Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
Visiteurs
Depuis la création 221 811
Publicité
POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
Archives
Pages
Derniers commentaires
Newsletter
POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
23 novembre 2017

A NOTRE TOUR D'ÊTRE COLONISES PAR LES PAYS AFRICAINS ET MUSULMANS : C'EST UNE VÉRITABLE INVASION MASSIVE DE MIGRANTS EN EUROPE..

SOURCE : Publié par Danièle Lopez le 23 novembre 2017

La plaie africaine poursuit son drainage, se répandant dans la Méditerranée. Comme cette mer a bon cœur, elle restitue tout ce qui s’y est perdu, sur les côtes septentrionales.

Mais, curieusement, les médias français préférant ignorer les sujets qui fâchent, ne parlent plus des dizaines de milliers de ces clandestins qui continuent d’arriver sur les côtes européennes.

Pourtant, ce ne sont pas nos proches voisins italiens ou espagnols qui s’en plaindraient. Parce que ces deux pays, situés à quelques encablures des côtes nord-africaines, subissent, journellement, les assauts des « migrants ».

Dans un article du 20 novembre, Le Figaro révèle que ces nouveaux arrivants ne viennent pas de l’Afrique subsaharienne, mais directement d’Algérie. Et ce ne sont pas les meilleurs puisqu’il s’agirait de repris de justice renvoyés de leur pays et qui refusent catégoriquement toute inspection ou vérification d’identité.

Ainsi donc, l’Algérie se met également à suppurer du clandestin pendant que le gouvernement français multiplie les visas pour les demandeurs de ce pays dont plus de six cent mille ont été délivrés pour la seule année 2017.

Mais les Algériens n’entrent pas seulement par la porte italienne. L’Espagne, à portée des côtes algériennes, voit depuis quelques mois une hémorragie de clandestins se déverser sur les plages de Murcie.

Selon un article de tsa-algerie.com, plus de 13.533 harraga sont arrivés en Espagne depuis janvier dont un millier pour le seul mois d’octobre, à bord de 824 bateaux.

Le 19 novembre, sur le site espagnol ABC opinion, le journaliste Hermann Tertsch se dit horrifié par le silence des médias espagnols qui commentent ce qu’il appelle le débarquement algérien comme un vulgaire évènement.

Ce sont en effet 44 bateaux qui ont abordé, en 24 heures, vendredi dernier, déversant quelque 500 hommes, tous de jeunes arabes, sur les côtes de Murcie.

Non. Ils n’ont plus le droit de nous taire la vérité. La Libye et son marché aux esclaves ne doivent pas cacher la réalité de l’intensification de l’invasion arabe que nous subissons.

Et cette nouvelle invasion nous vient des pays anciennement français, l’Algérie, la Tunisie et le Maroc. Que ce soient les présidents des deux premiers ou le roi du troisième, aucun d’eux n’a la volonté réelle d’empêcher ces hommes de partir de leur pays. Au contraire, nous dirons qu’ils les encouragent à émigrer dans la clandestinité sachant que les pays européens les garderont.

Mais, alors, que font les dirigeants européens ? Que fait la France ?

Ils sont les complices des dirigeants africains et nord-africains. Ils sont les complices de tous ces clandestins qui débarquent chez nous. Mais ils ne veulent pas l’avouer.

Ainsi, nous devrons nous laisser envahir par ces hordes de Maghrébins et Africains dont nous savons tous, pour les avoir depuis plus de 40 ans chez nous, qu’ils sont inassimilables dans notre société.

Des dizaines de millions de ces gens-là y vivent déjà. Le chômage est toujours en hausse. Nous n’avons quasiment plus d’industrie. Nous ne pouvons pas leur offrir du travail. Le ministère de l’Immigration (et de l’Intégration !) voit son budget 2018, réduit de 1,4%.

Qui financera et avec quoi ces charges supplémentaires ? Parce qu’il faudra les nourrir, les loger et… les subir.

Nous devons nous rendre à l’évidence. Les dirigeants européens sont décidés à remplacer la race blanche par une race indéfinie, un peu africaine, un peu arabe, un peu de tout mélangé.

Et, finalement, nous n’aurons plus de pays. Donc, plus d’identité. Rien.

