Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
Visiteurs
Depuis la création 221 945
Publicité
POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
Archives
Pages
Derniers commentaires
Newsletter
POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
20 octobre 2022

DOCTEUR MABOUL Editorial de Charles SANNAT

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Nous vivons dans un monde de fous.

Je crois que dans ce pays tout le monde devient complètement malade.

Le monde d’Ubu roi !

Une vraie société de mabouls.

Un monde où on vous demande tout et son contraire dans un espèce « d’en même temps » totalement impossible et au succès improbable.

Pour le virus du Covid, ouvrez les fenêtres toutes les 10 minutes et aérez. Pour la chaleur et la sobriété énergétique calfeutrez et fermez tout !

Les masques ne servent à rien en population générale… puis, port du masque obligatoire sinon 135 euros d’amende.

Et désormais, c’est un génial et totalement maboul pour la transition écologique prenez le train et les transports en commun mais à cause des prix de l’électricité on va fermer les lignes de TER !

C’est juste un délire collectif ahurissant dont le professeur en chef de notre asile d’aliénés n’est autre que le docteur Maboul du Palais !

Non pas qu’il soit plus maboul que tous les autres. Non.

A la grosse commission de Bruxelles ils sont carrément en phase terminale de décompensation de folie extrême.

Mais notre Manu incarne ce système qui se met à tourner en boucle et à se taper la tête contre les murs !

Plus rien ne fonctionne, parce que nous nous effondrons sur nous mêmes et les complexités que nous créons depuis des années. Nous croulons sous nos empilements de règles, de lois, de normes, de fiscalité toutes plus folles et incompréhensibles les unes que les autres.

Hausse du prix de l’électricité :

des fermetures de lignes TER à venir

« La région Grand Est a annoncé envisager la fermeture de certaines lignes tandis que le gouvernement ne compte pas aider ces collectivités à faire face aux hausses de tarifs.

Des régions françaises seront forcées de « fermer les lignes » ferroviaires si l’État leur répercute la flambée des prix de l’électricité, a averti le président du Conseil régional du Grand Est, Jean Rottner (LR).

« A partir de 2024, c’est 8 % de droit de péage supplémentaire qui va s’exercer sur les régions », a déclaré M. Rottner lors d’un entretien avec des journalistes, avant une session jeudi du Conseil régional à Strasbourg. « Là, on dit stop, on ne peut pas ».

Le ministre des Transports Clément Beaune a indiqué le mois dernier que l’État n’envisageait pas a priori d’aide pour les régions , qui sont engagées par contrat à couvrir la hausse des prix de l’énergie pour les transports publics qu’elles organisent, comme les TER.

« Beaucoup de présidents de région sont en train de dire que si à un moment donné il n’y a pas une forme de remise en cause du système (…), on va à notre perte, c’est-à-dire qu’ on va fermer les lignes, clairement « , a relevé M. Rottner.

1,6 à 1,7 milliard de surcoût pour la SNCF

Le président de la SNCF Jean-Pierre Farandou a estimé le mois dernier le surcoût de la facture d’électricité entre 1,6 et 1,7 milliard d’euros en 2023.

La moitié de ce surcoût est imputable aux trains régionaux.

Or, la Première ministre Élisabeth Borne, lorsqu’elle était ministre des Transports, avait exigé en 2018 que SNCF Réseau, le gestionnaire des voies ferrées françaises, revienne à une génération de trésorerie positive à partir de 2024« .

Manu, il va vraiment falloir sortir du délire lié au mode actuel de fixation des prix de l’électricité.

olaf-grossbaf

Vas-y Manu, une grosse baffe pour Olaf !

En effet à  Bruxelles c’est un peu l’effervescence car Manu envisagerait de reporter le sommet avec OlafGrossebaf.

Voici les indiscrétions en provenance de la capitale belge !

« Les querelles franco-allemandes sont aussi vieilles que l’amitié qui unit les pays – mais ces derniers mois, l’humeur glaciale a bloqué les progrès de l’UE sur tous les sujets, de la défense à la politique énergétique. Les relations entre les deux administrations actuelles sont devenues si improductives – pour ne pas dire toxiques – que les responsables envisagent maintenant de reporter une réunion bilatérale cruciale.

