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POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
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9 novembre 2019

DANS MON PAYS LA FRANCE JUDEO-CHRÉTIENNE DEPUIS 2000 ANS, L'ISLAM EST INCOMPATIBLE AVEC NOTRE RÉPUBLIQUE LAÏQUE !

 

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18 attaques islamistes, 263 morts, des milliers de blessés en France...mais ils défilent contre l’islamophobie !

Publié le 8 novembre 2019 - par - 98 commentaires - 3 965 vues

N’en déplaise aux fossoyeurs de la France et aux immigrationnistes de tout poil, il est encore permis dans ce pays de ne pas aimer l’islam. Ce qui est d’ailleurs le cas pour les 2/3 des Français qui estiment à juste titre que cette religion est un obstacle à l’intégration (75%). C’est aussi un obstacle au progrès. Mais jamais les musulmans n’ont été persécutés pour autant. Ce sont eux qui se stigmatisent par leurs propres comportements et leurs exigences sans fin.

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Quand on bloque les rues pour prier, quand on exige des horaires séparés dans les piscines, quand on refuse que sa femme soit soignée par un médecin masculin, quand on refuse de serrer la main d’une femme, quand on conteste les programmes scolaires non conformes au Coran, quand on réclame des salles de prière dans les entreprises, quand on exige les abattages rituels et surtout quand on représente les 2/3 de la population carcérale, on ne peut espérer des applaudissements de la part des natifs !

 

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Par conséquent, la sphère islamo-gauchiste qui s’apprête à défiler dimanche en braillant « Stop à l’islamophobie », ne fait que se vautrer dans le mensonge et l’ignominie. C’est le défilé de la honte, du mépris de la République et c’est aussi une insulte à la laïcité.

En courtisant l’électorat musulman, cette gauche en perdition, laïque avec le catholicisme mais anti-laïque avec l’islam, va jusqu’à défiler avec les extrémistes musulmans les plus fanatiques. Elle se déshonore et se discrédite un peu plus.

Car c’est l’islam politique, celui des Frères musulmans, qui mène le bal. Même  Manuel Valls a déclaré depuis Barcelone que cette gauche pro-islamiste était « la gauche du renoncement, de l’abandon et de la honte… loin de tout esprit républicain ».

Qu’on nous dise en quoi les musulmans sont persécutés, alors que 90 % des jeunes Algériens rêvent de venir subir le joug de ces salauds de Français racistes et islamophobes.

Qu’on nous dise combien de mosquées ont été détruites alors qu’on dénombre plus de 1 000 profanations de lieux de culte chrétiens par an, dont une vingtaine d’églises incendiées.

Qu’on nous dise pourquoi les actes antisémites ont bondi de 74 % en 2018, pendant que les actes antimusulmans sont tombés au plus bas niveau depuis 2010.

Qu’on nous dise  qui sont les plus persécutés,  les juifs qui fuient la France par peur, ou les musulmans de toute la planète qui rêvent d’y venir ?

Qu’on nous dise si les auteurs des attentats qui ont fait 263 morts et plus de 1 000 blessés depuis 2012, étaient  juifs, chrétiens, ou hindous.

Tous étaient musulmans. Ne renversons pas les rôles. La haine anti-chrétiens et anti-juifs, on sait de quel côté elle est.

C’est avec des prêcheurs de haine que la gauche, « le camp du Bien », va défiler dimanche.

Car pour ceux qui l’auraient oublié, Marwan Muhammad, l’organisateur de cette manifestation, ex-directeur du CCIF, s’est particulièrement distingué par le passé, par son amour de la France et son esprit  républicain. Jugez plutôt.

À  la mosquée d’Orly, il déclarait il y a quelques années :

« Qui a le droit de dire que la France, dans trente ou quarante ans, ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays  n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. »

Oui, vous avez bien lu. L’identité française, héritée de nos 2 000 ans d’Histoire, c’est Marwan Muhammad qui en décide !! Et d’ajouter que « l’islam est un mode de vie global. »

On a pu voir aussi, lors de la manifestation hostile à Éric Zemmour, devant le siège de CNews, un musulman fiché « S » insulter la France raciste et traiter Zineb El Rhazoui, Lydia Guirous et Mohamed Sifaoui de « bougnoules de service » !On imagine le tollé général et les conséquences judiciaires, si un natif usait d’un tel langage en parlant d’un immigré !

 

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https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/qui-est-abdelaziz-chaambi-lhomme-derriere-les-propos-orduriers-lencontre-deric-zemmour-112507

C’est avec ce beau linge que copine la gauche aux abois, dans l’espoir chimérique de se refaire une santé sur le dos de l’électorat immigré.