Seulement des gens pauvres et des gens riches. Les riches sont et resteront les décideurs d’aujourd’hui. Les pauvres seront plus pauvres encore parce qu’ils ne seront rien que des sujets malléables à souhait puisqu’ils seront sans race, sans identité, sans origine.

Comment en sommes-nous arrivés à ce stade-là ? Comment avons-nous pu accepter cette déchéance ? Nous avons manqué de courage.

Dans l’état actuel de sa situation, la France est vouée à disparaître en tant que Nation. Elle a été détruite par ceux qui ont eu la charge de la diriger. Le dernier n’étant pas le moindre artisan, elle lui devra sa disparition inexorable dans les quelques années à venir.

Comment pourrions-nous, encore, être fiers d’être Français ?

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Danièle Lopez pour Dreuz.info.

***********************************************************************************************

SOURCE : Publié par Rosaly le 3 août 2017

Ils n’ont pas droit au statut de réfugié, n’ont pas reçu d’avis d’expulsion, mais ils enrichissent les avocats… et sèment le chaos dans le pays.

Il y a de tout dans le vaste océan d’étrangers qui inonde l’Italie : des gentils, des violents, des tarés. Une fois leur demande d’asile rejetée, ils errent à travers la Botte. Ils font partie d’un monde que personne ne contrôle, ni pour les aider, ni pour les chasser. Des centaines de milliers d’êtres humains, majoritairement jeunes, vivent dans une sorte de limbe à la limite de la clandestinité, certains dans l’attente d’une issue favorable à leurs recours, d’autres laissés à eux-mêmes.

  • Il y a ce jeune Bangladais, abandonné par son avocat, qui erre en pleurant dans les couloirs du tribunal de Milan, à la recherche d’une chancellerie où présenter ses recours.
  • Et il y a l’Ivoirien, qui à Sienne a poignardé un chauffeur du bus,
  • Ou le Sénégalais qui à Follonica, a violemment agressé un chauffeur.

Les demandes d’asile introduites en 2015 s’élevaient à 83 970. Un an plus tard, elles grimpaient à 123 600, soit une augmentation de 47%, et au cours du premier semestre 2017, elles se chiffraient à 72 744, ce qui signifie –si le flux demeure constant dans les 6 prochains mois– une nouvelle hausse annuelle de 17%.

Au cours de ces deux dernières années, plus de 280 000 étrangers ont introduit une demande d’asile, qui fut rejetée dans la majorité de cas. Et là réside le problème : une grande partie de ces demandeurs d’asile déboutés est restée sur le territoire national, et ce de manière légale, tout simplement en introduisant un recours juridictionnel. Quant au nombre d’expulsions, il est quasiment nul.

Seuls ceux qui commettent des délits sont expulsés et encore… Les autres errent, se débrouillent, enrichissent le business de l’accueil ou vivent d’expédients, de petits délits ou perdent la tête.

Comme Said Mamoud Diallo, le Guinéen qui après avoir reçu un avis négatif à sa demande d’asile, a poignardé un policier le 17 juillet dernier à la gare Centrale de Milan.

Selon les données du ministère de l’Intérieur, une bonne partie des demandes d’asile ne sont même pas examinées. Sur les 123 600 personnes ayant présenté une requête en 2016, plus de 30 000 reçurent une réponse évasive : ni oui ni non !

Sur 91 000 cas examinés, 40% obtinrent une forme d’accueil : du statut de réfugié– le plus recherché car il garantit un permis de séjour d’une durée de 5 ans, mais accordé avec parcimonie– à celui d’une protection provisoire de 3 ans ou humanitaire d’un an.

54.000 individus virent leur demande refusée sur toute la ligne. Et ils rejoignirent ainsi les limbes des désespérés, des furieux, des tarés, des gentils, qui depuis errent à travers le pays. Il est donc inévitable que ces gens, hors de tout contrôle, développent une forme d’agressivité et de déviance.

Toutefois, aussi longtemps qu’ils introduisent des recours, les étrangers ne peuvent être expulsés. Dès lors, un business a fleuri autour d’eux : celui des avocats, qui facturent jusqu’à mille euros pour des recours, quasiment toujours rejetés, mais encombrent néanmoins les tribunaux et grèvent lourdement le budget de la justice. Ces avocats sont payés par le ministère, car les réfugiés bénéficient de l’aide légale gratuite à charge de l’Etat.

un autre côté obscur de l’immigration de masse, un drame pour certains, des affaires lucratives pour d’autres

L’augmentation de ces frais est impressionnante :

  • en 2008, l’Italie dépensait 30 millions d’euros pour l’aide légale gratuite :
  • en 2013, ce montant s’élevait à 60 millions,
  • et en 2014, il atteignit 88 millions.