La dispute a atteint le niveau des dirigeants Emmanuel Macron et Olaf Scholz juste avant les traditionnelles consultations gouvernementales franco-allemandes, où les dirigeants des deux pays et leurs ministres se rencontrent pour une journée complète de discussions.

Selon plusieurs responsables français, Macron envisage de retarder la réunion prévue mercredi prochain à Fontainebleau, au sud de Paris – les premières consultations de ce type depuis que Scholz a pris ses fonctions l’année dernière.

Ces derniers mois, les responsables français et allemands se sont accusés mutuellement d’hypocrisie et d’égoïsme : Les responsables berlinois, par exemple, se sont plaints que leur gouvernement ait été injustement accusé d’aller trop lentement sur les livraisons d’armes à l’Ukraine et critiqué pour les subventions à l’énergie, alors que la France a été épargnée sur ces deux questions. Les responsables français, quant à eux, se sont plaints du repli sur soi de l’Allemagne en matière de coalition et de son incapacité à coordonner les actions importantes avec ses partenaires.

Mais la dernière dispute en date concerne les projets de défense communs : Berlin a décidé de dépenser 100 milliards d’euros supplémentaires pour son armée, mais les responsables politiques ont fait savoir qu’une grande partie de cette somme serait consacrée à des armes américaines prêtes à l’emploi, plutôt qu’à de nouveaux projets de défense européens visant à renforcer les capacités nationales, comme la France l’a demandé.

Un représentant du gouvernement français a cité des projets communs – notamment l’avion de combat FCAS (Future Combat Air System) et le char MGCS (Main Ground Combat System) – comme des domaines où les progrès ont été insuffisants.

L’énergie est l’autre domaine dans lequel Paris et Berlin n’ont pas réussi à s’entendre, selon les responsables, Berlin étant furieux de la décision de Macron de bloquer le gazoduc MidCat à travers la France, tandis que les responsables français ont critiqué Berlin pour ce qui a été perçu à travers l’UE comme un manque de volonté de trouver des réponses communes de l’UE aux prix élevés du gaz.

« Il n’y a pas assez de progrès sur les sujets [de discussion], il est donc possible que le conseil soit reporté pour nous donner plus de temps pour y travailler », a déclaré un fonctionnaire du gouvernement français.

En fait avec nos « zamis » les Allemands nous ne sommes à peu près d’accord sur rien.

L’Allemagne essaie de nous dépouiller, notamment sur nos capacités militaires, encore plus depuis que l’Allemagne veut se réarmer, avec son industrie à elle, pas en achetant made in France ou made in Europa.

Du coup, l’Europe de la défense a un coup dans l’aile !

Et puis cette histoire d’énergie est insupportable.

Alors Manu, je vais te proposer les contours d’un « deal » avec OlafGrosseBaf.

obelix-je-peux-etre-aimable-1-400x336

 

Voilà Olaf, tu arrêtes tout de suite de nous faire fixer le prix de l’électricité avec une indexation délirante sur le gaz. On repasse au prix de marché calculé par rapport au prix de production. Du coup, on sera plus compétitif en France, c’est comme ça. Mais comme nous sommes zamis, on envoie de l’électricité nucléaire pas chère à l’Allemagne pour faire tourner là-bas les grosses usines de la Ruhr. On peut même construire un gazoduc avec l’Espagne pour livrer la Germanie. Pas de problème, mais on ne joue pas au con Olaf.

Parce que si l’Allemagne ne doit pas éteindre ses usines dont l’Europe a aussi besoin, la France, elle,  ne peut pas éteindre ses trains et ses TER.

Allez Manu.

Maintenant ça suffit.

Une baffe pour Olaf.

Et si ce n’est pas assez, balance deux baffes diplomatiques mon Manu !

Mais je te le dis très aimablement, Manu, si tu continues comme ça tu vas rentrer dans l’histoire comme étant le président qui a éteint la lumière de ce pays et coupé les trains parce qu’il n’avait plus d’électricité !

Manu, faut se réveiller mon biquet, c’est l’heure de se lever. C’est l’heure de faire preuve d’amabilité gauloise avec Olaf.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

 

Cet article de Reuters remonte le « moral » économique ! C’est ironique bien évidemment.

« Avec les difficultés d’approvisionnement des stations-service, Antonio Perreira, chauffeur routier depuis 40 ans, s’est vu confier une nouvelle tâche : celle de faire la queue toute la journée pour remplir les réservoirs des poids-lourd de son entreprise ».

Au plus fort de cette crise longue de plus de trois semaines, Antonio Perreira pouvait attendre en Île-de-France près de deux heures avant de pouvoir faire un plein.

« Depuis 40 ans que je suis chauffeur, je n’ai jamais connu ça », dit-il à Reuters du haut de son habitacle.

Ou encore…

« F.D.E. Transports, qui effectue plus de 200 livraisons par jour pour de grands donneurs d’ordres comme DHL, Fedex ou encore Chronopost, doit jongler au quotidien pour assurer ses commandes, explique sa directrice Imen Mehenni.

L’impact financier se mesure en « plusieurs dizaines de milliers d’euros », dit-elle.

Ses chauffeurs routiers font des heures supplémentaires pour assurer le ravitaillement de leur camion. S’ils attendent trop longtemps, ils ne peuvent plus reprendre la route car ils dépasseraient le temps réglementaire de conduite. L’entreprise mandate donc d’autres chauffeurs pour assurer la livraison, ce qui double ses coûts de main d’oeuvre.

Quelques poids-lourd ont subi des pannes sèches sur la route depuis le début de la crise. Et à deux ou trois reprises, l’entreprise n’a pas été en mesure d’honorer des commandes par manque de carburant, précise la directrice.

Pour Imen Mehenni, la situation ne peut pas perdurer car elle risquerait de mettre l’entreprise en grande difficulté. Elle en appelle donc au gouvernement.

« J’espère vraiment qu’un jour le gouvernement se rendra compte que le transport est l’une des activités économiques primordiales qu’il faut soutenir un petit peu, surtout pendant cette période de crise », a-t-elle dit à Reuters ».

« Si le transport s’arrête, c’est bien évidemment tout le ravitaillement alimentaire essentiel qui cesse.

Et vous savez ce que l’on dit.

Ce qui sépare nos sociétés civilisées du chaos, c’est à peu près 9 repas, soit trois jours sans manger.

Charles SANNAT

 

Voici un article en provenance des contrées lointaines d’Olaf la grosse baffe.

Pour ceux qui manquent de culture et ne maîtrisent pas la littérature qui est la mienne à savoir Astérix, sachez qu’il n’y a là aucun racisme anti-allemand !

Olaf Grossebaf est le chef des guerriers normands. Leader ambitieux, il veut tout connaître ! A la recherche du secret de la peur qui donne des ailes, il se rend en Gaule accompagné de ses meilleures troupes. Manque de bol en face il va tomber sur un os… celui d’Idéfix le petit chien d’Obélix et sur Astérix ! En tant qu’économiste de grenier normand, forcément, Olaf Grossebaf c’est un classique alors quand le mamamouchi allemand s’appelle Olaf… Allez, paf, une grossebaf !

Bref. Voici ce que nous raconte notre correspondant officiel le camarade impertinent Christophe et ce n’est pas brillant car pas d’AdBlue et pas de camion. Pas de camion qui roulent, pas de nourriture ni de bon miam-miam dans les rayons ! Et quand les rayons sont vides, les ventres crient famine !

L’AdBlue s’épuise : Bientôt des rayons de supermarché vides ?

Sans AdBlue, les camions ne peuvent pas rouler. Mais suite à la crise énergétique, la production s’est effondrée en Allemagne et les stocks s’épuisent.
Les transporteurs allemands sont déjà soumis à une pression considérable en raison du manque de chauffeurs et de l’augmentation du prix du diesel. Et maintenant, la pénurie chronique d’AdBlue, le mélange d’urée et d’eau désionisée qui neutralise les émissions d’oxyde d’azote des moteurs diesel, semble s’aggraver.

Les réserves de ce liquide par les transporteurs allemands sont en train de s’épuiser, car SKW Stickstoffwerke Piesteritz, l’un des plus grands fournisseurs d’AdBlue en Allemagne, a complètement arrêté sa production en août. L’entreprise de Wittenberg, en SaxeAnhalt, a justifié cette décision par le prix élevé du gaz. (Commentaire de notre camarade correspondant : arrêt complet signifie souvent arrêt final).

Dirk Engelhardt, chef de l’association fédérale pour le transport de marchandises, la logistique et l’élimination (BGL), affirme que les entreprises sont à court d’AdBlue. Les camions ne pourront alors plus rouler. « Il y aura un tollé dans la population lorsque les chaînes d’approvisionnement s’effondreront et que les supermarchés se videront », cite-t-il dans le Financial Times.

Victimes du gaz cher

L’économie allemande se dirige vers une récession, plombée par la plus grave crise énergétique depuis la Seconde Guerre mondiale. Le renoncement allemand au gaz russe a fait grimper les prix à un niveau quatre fois plus élevé qu’il y a un an. Certaines installations à forte consommation d’énergie ont donc cessé leurs activités.

SKW Piesteritz est l’une des victimes les plus connues du gaz cher. Certes, l’une des deux installations a ensuite été remise en marche à un niveau minimum, mais la deuxième reste toujours hors service. « Si nous avions continué à produire, nous aurions enregistré des pertes de 100 millions d’euros chaque mois », explique le porte-parole Christopher Profitlich.

L’arrêt de SKW a déjà eu d’énormes répercussions sur l’approvisionnement en engrais des exploitations agricoles allemandes et a causé des problèmes aux abattoirs, aux conditionneurs de denrées alimentaires et aux brasseries qui dépendent du dioxyde de carbone – un sous-produit de l’ammoniac – produit par SKW.

Mais la forte baisse de la production d’AdBlue devrait avoir des conséquences économiques encore plus importantes.

Charles SANNAT

 

 

Il n’est pas content notre Manu.

Il commence à comprendre à quel point l’Allemagne est en train de nous couillonner et ce n’est pas possible de l’accepter.

Pourquoi ?

Parce que ce n’est pas possible.

Il n’est pas possible d’accepter d’être mis à mort économiquement par une règle sur la fixation des prix de l’énergie en Europe sur laquelle l’Allemagne ne veut pas revenir. Pourquoi ?

Parce que la France possède l’électricité la moins chère d’Europe, et si nous vendons notre électricité par rapport à ce qu’elle nous coûte réellement, alors les grosses industries de la Ruhr pourraient avoir une furieuse envie de venir s’installer en France !

Du coup l’Allemagne qui a nettement plus de marge budgétaire que nous décide d’aider par le deficit et la dette, ce que nous ne pouvons pas faire.

Olaf joue donc un tour de con à Manu.

Et là mon Manu, faut dire tchao à Olaf.

Dans le langage policé des relations franco-allemande cela donne :

Emmanuel Macron appelle Berlin à la solidarité européenne face à la flambée de l’énergie

Dans la France profonde des greniers normands et les pieds dans la fiente de poules, cela donne que Manu est fâché tout rouge et qu’il a envie de foutre une bonne baffe à Olaf.

« Alors que le plan allemand massif d’aide aux ménages et particuliers inquiète les pays européens, Emmanuel Macron a appelé dimanche 16 octobre l’Allemagne à la « solidarité » européenne face à l’envolée des prix de l’énergie, mettant en garde contre les « distorsions » de concurrence.

« Nous ne pouvons pas nous en tenir à des politiques nationales car cela crée des distorsions au sein du continent européen », a-t-il déclaré dans une interview au quotidien français Les Échos de lundi. « Notre Europe, comme lors de la crise Covid, est à un moment de vérité (…) Nous devons agir avec unité et solidarité », a-t-il plaidé.

Le gouvernement d’Olaf Scholz, accusé de faire cavalier seul avec son plan de soutien à 200 milliards d’euros pour protéger ses ménages et entreprises, est sous la pression de plusieurs partenaires de l’UE pour accepter plus de solidarité financière.

« L’Allemagne est à un moment de changement de modèle dont il ne faut pas sous-estimer le caractère déstabilisateur », a concédé Emmanuel Macron. « Mais si on veut être cohérents, ce ne sont pas des stratégies nationales qu’il faut adopter mais une stratégie européenne », a-t-il insisté.

Et oui mon Manu !

Là tu es en train de te rendre compte comme on dit chez moi de manière fort triviale qu’on se la fait bien mettre par le père Olaf.

Mais rassurez-vous mes braves amis « le chef de l’État s’est dit toutefois confiant « dans la force du couple franco-allemand et dans notre capacité ensemble à porter une stratégie ambitieuse ».

Hahahahahahahahahahahahaha.

Bon ben quand Manu nous dit un truc, il se passe l’inverse, alors…

Vas-y Manu, met lui une baffe à Olaf, et sors nous vite du système européen de fixation des prix, et dans ce cas, je suis même prêt à me serrer la ceinture pour partager notre bonne électricité avec nos voisins allemands, mais pas si leur politique consiste à nous couillonner.

Charles SANNAT

 

 

Cette dépêche Reuters attire notre attention sur une grande première.

« La France a commencé jeudi à livrer directement du gaz à l’Allemagne à travers leur interconnexion frontalière, pour la première fois dans l’histoire des échanges entre les deux pays, dans le cadre d’un accord conclu pour faire face à la baisse des importations de gaz russe.

Les premières capacités de livraisons par gazoduc commercialisées s’élèvent à 31 gigawattheures par jour (GWh/j) alors que l’interconnexion d’Obergailbach (Moselle) peut permettre un flux maximum de 100 GWh/j, a annoncé dans un communiqué GRTgaz, qui gère la majeure partie du réseau de transport de gaz en France.

Voilà que nous livrons du précieux gaz à l’Allemagne qui en manque cruellement, et s’il est normal de le faire pour protéger nos amis allemands, il serait souhaitable que ces mêmes amis se montrent amicaux, et en échange nous permettent de fixer le prix de notre électricité comme cela nous arrange nous et pas eux. Car c’est l’Allemagne qui bloque et refuse que la France puisse fixer les prix de l’électricité par rapport à nos vrais coûts de production.

Pourquoi ?

Parce que nous serions 10 fois moins cher qu’en Allemagne et la grosse industrie de la Ruhr pourrait bien avoir envie de venir s’installer… en France !

Tout ceci n’est qu’une histoire de gros sous et Macron comme le Maire vont devoir choisir, et très vite maintenant, entre leur idéologie européiste et la mort de l’économie française qui entraînera la mort de l’Europe et du rêve de nos europathes. C’est incroyable de ne pas le comprendre !

« Thierry Trouvé, son directeur général, a précisé à des journalistes que le niveau de 31 GWh/j était lié aux conditions de fonctionnement du réseau, qui fait l’objet de travaux actuellement. Le dirigeant a ajouté ne pas être en mesure de dire à quelle échéance le maximum de 100 GWh/j pourrait être atteint.

« (Nous sommes) raisonnablement optimistes sur notre capacité à la fois à servir la demande, à soutenir la production d’électricité et à jouer la solidarité européenne », a ajouté Thierry Trouvé, confirmant les perspectives présentées par GRTgaz mi-septembre.

« Si c’est un hiver froid, le bilan est plus serré. Mais si on met en oeuvre la sobriété (…), on considère qu’on peut faire face à un hiver froid ou très froid sans avoir besoin de réduire la consommation des Français. »

Ce sont des propos plutôt prudents et nuancés !

Jamais la météo n’aura autant été scrutée et finalement tout le monde va bénir le réchauffement climatique !

Charles SANNAT

Source Agence de presse Reuters via Boursorama.com ici

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité