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POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
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14 décembre 2023

L'OPEP PREDIT UN RALENTISSEMENT NOTABLE SUR LA DEMANDE DE PETROLE DANS LE MONDE POUR 2024 ... L' ON VERRA BIEN ?

L’OPEP affirme que les « inquiétudes exagérées » concernant la demande affectent les prix du pétrole, mais prévoit toujours un ralentissement en 2024

« L’OPEP affirme que les inquiétudes concernant la demande de pétrole ont été exagérées en novembre, selon son dernier rapport.
Mais le cartel pétrolier s’attend toujours à un léger ralentissement de la croissance de la demande l’année prochaine.
Néanmoins, la forte croissance économique en 2024 limitera ce ralentissement.

L’inquiétude excessive concernant la demande de pétrole a été un thème clé en novembre, marqué par une forte volatilité et de fortes ventes sur les prix à terme, a déclaré l’Organisation des pays exportateurs de pétrole dans son rapport mensuel .

Cela survient alors que le brut Brent , la référence internationale, a chuté de 7 % en novembre et a chuté de plus de 20 % par rapport à son pic de septembre.

« Les spéculateurs ont joué un rôle majeur dans cette tendance, réduisant fortement leurs positions haussières tout en augmentant les positions courtes. La dynamique du marché a été alimentée par des inquiétudes exagérées concernant la croissance de la demande pétrolière, ce qui a eu un impact négatif sur le sentiment du marché », indique le rapport.

Tout au long de cette année, les analystes ont mis en garde contre une « destruction de la demande » sur les marchés pétroliers, les prix élevés en été, la dépréciation des monnaies et la hausse des coûts d’emprunt ayant freiné la consommation de carburant.

L’OPEP a néanmoins maintenu ses perspectives de croissance de la demande mondiale de pétrole inchangées, à 2,46 millions de barils par jour pour 2023, même si elle s’attend à un ralentissement à 2,25 millions de b/j l’année prochaine.

Cela dépasse les autres prévisions, l’Agence internationale de l’énergie prévoyant une croissance de la demande qui chuterait à 930 000 b/j en 2024 . Dans le même temps, Fitch Ratings a suggéré qu’un ralentissement de la croissance économique l’année prochaine pourrait exacerber un excédent de l’offre de pétrole , obligeant potentiellement l’OPEP+ à réduire encore sa production.

Pour sa part, l’OPEP a déclaré que la forte croissance économique serait le principal moteur de la demande élevée de pétrole. Tout en relevant ses prévisions mondiales pour 2023 à 2,9 %, elle a laissé celle pour l’année prochaine à 2,6 %.

« Alors que 2023 touche à sa fin, le Secrétariat de l’OPEP reste prudemment optimiste quant aux facteurs fondamentaux affectant la dynamique du marché pétrolier en 2024″, a-t-il déclaré.

Du côté de l’offre, les attentes de l’OPEP restent également inchangées. Il prévoit une croissance de l’offre hors OPEP de 1,8 million de b/j en 2023, suivie de 1,4 million de b/j en 2024. Les deux années devraient être tirées par la production américaine.

Tout au long de l’année 2023, les membres de l’OPEP ont réduit leur production de brut dans le but de faire grimper les prix. Cependant, la forte production américaine a fragilisé cette situation, tandis que les allusions de l’Arabie Saoudite et de la Russie visant à réduire davantage l’offre l’année prochaine n’ont pas réussi à relancer le brut. »

Prix du pétrole = croissance économique !

A chaque fois que les prix du pétrole montent trop et deviennent trop chers, les banques centrales montent les taux d’intérêt pour casser la croissance économique.

Une fois cassée la croissance économique, la demande en pétrole baisse.

Quand la demande baisse, les prix baissent.

Désormais, ce qui change, c’est que les pays de l’OPEP baissent également la production bien plus rapidement qu’avant pour maintenir le niveau des prix le plus élevés possible.

Cette rapidité de l’OPEP est liée à la perte d’influence des Etats-Unis dans le monde et notamment auprès des pays arabes.

Charles SANNAT

 

Pétrole1

 

« Le Guyana, premier réservoir d’or noir au monde par habitant, est en train de devenir le centre d’une nouvelle crise diplomatique mondiale, tant les ressources pétrolifères offshore de ce petit Etat d’Amérique latine sont prometteuses. Un territoire qui regorge de ressources naturelles mais où près d’un habitant sur deux vit encore sous le seuil de pauvreté. »

« Des forêts à perte de vue… et les plus importantes réserves de pétrole brut au monde, par habitant au large des côtes. Le Guyana, ancienne colonie britannique et membre du Commonwealth, attire, plus que jamais, toutes les convoitises. Et pour cause. L’Essequibo, son territoire de 160.000km2, soit deux fois plus que la région Nouvelle-Aquitaine, ou deux fois plus que la superficie de la Guyane française, a ravivé les intérêts du Venezuela depuis que du pétrole y a été découvert par le groupe américain ExxonMobil en 2015. Attribué au Guyana par une décision de 1899, ce territoire qui représentent les deux tiers de la superficie du pays, est aujourd’hui revendiqué par son voisin et premier producteur de pétrole au monde.