En 2014, 133. 000 demandeurs d’asile bénéficièrent de cette aide, mais les véritables gagnants sont les avocats qui se répartissent le gâteau. Parfois, il s’agit d’avocats liés aux Onlus (organismes d’utilité sociale à but non lucratif) qui accueillent les migrants, parfois il s’agit d’avocats de l’ombre, qui produisent des photocopies de recours, puis abandonnent le client dès le rejet par le tribunal sans le suivre dans son recours en appel. Un comportement bien connu dans les chancelleries pour la Protection internationale créées dans tous les tribunaux italiens, mais contre lequel apparemment il n’y a aucun remède : un autre côté obscur de l’immigration de masse, un drame pour certains, des affaires lucratives pour d’autres.

Et le résultat de cette politique ahurissante et absurde de « portes ouvertes à tous puis on verra » est un échec retentissant qui a déstabilisé l’ordre public et mis en péril les citoyens. Situation identique d’ailleurs dans de nombreux pays occidentaux, où la politique d’immigration démentielle entreprise par leurs dirigeants sème le chaos, le crime et le viol parmi les populations.

La plupart des agresseurs africains sont des délinquants multirécidivistes, des trafiquants, sans papier d’identité, ne supportant aucune remarque

Les citoyens sont devenus les victimes de la furie des migrants clandestins, ces invités de Madame Merkel déçus et frustrés dans leur rêve d’obtenir facilement une place au soleil gratuite à vie.

Dès lors, tous les moyens sont bons pour exprimer leur frustration et terroriser les citoyens : tournevis, machettes, couteaux, pioches, coups de pied, coups de poing, parfois mortels, morsures, tessons de bouteilles. Les faits divers souvent tragiques se suivent et se ressemblent : de simples citoyens payent de leur vie cette folie migratoire voulue par l’UE et imposée à ses Etats membres, au nom des sacro-saintes valeurs européennes…

La plupart des agresseurs africains sont des délinquants multirécidivistes, des trafiquants, sans papier d’identité, ne supportant aucune remarque, aussi bénigne soit-elle. Même les personnes âgées n’échappent pas à leur fureur. Ils ne respectent rien ni personne.

De plus en plus nombreuses sont les agressions prenant pour cibles les contrôleurs de trains et de bus, les chauffeurs, les policiers, les militaires, les citoyens ordinaires et les immigrés réguliers, qui ont le malheur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Des cas qui mettent en évidence un phénomène préoccupant, celui de la hausse effrayante des agressions perpétrées par des individus en provenance d’Afrique, pour la plupart des clandestins qui pensent pouvoir faire le beau et le mauvais temps en Italie.

Cela ne signifie pas qu’immigration soit synonyme de criminalité.

Toutefois, les politiques de l’accueil indiscriminé, sans aucun filtre, sans expulser celui qui n’a pas le droit de rester en Italie, ont créé une situation devenue dramatiquement incontrôlable. Nombreux sont aujourd’hui les citoyens qui ne se sentent plus en sécurité dans leur travail ou dans la rue. La politique du venez tous et puis on verra est un échec, au point de déstabiliser fortement l’ordre public.

On a longtemps débattu sur le fait que des djihadistes pouvaient s’infiltrer parmi les migrants débarqués en Italie et cela a été confirmé dans plusieurs cas, mais il y a un autre phénomène, tout aussi grave, celui de l’entrée sur le territoire national de sujets dangereux, peut-être des criminels évadés, des ex-prisonniers, des gens avec des problèmes psychiques, souvent en provenance de pays qui ne sont pas en guerre, libres de circuler en Italie, et le résultat catastrophique qui en découle est visible par tous, à l’exception du parti politique au pouvoir et de ses alliés.

Ainsi, inquiets, indignés, révoltés, de plus en plus de citoyens critiquent la folle politique d’accueil et le laxisme du gouvernement à l’égard des migrants.

Selon ce dernier, il s’agit de discours de haine de la part des Italiens, égoïstes et racistes.