Ce que veut  la sphère islamo-gauchiste, c’est le retour du délit de blasphème et la mort de la liberté d’expression. Il est grand temps de remettre dans l’axe les tenants d’un islam politique conquérant, qui n’a que mépris pour nos valeurs républicaines. Et ce n’est pas en prêchant la tolérance à sens unique et le droit à la différence que la France évitera l’affrontement que souhaitent les islamistes.

Si le plan de l’Onu pour interdire toute critique de l’islam est mis en œuvre, avec la bénédiction du Vatican bien évidemment, ce sera la fin programmée de la civilisation occidentale.

Jacques Guillemain  

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Entre nos cercueils et leur valise, il va falloir choisir.?

 

 
 

 « Il est minuit moins le quart, Monsieur le Président. Depuis trop longtemps, par naïveté, manque de clairvoyance, déni de réalité, voire collaboration, croyant sauver ainsi la paix civile et sociale, la classe politique n’a cessé de fournir et mettre en place tous les ingrédients qui alimentent les tensions et conduisent à la guerre sur notre propre sol. L’islam doit être soumis aux lois de la République ; et ceux qui ne l’acceptent pas doivent partir, voire être poussés vers la sortie. Votre prudence, comme celle manifestée par vos prédécesseurs, résonne aujourd’hui, dans ce rapport de force engagé par l’islam et auquel vous n’échapperez pas, comme un renoncement à affronter l’esprit totalitaire ».

Ces propos étaient adressés au président de la République dans la lettre ouverte du 13 mars 2018, il y a donc plus de dix-huit mois.

https://volontaires-france.fr/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique/

Depuis cette date, la situation n’a cessé de s’aggraver avec à présent des agressions ou des attaques au couteau devenues quasi-quotidiennes provoquant des morts et des blessés considérés comme des faits divers, avec des incendies d’origine douteuse, avec nos églises profanées, vandalisées (875 en un an !), voire incendiées (26 en un an !) dans un silence assourdissant de la part du gouvernement et des médias !

Et aujourd’hui, après les centaines de morts qui ont endeuillé la France et les milliers de blessés qui l’ont meurtrie au cours des dernières années, un nouveau carnage frappe notre pays avec quatre morts et plusieurs blessés, non plus de la main de l’ennemi dans l’espace public, mais dans une enceinte officielle abritant un service de l’Etat assurant une de ses missions régaliennes, de surcroît de la main d’un traitre – appartenant à ce service – passé à l’ennemi. Cette fois, la mort est venue de l’intérieur. Alors, au-delà des polémiques stériles habituelles et des débats politiciens que provoquent ce drame épouvantable, nos dirigeants politiques, qui savent que l’ennemi (nous sommes en effet en guerre) utilise le terrorisme comme instrument de déstabilisation, ne peuvent plus se défausser et s’abriter derrière des déclarations. Ils vont devoir prendre rapidement des décisions désagréables dans l’intérêt de l’Etat et de la nation débouchant sur des actions coercitives s’ils veulent vraiment empêcher cette guerre sur le territoire national, cette guerre vers laquelle nous nous engageons inexorablement. Et s’ils n’en sont pas capables, ils doivent laisser leur place. Car que révèlent non seulement l’acte meurtrier dans sa préparation et son exécution mais également la gestion qui en a été faite par le pouvoir ?

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Malgré plusieurs alertes sur sa radicalisation après sa conversion à l’islam, ce djihadiste potentiel était employé dans l’un des services de renseignement chargé de la lutte contre l’islamisme, disposait d’une habilitation « secret défense » – qui plus est, renouvelée récemment – et avait donc accès à des informations ultra-sensibles notamment celles en lien avec l’islam dit radical. C’est sidérant ! Comment ce dysfonctionnement peut-il se produire dans un domaine aussi sensible ? Par ailleurs, alors que le mode opératoire signait l’acte djihadiste, pourquoi a-t-il fallu une trentaine d’heures avant que le parquet antiterroriste s’empare du dossier ? La prise de parole du ministre de l’Intérieur, au minimum maladroite, a semé le doute sur sa sincérité, laissant même à penser qu’il aurait menti. Car ne disposait-il pas, à ce moment précis de son intervention, environ quatre heures après la tuerie, d’informations sur la radicalisation du terroriste ? En effet, au cours d’une interview un député indique que lorsqu’en 2015 ce dernier s’était réjoui de l’attaque de Charlie Hebdo, sa hiérarchie avait été informée. Et il précise que le directeur de cabinet de l’époque du préfet de police est l’actuel Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur, présent à ses côtés lors de la déclaration de ce dernier. D’autre part, il intervenait après la venue à la préfecture de police du président de la République, puis du Premier ministre. Sa déclaration n’était donc probablement pas improvisée. D’autant plus que certains témoignages font état de pressions exercées sur des policiers pour, au mieux retarder la divulgation de l’origine islamiste de l’attaque, au pire tenter de la passer sous silence. 

En fait, il faut bien reconnaître que la crainte de l’accusation d’islamophobie empêche la classe politique et en particulier ceux qui dirigent le pays d’agir dans l’intérêt des Français et notamment de leur sécurité. Or, l’islamophobie n’est que la conséquence logique de la teneur des textes fondateurs de l’islam et les carnages que leur application radicale produit à travers le monde. En refusant de nommer l’ennemi, les responsables politiques commettent une lourde faute et mettent en danger la vie des citoyens. Le déni de réalité dont se rend coupable l’Etat est grave et criminel. Et cet ennemi est à présent, non plus seulement sur le territoire, mais au cœur même de l’Etat, dans nos institutions, dans nos services publics, dans nos transports, dans notre police, dans nos armées. On ne peut pas s’empêcher dans le cas particulier de ces dernières, de s’interroger. Par exemple, combien de soldats français musulmans effectuent chaque année le pèlerinage à La Mecque ? Dans quel état d’esprit rejoignent-ils leur unité après avoir scandé avec des dizaines, des centaines de milliers de pèlerins ces prières de haine contre les non-musulmans ?

Depuis des années, l’ennemi déroule son plan sans être inquiété, simplement en se servant de notre démocratie et en appliquant la stratégie adoptée en 2000 à Doha par l’OCI (Stratégie culturelle islamique dans les pays non islamiques). Notre pays est gangrené de l’intérieur et nos dirigeants, au lieu de prendre conscience de la menace et de la contrer, accompagnent cette islamisation criminelle de la France. C’est ainsi que la cathédrale Saint-Louis des Invalides a été profanée par la prière islamique au cours d’un concert, et qu’on a également facilité l’organisation d’une conférence à Paris par la Ligue islamique mondiale. Et que dire du rapatriement des djihadistes d’Irak et de Syrie avec leurs enfants, véritables bombes à retardement ?

La situation est donc extrêmement grave et si la 5ème colonne a facilité le carnage du 13 novembre 2015, la tuerie de la préfecture de police confirme l’existence d’un ennemi intérieur prêt à passer à l’action. Il n’y a plus de frontière entre l’ennemi et l’ennemi intérieur. En niant la menace et son caractère religieux dont se réclament les djihadistes, les responsables politiques trahissent leur mission de protection des Français et l’avenir de la nation qui devrait être leur priorité. Nos concitoyens doivent prendre conscience que nous sommes dorénavant face à une guerre sainte menée ( le Djihad ) au nom de l’islam par les soldats d’Allah. Il faut donc s’y préparer, nous sommes prévenus. Résister à l’islam doit devenir un acte patriotique.

Ce carnage de la préfecture de Paris se produit au plus mauvais moment pour le président de la République et pour le gouvernement, quelques jours après le lynchage d’Eric Zemmour (exécuté parce qu’il dit la vérité), le lendemain de la grande manifestation des policiers exprimant leur colère et juste avant le lancement du débat sur l’immigration. Il va bien falloir que le pouvoir comprenne que la France n’est pas simplement une start-up, que c’est une pure folie que de continuer à laisser entrer une immigration de culture hostile à notre civilisation. Il faut dans l’immédiat écarter des services publics et notamment régaliens ceux qui sont suivis pour radicalisation, fermer les mosquées salafistes et renvoyer leurs imams. Et à ceux qui invoqueraient l’état de droit pour ne rien faire, on répondra que nous sommes en guerre et que de toutes façons le droit est un outil à la disposition du pouvoir pour lui permettre de légitimer son action. Il peut donc être modifié et confirmé par le Parlement. Ainsi l’état de droit est respecté. L’islam doit être soumis aux lois de la République, et ceux qui ne l’acceptent pas doivent partir, voire être poussés vers la sortie. Car entre nos cercueils et leur valise, il va falloir choisir.

le 06 octobre 2019

Général (2s) Antoine MARTINEZ

président des Volontaires Pour la France

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Cette fois-ci il faut faire l'inverse en créant la Re-migration vers leurs pays d'origine pour tous les migrants clandestins qui sont rentrés illégalement en France mais aussi dans toute l'Europe Occidentale. 

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