.

 

Rex Ingram et Léonce Perret
icône image Image externe
Photographie de Rex Ingram avec son amiHenri Matisse5.

Réalisateur hollywoodien des Quatre Cavaliers de l'Apocalypse avec Rudolph ValentinoRex Ingram, s'installe à Nice en 1924 jusqu'à la fin de sa carrière qui intervient à l'avènement du cinéma sonore en 1930. Durant les trois années de sa direction, les studios de la Victorine connaissent leur période la plus brillante et la plus prospère. À la fin de cette période ils n'ont plus aucun concurrent sur la Côte d'Azur4.

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À l'issue de longues tractations, il parvient à faire réunir, pour le tournage de Mare Nostrum (en), deux des grands bâtiments vitrés en un seul et gigantesque studio noir. Il fait construire un nouveau studio, des laboratoires supplémentaires équipés des derniers perfectionnements, une piscine de 25 mètres, des ateliers pour la construction des décors avec les machines les plus récentes. Il fait enfin installer un générateur de 5 000 ampères et obtient un arrangement avec la ville de Nice pour avoir le courant de jour comme de nuit. Sont alors créés les Ciné-Studios Rex Ingram.

En mars 1927, La Cinématographie française souligne le caractère exceptionnel d'un tel complexe cinématographique en France et l'attrait que présentent les avantages considérables de ces studios pour les réalisateurs et les producteurs américains4.

Les studios connaissent dès lors une intense activité : six films y sont tournés en 1926 et sept en 1927 soit deux à trois fois plus que dans les autres studios niçois. Rex Ingram y dirige un nouveau film dès 1926, Le Magicien, avec Alice Terry et une distribution internationale dans laquelle se trouve Firmin GémierMarcel L'Herbier y réalise Le Diable au Cœur. PourLa Fin de Monte-CarloHenri Étiévant fait reconstituer un cabaret du port de Nice d'une étonnante ressemblance.Alfred Hitchcock vient y tourner la séquence méditerranéenne de son sixième film, Le passé ne meurt pas (Easy Virtu)6. En août 1927, Dimitri Kirsanoff tourne les intérieurs de Sables pendant qu'Ingram réalise un projet grandiose,Le Jardin d'Allah (en). Dans le même temps, quatre autres films sont en préparation comme la série des Travelaughs d'Harry Lachman4.

 

Léonce PERRET

220px-LéoncePerret2 

Aux Studios Franco-Films de Nice-Saint-Augustin. Photographie représentant Léonce Perret expliquant une particularité du décors de Quand nous étions deux au journaliste Edmond Épardaudaccompagné de sa femme Madeleine, en présence de René Isnardon, directeur des studios, publiée par la revue Cinéma en juillet 19297.

Le studio ne désemplit jamais mais cette prospérité conduit Rex Ingram qui ne peut plus mener de front ses deux carrières de réalisateur et de directeur de studio à mettre La Victorine en location. Les studios changent à nouveau de main. D'abord seulement maison de production, la Franco-Films, avec Léonce Perret à sa tête, dirige ensuite les studios de la Victorine jusqu'à l'avènement du cinéma sonore4.

Léonce Perret, arrive à Nice en 1914, engagé par Léon Gaumont comme responsable du studio de Nice. Il ne reste que peu de temps dans ces fonctions, appelé à remplacer à la direction artistique de la Gaumont Louis Feuillade parti au front. Il revient en 1921 et en cinq ans tourne de Cannes à Monte-Carlo les extérieurs de plus d'une centaine de films. En 1926, devant le succès de La Femme nue, le groupe commanditaire du film décide de fonder une société de production cinématographique pour exploiter cette réussite et distribuer les futures réalisations du cinéaste. Léonce Perret détient les postes d'administrateur et de directeur artistique de la Franco-Films dont le Conseil d'administration est présidé par Édouard Corniglion-Molinier. La nouvelle société rachète une partie de ses studios à Rex Ingram qui continue à habiter sa villa édifiée au milieu des terrains de La Victorine4. Il perd en appel un procès en abus de confiance et escroquerie contre Corniglion-Molinier8.

Fin 1927, Graham Cutts tourne Confetti (en)Jean Durand prépare L'Île d'amour et Gaston Ravel Madame Récamier. Les studios travaillent à plein rendement, à tel point qu'ils sont même obligés de refuser parfois des clients : en décembre 1928, Raymond Bernard doit retarder le tournage de son Tarakanova car deux grosses réalisations, Vénus (en) de Louis Mercanton, et L'Évadée d'Henri Ménessier occupent les plateaux, loués plusieurs mois à l'avance par des sociétés étrangères. À La Victorine Léonce Perret réalise en 1928 ses deux derniers films muets, Morgane la sirène et La Danseuse Orchidée. Pour Shéhérazade d'Alexandre Volkoff, commencée à Berlin et l'une des plus grandioses réalisations de la Franco-Films, employant simultanément jusqu'à 1 500 figurants, de somptueux décors sont construits dans les ateliers. Dans le même temps, Rex Ingram, dégagé des contraintes de gestion des studios, se consacre à la réalisation des Trois Passions (en) aux décors fastueux. Malgré les ponts d'or offerts par les sociétés américaines, il choisit de demeurer sur la Côte d'Azur, cessant son activité à l'avènement du cinéma sonore avec son dernier film Baroud4.

Affiche pour Baroud deRex Ingram.

Les derniers perfectionnements de la technique équipent La Victorine et une nouvelle salle de projection est ajoutée en décembre 1928. Au début de 1929 un nouveau projet se fait jour de construction d'un nouveau studio. Il sera le plus vaste d'Europe et comportera des sous-sols de 80 mètres sur 25 pour abriter des magasins, 8 bureaux de metteurs en scène, 9 grandes loges et les locaux nécessaires au logement de 900 figurants. Le projet n'est pas réalisé. Les fonds prévus vont être employés à d'autres transformations4.

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L'avènement du parlant : sonorisation des studios

Envisagée dès le début de l'année 1929, la sonorisation des studios est décidée au mois d'avril. L'équipement de prise de son est commandé aux États-Unis. L'installation est réalisée dans les premiers mois de 1930 par la Compagnie Jacques Haïk Radio-cinéma, filiale de la Compagnie générale de la télégraphie sans fil. Double révolution à La Victorine, l'arrivée du cinéma sonore entraînant la disparition de la Franco-Films en tant qu'organe de production. La société commence par fusionner en 1930 avec la société Aubert, les studios devenant les Studios Aubert-Franco-Films de La Victorine avant de se retirer pour se consacrer à la distribution. Les studios sont acquis en 1932 par la Gaumont. L'avenir de La Victorine est d'autant plus assuré que le passage au parlant a provoqué la disparition des studios de Carras et de la route de Turin4, laissant La Victorine quasiment seule sur la scène cinématographique niçoise avec les studios de Saint-Laurent-du-Var jusqu'à la destruction de ces derniers par un bombardement allié en août 19449.

 

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Les années 1930

En 1934, Jean de Marguenat réalise Adémaï au Moyen Âge dans les des studios de Saint-Augustin qui ont depuis la reprise par la Gaumont Franco-Film Aubertl'appellation de Studios GFFA de Nice10. En 1936, André Hugon tourne Romarin11Jacques Séverac Les Réprouvés12. En 1937, Raymond Rouleau vient tournerLe Messager13Jean ValléeLes Hommes sans nom14Max de VaucorbeilL'Escadrille de la chance15Christian-JaqueLes Pirates du rail16.

 

Les années 1940 — 1945

Après l'armistice tout le cinéma français se réfugie à Nice aux studios de la Victorine ainsi que le rapporte Jean-Louis Barrault dans ses Souvenirs pour demain17. Mais aussi à Marseille dans les nouveaux studios de Marcel Pagnol. Sur les deux-cent-vingt films de la production nationale tournés durant cette période de la Seconde Guerre mondiale, une vingtaine le sont à La Victorine18 dont Untel père et fils19 (1940) de Julien DuvivierL'An 4018 (1941) de Fernand RiversVénus aveugle18 (1941) d'Abel GanceLumière d'été18(1942) de Jean Grémillon avec Madeleine RenaudFélicie Nanteuil19 et L'Arlésienne19 (1942) de Marc AllégretMacao, l'enfer du jeu19 (1942) de Jean DelannoyLes Visiteurs du soir18 (1942)18 (1943) de Marcel Carné assisté par Michelangelo Antonioni20,L'Éternel Retour19 (1943) de Jean DelannoyLa Vie de bohème19 (1943) de Marcel L'HerbierLes Petites du quai aux fleurs19 (1944) de Marc Allégret Les Enfants du paradis18 de Marcel Carné, sorti en 1945 mais tourné entre le mois d'août 1943 et le mois de juin 1944. Jacques BeckerPierre BillonLéo JoannonWilly Rozier, viennent également tourner à Nice18Abel Gance produit les films d'Yves Allégret et Marcel L'Herbier réalisés à La Victorine. Marcel L'Herbier envisage d'y créer un Centre industriel et artistique national puis européen de production de films. De fait un Centre artistique et technique des jeunes du cinéma voit le jour à Nice en 1941. Les liens entre La Victorine et Cinecittà permettent à des jeunes d'échapper au STO18.

 

Après Guerre
Acquisition par la ville de Nice

Sur le mont d'ordre du syndicat CGT des techniciens de la production cinématographique enjoignant le 19 mai depuis la bourse du travail de Paris les différentes filières à cesser le travail, mot d'ordre relayé par les États généraux du Cinéma, les tournages sont suspendus à Paris comme en Province. À La Victorine, un accord entre les techniciens du film et les producteurs américains permet de poursuivre le tournage de La Folle de Chaillot de Bryan Forbes21.

 

Incendie et reconstruction
Soutien du ministère de la Culture
Concession de service public

En 2000, ils sont gérés sous la forme d'une concession de service public confiée par la municipalité de Jacques Peyrat au groupe Euro Media France et sont rebaptisés « studios Riviera »22.

 

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Gestion par la ville de Nice

Le 22 novembre 2017, au terme de la délégation de service public, la ville de Nice reprend en régie la gestion des studios23 qui retrouvent leur nom d'origine « les studios de la Victorine »22. Le 11 avril 2018 à la Cinémathèque française présidée par Costa-Gavras, le maire de Nice Christian Estrosi annonce la création d'un « Comité Victorine » chargé de piloter les études de faisabilité de la relance de l'activité du site et la pertinence du projet. Il est composé de dix-huit personnalités représentant les différentes filières des métiers du cinéma : Raphael BenolielJohn BernardBertrand BonelloVéronique CaylaThierry Frémaux, Costa Gavras,Pierre-William GlennMichel HazanaviciusDavid KesslerIris KnoblochAlain KrugerMichèle LaroqueClaude LelouchAlexandre MichelinSylvie PialatJoann SfarMarianne SlotMarc Tessier et présidé par Éric Garandeau. Le Comité doit analyser les besoins de l'industrie du cinéma et des métiers de l'image et tenir compte dans les préconisations attendues par la ville de Nice de l'apparition des géants du Web dans le financement des films et des séries24,25.

***********************************************************************************************

Caractéristiques techniques

Dimension des plateaux
 
PlateauSuperficieLongueurLargeurHauteur
1 1 175 m2 47 m 25 m 12 m
2 800 m2 40 m 20 m 8 m
3 800 m2 40 m 20 m 8 m
4 375 m2 25 m 15 m 8 m
6 594 m2 33 m 18 m 10 m
7 275 m2 20 m 14 m 5,5 m
8 400 m2 25 m 16 m 6 m
9 400 m2 25 m 16 m 6 m
10 540 m2 27 m 20 m 6 m
11 540 m2 27 m 20 m 6 m

 Cliquez sur une vignette pour l’agrandir.

 

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Quelques productions tournées dans les studios de la Victorine

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Cinéma muet

Information icon with gradient background.svg Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent de : René Prédal, « Fondation et activités des studios de la Victorine jusqu'en 1930 »4.

Cinéma sonore
Reconstitution des décors créés à La Victorine pour la villa de Mon oncle.
Télévision
1980Escale à Nice de TF1

 

La Victorine dans la littérature

En haut à gauche du paradis est un roman de Philippe Doumenc26 installé dans le décor onirique du tournage des Enfants du paradis aux studios de la Victorine autour de l'histoire d'un apprenti décorateur et d'une figurante du film27.

 

Notes et références

  1.  Centre Régional de Documentation Pédagogique de Nice, « La famille Massena » [archive]
    , sur media-crdp.net
  2.  « Histoire de Nice et de son comté : Serge Sandberg, fondateur de La Victorine à Nice » [archive]
    , sur nicerendezvous.com
  3.  Ralph Schor, « Dictionnaire historique du Comté de Nice : Les studios de la Victorine à Nice : les origines » [archive]
    , sur nicerendezvous.com
  4. ↑ a b c d e f g h i j k l m et n René Prédal, « Fondation et activités des studios de la Victorine jusqu'en 1930 : Extrait du D.E.S. d'histoire présenté en 1964, « Le cinéma muet à Nice, exploitation et réalisation 1896-1930 » », Recherches régionales. Côte d'Azur et contrées limitrophes, Centre de documentation des Archives des Alpes-Maritimes, no 1,‎ 1966 - 6e année (lire en ligne [archive]
     
    )
  5.  Sophie Casals, « Cet auteur a mené l'enquête pour retracer la vie de Matisse à Nice et Vence de 1917 à 1954 », Nice-Matin,‎ 31 décembre 2017 (lire en ligne [archive]
    )
  6. ↑ a et b Lors du tournage, Rex Ingram répondit à Alfred Hitchcock qui lui demandait son avis au sujet des rushes du film : « Vous avez du talent mais laissez-moi vous conseiller de changer de nom. Hitchcock n'est pas un nom approprié pour un réalisateur. Je le sais parce que c'était le mien avant que je n'en change. » (en)Leonhard Gmür, Rex Ingram: Hollywood's Rebel of the Silver Screen(ISBN 9783844246018lire en ligne [archive]
    )p. 293
  7.  « Aux Studios Franco-Films de Nice-Saint-Augustin », Cinéma,‎ juillet 1929, p. 9 (lire en ligne [archive]
    )
  8.  « Un important procès devant la Cour d'Appel d'Aix », La Cinématographie française,no 918,‎ 13 juin 1936 (lire en ligne [archive]
    )
  9.  Comité de sauvegarde du vieux village de Saint-Laurent-du-Var, « Saint-Laurent-du-Var, cité du cinéma » [archive]
    , sur village-saintlaurentduvar.fr
  10. ↑ a et b « Cinéma et histoire. Histoire et cinéma » [archive]
    , sur hervedumont.ch
  11. ↑ a et b « André Hugon tourne « Romarin » », La Cinématographie françaiseno 929,‎22 août 1936 (lire en ligne [archive]
    )
  12. ↑ a et b « Les Réprouvés », La Cinématographie françaiseno 940,‎ 7 novembre 1936(lire en ligne [archive]
    )
  13. ↑ a et b « Le Messager », La Cinématographie françaiseno 967,‎ 14 mai 1937 (lire en ligne [archive]
    )
  14. ↑ a et b « Les Hommes sans nom », La Cinématographie françaiseno 969,‎28 mai 1937 (lire en ligne [archive]
    )
  15. ↑ a et b « L'Escadrille de la chance », La Cinématographie françaiseno 971,‎11 juin 1937 (lire en ligne [archive]
    )
  16. ↑ a et b « Les Pirates du rail », La Cinématographie françaiseno 982,‎ 27 août 1937(lire en ligne [archive]
    )
  17.  Jean-Louis BarraultSouvenirs pour demain, Paris, Éditions du Seuil, 384 p. (noticeBnF no FRBNF37061359
    )p. 168
  18. ↑ a b c d e f g h i j k l m et n Limore YagilAu nom de l'art, 1933-1945 : Exils, solidarités et engagements, Paris, Fayard, 2015, 590 p. (ISBN 978-2-213-68089-7, notice BnFno FRBNF44299571
    lire en ligne [archive]
    )
  19. ↑ a b c d e f g h i j k l m et n Torrebenn, « Studios de la Victorine » [archive]
    , surTélérama vodkaster.com
  20.  Jean Antoine Gili, « L'accueil du cinéma français en Italie pendant l'époque fasciste (1930-1945) », Revue d'histoire moderne et contemporaine, Paris, Presses universitaires de France,‎ 1986 (notice BnF no FRBNF34417278
    ) disponible [archive]
    sur Gallica
  21. ↑ a et b Sébastien Layerle, Caméras en lutte en Mai 68 : « Par ailleurs le cinéma est une arme... », Paris, Nouveau Monde éditions, 2008, 633 p. (ISBN 978-2-84736-334-0, notice BnF no FRBNF41364672
    lire en ligne [archive]
    )
  22. ↑ a et b « Nice reprend les studios de la Victorine pour les relancer » [archive]
    , surlefigaro.fr, 14 novembre 2017.
  23.  « Ce que la Ville de Nice compte faire pour redonner vie aux mythiques studios de la Victorine » [archive]
    , sur nicematin.com, 13 novembre 2017.
  24.  « La renaissance officielle des studios de la Victorine » [archive]
    , surnicematin.com, 12 avril 2018.
  25.  « Installation du « Comité Victorine » » [archive]
     