Et pour combattre cette haine, l’angélique et ingénieuse Laura Boldrini, Présidente de la Chambre des Députés, a trouvé la solution miracle.

“Pour éviter la haine, nous devons contrôler… [l’immigration ?], non, ne rêvons pas, l’information ! ”

Selon cette dame, aveuglée par ses bons sentiments exclusivement réservés aux migrants et aux clandestins, il est absolument nécessaire de limiter la liberté d’expression, de mettre des filtres sur internet, d’instituer un “grand jury, qui garantisse l’exactitude de l’information ». A part cela, les membres du gouvernement sont tous Charlie…

Il appartiendra à l’Etat d’établir ce qui est vrai, ce qui est faux, ce qui peut se dire, ce qui est interdit, quelles paroles peuvent être prononcées, lesquelles seront interdites, ce qui peut être écrit sur Internet, ce qui doit être interdit. Cela vous paraît excessif, stalinien, hitlérien ? Alors vous êtes intolérant, xénophobe, raciste, voire dangereux pour la société.

Il ne s’agit pas du scénario d’un film de science-fiction, mais d’un document émis par la Commission instituée par Laura Boldrini afin de prévenir les discours de haine.

Le raisonnement logique du document est le suivant : il existe une pyramide de la haine dans laquelle des stéréotypes négatifs, des représentations fausses ou trompeuses, des insultes, un langage hostile, constituent la base des discriminations, des messages de haine et des

actes de violence physique, pouvant aller jusqu’au meurtre, perpétrés à l’encontre de personnes en raison de leur orientation sexuelle, de leur ethnie, de la couleur de leur peau, de leur religion ou de toute autre autre raison”.

En d’autres termes, l’étude de la Commission souligne le fait qu’il existe un lien direct de cause à effet entre une fausse information et la violence. Ainsi, pour lutter contre la violence et les meurtres commis par de dangereux xénophobes, racistes, islamophobes, fascistes qui affolent notre société, il est primordial de contrôler l’information.

Il s’agit là d’une idiotie qui serait risible si elle n’était pas dangereuse. C’est une tentation liberticide qui anime la gauche depuis toujours et qui revient en force à chaque fois qu’elle se trouve en difficulté.

Au lieu d’écouter la voix du peuple, la gauche veut la contrôler. Pour ces gens, la démocratie est une belle et grande chose, mais à condition que la majorité pense et exprime ce que la gauche souhaite. Si une opinion contraire émerge, il suffit de l’étiqueter d’intolérante, de xénophobe, de raciste ou mieux encore de fasciste et le problème est résolu.

Le seul « mérite » de cette Commission est qu’elle est tellement grotesque qu’elle est démasquée pour l’esprit liberticide qui l’inspire. Ainsi, dans la dangereuse catégorie des « stéréotypes et fausses interprétations » la Commission insère les opinions suivantes :

  • « En cas de pénurie de travail, les employeurs devraient accorder la priorité aux Italiens.» Idée soutenue ouvertement par le parti Fratelli d’Italia et qui dans de nombreuses nations est une loi d’Etat. (partagée par 48,7% des Italiens)
  • « L’augmentation des migrants favorise la propagation du terrorisme et de la criminalité.» (opinion soutenue par 52,6% des Italiens)
  • De même, l’opposition de 41,1% d’Italiens à l’ouverture d’une mosquée sous leurs fenêtres et l’opinion négative d’environ 82% des Italiens sur les Roms, sont des attitudes dangereuses à corriger.

Pour la gauche, la solution aux problèmes de l’immigration incontrôlée, du terrorisme, de l’islamisation forcée de l’Europe, de la criminalité des Roms et de la dégradation des villes est très simple : il suffit d’interdire légalement d’en parler oralement et… par écrit selon la sagesse qu’en cassant le thermomètre, il n’y a plus de fièvre.

A ces inquisiteurs du troisième millénaire, Giorgia Meloni, la Présidente de Fratelli d’Italia répond :

le peuple italien ne renoncera pas facilement à sa propre liberté. Nous sommes les filles et les fils de la démocratie grecque, du droit romain, de la culture européenne et non des satrapes d’Orient et de l’obscurantisme islamique. Et maintenant, accusez-moi de diffuser des ‘stéréotypes culturels’ ».

Tout flux a son reflux, c’est une loi de la nature irréversible.