L’enjeu du pétrole est tel qu’il pourrait faire basculer cette région du monde dans un conflit armé. Jeudi 7 décembre, les Etats-Unis ont annoncé mener des exercices militaires aériens de « routine » au-dessus de ce pays d’Amérique latine. En face le Venezuela de Nicolas Maduro s’est montré tout aussi déterminé à défendre un terrain qu’il considère acquis par la voie, dimanche, d’un référendum – contesté – qui a donné à 95 % le « Oui » au rattachement de ce territoire. Côté guyanais, l’armée est en « alerte totale », accusant le Venezuela d’être une « nation hors-la-loi » et « un risque important pour la paix et la sécurité ».

Pour dégripper la situation, les présidents du Venezuela, Nicolas Maduro, et du Guyana, Irfaan Ali, se rencontreront ce jeudi jeudi, à Saint-Vincent-et-les-Grenadines pour aborder l’épineuse question de l’Essequibo. Ils seront entourés du président brésilien Lula, qui, à la « demande des deux parties » tente une médiation. Pourquoi Saint-Vincent-et-les-Grenadines ? Car la réunion est placée sous les auspices non seulement de la CARICOM, la Communauté caribéenne, mais aussi de la CELAC, la Communauté des Etats d’Amérique latine et des Caraïbes dont le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les-Grenadines Ralph Gonsalves assure la présidence tournante. »

Ce sont des guerres pour l’énergie et tout le monde se fout du CO2.

Je ne sais pas ce qu’il faut pour que les gens comprennent…

Toutes les guerres que nous vivons depuis la première guerre du Golfe sont des guerres pour l’énergie.

Des guerres pour le pétrole.

Le CO2 tout le monde s’en fiche.

Tout le monde veut du pétrole et crame du brut et des barils !

L’économie, notre essor, notre confort, notre espérance de vie, tout est basé sur le pétrole et l’abondance d’énergie pas chère.

Charles SANNAT

 

Le pétrole exclu des fonds

 

verts labellisés ISR !

Hahahahahahaha.

Haaa… les fonds ISR, c’est l’investissement socialement responsable.

Les zamis, c’est important que vos investissements soient socialement responsables.

Vous ne voulez tout de même pas être des irresponsables ?

Vous êtes des gens bien.

Vous êtes même pris pour des jambons, pardon, pour des gens bons, j’ai ma langue qui vient de fourcher.

Alors forcément vous ne verrez aucun inconvénients à ce que les méchants producteurs de vilain pétrole qui font du terrible CO2 soient exclus des fonds socialement responsables que vous allez acheter car vous avez tous les brevets de vertu.

Hahahahahahahahahahahahahahaha…. que je suis vilain aujourd’hui et insolent !

« Bercy a dévoilé ce mardi les contours de sa réforme du label de l’investissement socialement responsable (ISR). Après bien des débats, le ministère a décidé qu’à partir du 1er mars 2024 pourront bénéficier du label uniquement les fonds qui excluent de leurs portefeuilles « les entreprises qui exploitent du charbon ou des hydrocarbures non conventionnels, ainsi que celles qui lancent de nouveaux projets d’exploration, d’exploitation ou de raffinage d’hydrocarbures (pétrole ou gaz, NDLR) ».

C’est vrai ça.

Il a bien raison Bruno entre deux histoires qui rentrent dans les anales de la littérature française.

« Rien n’est pire que de donner le sentiment aux épargnants que l’on met une estampille verte et qu’en fait, derrière, (ce sont) des activités brunes », avait déclaré le matin même Bruno Le Maire sur BFM, expliquant vouloir « garantir la crédibilité » du label ISR, qui « n’était pas suffisamment strict ».

OUF.

Voici vos investissements socialement responsables garantis.

Conclusion ?

Les gueux ne font plus de gosses de leur propre gré.

Les gueux n’achètent plus d’actions TOTAL de leur propre gré.

Mais ils vont acheter le carburant quand même.

Hahahahahahahahahaha.

Vous comprenez ?

Les riches auront les gosses et les dividendes.

Vous ?

Rien !

Ni gosse ni sous !

De toutes les façons vous êtes de trop, vous êtes des surnuméraires.

Sinon… je vais tout vous dire dans mon prochain dossier STRATEGIES… et bien évidemment, on ne va pas se laisser faire !

Hahahahahahahahahaha.

Charles SANNAT

 

oil de pétrole

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