    , sur artcotedazur.fr.
  26.  Philippe DoumencEn haut à gauche du paradis, Paris, Seuil, 1992, 309 p.(ISBN 2-02-016472-8, notice BnF no FRBNF35508757
    lire en ligne [archive]
    )
  27.  Jean-Claude Lebrun, « Une histoire à double fond », L'Humanité,‎ 22 juillet 1992 (lire en ligne [archive]
    )
Articles connexes
Bibliographie
  • Fonds Serge Sandberg : Document d'archives 1906-1992 (Concerne notamment les activités cinématographiques de Serge Sandberg, contient des archives administratives et financières, de la correspondance...) (notice BnF no FRBNF39513127
    )
  • Studios de la Victorine (105 coupures de presse), 1964-1978 (notice BnF no FRBNF45099063
    )
  • Les Studios de la Victorine : Sté cinématographique des studios de la Victorine, Nice, La Victorine, [s. d.] (notice BnF no FRBNF39773074
    )
  • Les studios Franco-Film : l'Hollywood européen : Nice (Suite des Studios La Victorine), Paris, Les Impressions H.-M. Boutin, [s. d.], 15 p. (notice BnFno FRBNF45194362
    )
  • Anne-Elisabeth Buxtorf (Anne-Elizabeth Dutheil de la Rochère) (préf. Jean Antoine Gili), Les studios de la Victorine, 1919-1929, Paris (15 rue Lakanal, 75015), Association française de recherche sur l'histoire du cinéma ; Nice, Cinémathèque, 1998, 287 p. (notice BnF no FRBNF37028839
    )
  • René PrédalLe cinéma à Nice : histoire de la Victorine en 50 films, Monaco, Productions de Monte-Carlo, 2006, 255 p. (ISBN 9782952652117, notice BnFno FRBNF42461148
    )
Liens externes

 

 

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