Les dirigeants de l’UE devraient la méditer, sinon le reflux pourrait se faire de manière peu conforme aux « valeurs européennes » dont ils se gargarisent à longueur de discours pour nous imposer l’entrée ininterrompue de migrants majoritairement musulmans, dans le seul but de transformer l’Europe en un magma multiculturel, où l’Européen de souche blanc, de culture gréco-romaine, aux valeurs judéo-chrétiennes, ne serait plus qu’une vague ombre du passé à effacer au plus vite de la mémoire de la nouvelle Humanité en marche.

SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

« Fuorilegge e a piede libero: allo sbando 54mila stranieri. »

« Controllori, militari e cittadini vittime della furia dei migranti. »

« La Boldrini vuole imporre il buonismo per legge. » (Giorgia Meloni)

(Traductions partielles et adaptation par Rosaly)

117231817

 

 

MACRON : L’ARTURO BRACHETTI DE L’IMMIGRATION par lImprécateur
Share Button

Macron ira en Algérie le 6 décembre prochain. Pour quoi faire et pour quoi dire ? Il sera certainement question d’immigration, mais c’est un sujet sur lequel la pensée politique du président est totalement obscure. Ses discours changent du jour au lendemain et se contredisent. Il est même fréquent que dans le même discours il dise tout et son contraire. Ses thuriféraires y voient l’expression d’une pensée complexe, là où il n’y a que mélasse et soupe aux choux. Les Algériens sont les premiers à n’y rien comprendre. « Alger demande des explications… » (https://www.algeriepatriotique.com). Est-ce pour en donner que Macron y retourne ? Ou pour salir une fois de plus les Français comme il aime tant le faire dès qu’il est hors de France ? Ou les deux ?

Résultat de recherche d'images pour "macron et Bouteflika, images"

Curieusement on ne trouve sur Internet aucune photo de Macron avec Bouteflika. Seulement des photo-montages. Si vous voulez vérifier, tapez simplement Macron et Bouteflika, images. Se sont-ils vraiment rencontrés ? − Il semble que non. Peut-être est-ce la raison pour laquelle Algérie-focus titre cette semaine « Macron tourne le dos au régime Bouteflika ».

Le 2 mars 2017, dans une interview au magazine Réforme, Macron déclarait : « Il faut regarder les faits. Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes pas aujourd’hui confrontés à une vague d’immigration. Un peu plus de 200 000 titres de séjour ont été octroyés l’année dernière, ce n’est pas un tsunami que nous ne saurions freiner. » Le chiffre est un peu sous-estimé mais presqu’exact si l’on croit le tableau publié en 2015 par le ministère de l’Intérieur :

Seulement à ces 215.000, il faut ajouter les clandestins enregistrés par l’OFPRA (Office Français Pour les Réfugiés et les Apatrides) en 2015 : 80.075. Au total « officiel » on est déjà proche des 300.000. C’est l’équivalent d’une ville comme Orléans ou Clermont-Ferrand. « Pas un tsunami », peut-être, mais énorme quand même, et l’on n’a pas vu jusqu’ici que l’État sache le freiner. « En même temps », Macron voit dans ces immigrés « un facteur de croissance pour notre économie… Le sujet de l’immigration ne devrait donc pas inquiéter la population française« .

Sans aucun doute, il y a parmi les migrants quelques étudiants et quelques cadres, mais ceux-là arrivent en avion avec un visa pour fuir les régimes totalitaires des Bouteflika et autres dictateurs africains, et ils ont toujours été les bienvenus.

En avril 2016, RFI a enquêté et trouvé qu’un tiers seulement des migrants en Europe ont suivi un minimum de formation professionnelle ou d’études. En Allemagne, sur plus d’un million de migrants, 30.000 seulement ont trouvé un travail régulier. Tous les autres vivent aux crochets des aides sociales, donc des contribuables. C’est l’une des raisons de la chute de popularité d’Angela Merkel qui paye aujourd’hui l’erreur d’avoir cru au mirage des migrants « facteur de croissance pour l’économie ». Une erreur que Macron renouvelle.

En janvier 2017, Macron disait « J’entends des gens confondant tout, déclarant que les réfugiés représentent un risque, ils commettent une erreur politique et morale profonde ». Mais c’est Macron qui confond tout et commet une erreur politique et morale profonde. Un rapport recensant les crimes et délits commis par les immigrés de janvier à décembre 2015 a été établit par le Bureau pénal fédéral (BKA). Il a été publié par le magazine Bild. Selon ces chiffres officiels partiels (13 länder sur 16), les réfugiés (essentiellement Syriens, Afghans et Irakiens) ont commis 92.000 infractions de plus qu’en 2014, dans l’ensemble du pays, portant à 208.000 ce chiffre en 2015. Le Monde a précisé que la moitié de ces infractions concernaient des vols. Et dans leurs conclusions, les fonctionnaires allemands mettent  en garde contre une « tendance croissante » des terroristes à se mêler à d’authentiques réfugiés.

Les viols sont nombreux. Plus de 600 allemandes violées à Cologne en une nuit.

En ce qui concerne l’immigration étudiante louée par Macron, les chiffres démontrent qu’il s’agit d’une filière d’immigration durable. Depuis une circulaire du 15 janvier 2000, les étrangers étudiants en France sont autorisés à s’établir définitivement dans notre pays. Ils sont moins de 40% à décrocher au moins un niveau licence (M1), et 30% arrivent jusqu’à un troisième cycle. Entre 1998 et 2005 le nombre d’étudiants étrangers a fait un bon de 68% pour atteindre 250.000, en 2015 il était à 271.000, sans aucun examen de vérification de niveau. Seulement 30% arrivent avec un niveau équivalent au brevet des collège. Les professeurs se plaignent de trouver dans leur cours des élèves analphabètes arrivant du Togo ou du Cameroun. Et l’on a vu Houria Bouteldja, porte-parole des indigènes de la République, fidèle soutien du terrorisme, et du Hamas par antisémitisme, accusée de sexisme de racisme et d’homophone, invitée à animer le 24 novembre un « Séminaire d’études décoloniales » à l’Université de Limoges en tant que « spécialiste de la décolonisation » par le président Alain Célérité. Devant le tollé et les protestations, même  la LICRA et SOS Racisme on protesté, l’affiche a été retirée, mais on la trouve encore sur le site http://www.lepopulaire.fr/limoges/opinion/2017/11/21/vive-polemique

Ce constat catastrophique n’empêche pas Macron de persister dans son erreur : « De surcroît, l’immigration se révèle une chance d’un point de vue  économique, culturel, social. Dans toutes les théories de la croissance, elle fait partie des déterminants positifs » (Réformes). Il dévoile là sa grande faiblesse. En étudiant brillant mais inexpérimenté, il raisonne sur des théories sans s’occuper de la réalité des chiffres que le président devrait connaître. Parce que dans la réalité, en 2012 (dernier chiffre connu) sur 206.330 étudiants étrangers, seulement 17.754 ont trouvé un contrat de travail en France. Par contre, 94.457 aussitôt installés on fait venir leur famille au titre du regroupement familial. Et tout cela a un coût astronomique pour les contribuables, dernier des soucis du président obnubilé par son idéologie immigrationniste :

  • RSA destiné aux étrangers sans travail : 2,75 Milliards d’euros (chiffre officiel 2012)
  • Aide médicale d’état : 739 millions d’euros (2013)
  • Allocations familiales aux étrangers : 8,41 Milliards (2012).
  • Coût annuel des demandeurs d’asile (chiffre Cour des Comptes) : 2 Milliards.
  • Étudiants étrangers pris en charge par l’Enseignement supérieur : 3,25 Milliards (seuls 40% atteignent le niveau licence).

À cela faut-il ajouter le coût du logement : « Concernant le logement d’urgence des demandeurs d’asile, le 23 décembre 2016, Bernard Cazeneuve a annoncé un appel d’offre pour acheter 5000 places dans des hôtels supplémentaires, dont le montant s’élève à 297 millions pour la Société Nationale Immobilière filiale de la Caisse des Dépôts. Le nombre de nuitées payées par l’Etat a augmenté de 16,5% en 2015, et pour le premier semestre 2016, de 8%, portant à 41 000 le nombre de nuitées payées par le contribuable quotidiennement, en partie pour des SDF français, mais, en “partie importante” pour les migrants admet Bernard Cazeneuve dans une circulaire de février 2015″ (Observatoire de l’Islamisation). Le coût annuel de 250 millions d’euros va sensiblement augmenter avec le nouveau programme que vient d’annonce le gouvernement : la prise en charge par la France des réfugiés africains que le HCR exfiltre de Libye pour leur éviter l’esclavage que les trafiquants d’esclaves arabes et africains ont repris comme au bon vieux temps d’avant la colonisation.

Selon Emmanuel Macron, ils sont de 800.000 à 1 million, à attendre, en Libye, de pouvoir franchir la Méditerranée, avant de gagner l’Italie, puis un autre pays européen, dont la France.

Maintenant que valent tous ces chiffres sur l’immigration ? Reflètent-ils la réalité ? On peut se poser la question. Le nombre des visas touristiques courts séjours est passé sous silence, alors que leur délivrance aux pays du Maghreb a explosé ces dernières années. Il s’agit pourtant de la principale porte d’entrée de l’immigration clandestine. On entre légalement, et on reste illégalement une fois les trois mois écoulés utilisés à récolter le maximum d’aides sociales : en 2014, 214.000 Marocains, 332.000 Algériens selon l’INED (soit 546.000).

Il a été rapporté que, dans un rapport récent de l’ambassadeur de France en Algérie, monsieur Driencourt, aurait signalé que l’ambassade à Alger est submergée par les nouvelles demandes de visas de ressortissants algériens souhaitant se rendre en France depuis que Macron leur a promis le 13 février dernier qu’ils seraient bien accueillis. Plus de 130.000 de ces demandes de rendez-vous sont actuellement bloquées jusqu’au 31 janvier 2018 faute de temps et de moyens pour les traiter. Des mesures d’urgence ont dû être prises pour obéir aux ordres du président qui a promis à l’Algérie de faire entrer tous les Algériens qui le demanderont.

Alger : La queue des demandeurs de visas !

L’ambassadeur précise qu’en 2016, 410.522 visas avaient été délivrés alors que pour 2017, si cette tendance se poursuit (et il n’y a aucune raison pour qu’elle diminue) ce sera un total de 626.000 visas accordés à la fin de 2017. À ce total il est nécessaire d’ajouter les « visas de circulation » qui permettent aux bénéficiaires d’effectuer plusieurs séjours en France sans se présenter au consulat : 92.000 délivrés en 2016.

Ces chiffres « officiels » signifient que l’invasion légale de notre pays est en progression constante, elle a doublé en quatre années et cela sans tenir compte des détenteurs de visas de courts séjours, non tenus de se présenter au consulat, et qui restent en situation clandestine.

Driencourt a la bonté de nous faire savoir qu’il n’est nullement question pour la France de réduire le nombre de visas accordés aux Algériens, bien au contraire, et qu’afin de pouvoir satisfaire le maximum de demandeurs, le consulat a lancé un appel d’offres pour trouver un prestataire qui lui permette de gérer plus rapidement cet afflux de nouveaux prétendants à la nationalité française. De plus, à ces 600.000 Algériens, il faut ajouter environ 250.000 Marocains et autant de Tunisiens plus un nombre encore inconnu d’Africains venant de Libye. En 2018 le million de migrants voulus par le Président pour montrer au monde entier et à ses prescripteurs de la finance mondiale qu’il est encore plus immigrationniste qu’Angela Merkel sera probablement largement dépassé.

« En même temps », pour rassurer les Français, Macron annonce une grande loi qui régulera et contrôlera l’immigration (Le Point 5 septembre ; Le Monde 6 septembre). Déjà, selon Le Monde du 27 juillet, il disait : « Je ne veux plus d’ici la fin de l’année avoir des hommes et des femmes dans les rues, dans les bois. Je veux partout des hébergements d’urgence. » Comment pense-t-il les loger ? Le ministre de l’Intérieur proposait de réquisitionner des hôtels, l’Élysée suggère de réquisitionner les résidences secondaires inoccupées. Nous en connaissons plusieurs, dont celle d’une certaine Brigitte Trogneux au Touquet où, vu sa proximité avec l’Angleterre et son aéroport, on pourrait aussi créer dans les dunes un grand camp de migrants, on l’appellerait « La jungle du Touquet ».

Comment croire un homme qui annonce vouloir réguler l’immigration et « en même temps » lui ouvre grand les portes ? Incohérence intellectuelle ou inconscience du danger ? − Peut-être bien les deux mon général.

L’Imprécateur

***********************************************************************************************

Allemagne : Epidémie d'Attaques au Couteau

CpvL9F6XEAAaXpr

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité