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POLITIQUE EN PACA & POLICY IN THE WORLD in English, French and Italian 0632173633 - diaconesco@gmail.com
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12 juillet 2022

MACRON DESTROY ECONOMIC MAN FOR THE FRANCE

Décryptage impertinent, satirique et humoristique de l’actualité économique

 

 

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Je voulais partager avec vous une réflexion sur les finances de l’état depuis que le Mozart des marchés et de l’économie règne au Palais, jupitérien, tel un phare dans la nuit.

Vous croyez détecter une pointe d’ironie? Vous vous trompez, je n’oserai pas, vous me connaissez… quoique!

Alors pour ne pas être taxé d’antimacronisme primaire, je voulais que l’on parle de chiffres et vous savez que d’après ce gouvernement, « on peut discuter de tout, sauf des chiffres »!

Vous avez ci-dessous une capture d’écran de la page 14 du PLFR.

Le PLFR c’est le projet de loi de finance rectificative.

EN gros, l’état ne fait jamais comme vous.

Vous (et moi) nous avons un budget, et quand on ne le tient pas bien, généralement le banquier vous appelle (c’est quand vous vous entendez bien avec lui, sinon, il vous enverra juste les prélèvements de frais et des courriers à 15 euros pièce).

L’état c’est différent, ce qui veut dire que ce n’est pas pareil.

L’état, lui, grâce à tous les Mozarts de la finance qui se sont succédés à la tête de notre pays pour le ruiner, fait un budget. Un budget qui évidemment ne sera pas tenu, et vous trouverez toujours une bonne raison pour ne pas tenir votre budget, surtout quand c’est pas vous payez mais les « zotres ». Les « zotres » c’est les « zimpozables », les riches qui payent des « nimpots » tous beaux et tous chauds.

Alors tous les ans on fait un PLFR, en gros un budget qui corrige le budget que l’on ne tient pas pour dire que le nouveau budget lui sera tenu… ce qui ne sera pas non plus le cas.

Cela fait 40 ans que ce petit manège dure!

Bref, page 14 du PLFR vous avez ce tableau qui présente les vrais chiffres de notre situation financière dramatique quoi qu’en dise le père Bruno.

Recettes fiscales c’est à dire tous les sous que l’état gagne et prélève dans nos poches: 315.2 milliards d’euros, ce qui fait beaucoup de sous.

Dépenses totale 505 milliards et des brouettes, à ce niveau, faisons fi des bérouettes!

Déficit? 168,5 milliards d’euros en une petite année seulement.

Soit… plus de 53% du montant des recettes!

Oui mes amis nous dépensons plus de 53% de plus que ce que nous rentrons dans les caisses, et encore c’était avec des taux d’intérêt négatif sur notre dette!

PLFR-2022-deficit

Alors je ne veux pas vous casser le moral, mais là nous pouvons le dire.

La France va faire faillite.

La France ce n’est pas les Mozarts de la finance d’hier et d’aujourd’hui.

Quand la France fera faillite, ils prendront l’avion comme les mamamouchis du Sri-Lanka pour aller se mettre à l’abri ailleurs.

Non, quand la France fera faillite, ce sera vous et moi qui feront faillites, et nous aurons à relever ce pays qui devra affronter de bien grands périls.

Nous devront le faire avec grandeur, tempérance et sagesse, nous devrons le faire avec tous les hommes de bonne volonté d’où qu’ils viennent.

Comme à chaque fois, les nations sont trahies par les élites et sauvées par les petits et les sans grade.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

 

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Cette semaine je vous propose de réfléchir aux plans d’urgence énergétiques que mettent en place les différents gouvernements européens notamment.

L’objectif ? Bien évidemment gérer les difficultés d’approvisionnement en amont car il n’y aura pas assez de réserves de gaz pour cet hiver en Europe.

Il va donc falloir faire durer les réserves le plus longtemps possible.

Pour réussir cela, aucun secret il va falloir réduire de façon drastique tous les usages dont nous avions fait nos habitudes et des évidences.

Il va également falloir faire face aux risques de coupure si la baisse de la consommation ne suffit pas.

C’est tout notre quotidien qui va se retrouver chamboulé, toutes nos habitudes qui vont changer, et un prix de l’énergie qui va exploser.

Je n’ai qu’une suggestion à vous faire.

Préparez-vous à des temps difficiles et très changeants.

 

 

Vous n’êtes pas sans capacité à réagir, vous pouvez faire des choix qui peuvent changer les choses, vous n’êtes pas désarmé ni condamné à subir. Mais pour cela il faut savoir décider vite, fort et tôt contrairement aux gouvernements qui font toujours trop peu et trop tard et systématiquement avec votre argent… Ce qui implique que les gouvernements vous rendent toujours moins de la main gauche que ce qu’ils vous ont pris de la main droite.

Prenez bien soin de vous.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

 

 

C’est rare que nos dirigeants se préparent au pire, généralement nous avons plutôt le droit aux remarques toujours profondes et qui se veulent intelligente du type « le pire n’est jamais certain », ou encore « restons optimistes », sans oublier les « fameuses raisons d’espérer ».

Tout ceci c’est de la foutaise.

Non pas que le pire soit toujours certain. Le pire n’est pas plus certain que le meilleur.

Ce qui est certain, c’est que la vie est incertaine!

Ce qui est certain aussi, c’est que ce n’est jamais les moyennes et les risques théoriques et calculés qui font l’histoire, c’est évidemment les évènements hors du commun aux conséquences majeures qui replissent nos livres d’histoire.

« Si l’électricité venait à manquer, le gouvernement prépare pour l’hiver une série de mesures destinées à prioriser les ménages et certaines industries.
Le gouvernement a appelé dimanche à « se mettre rapidement en ordre de bataille » pour faire face à l’éventualité d’une coupure totale des approvisionnements en gaz russe, « option la plus probable » selon le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.

« Préparons-nous à la coupure totale du gaz russe, c’est aujourd’hui l’option la plus probable. Ça suppose que nous accélérions notre indépendance énergétique », a plaidé lors des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence le numéro 2 du gouvernement français, qui veut profiter de l’été pour « se mettre en ordre de bataille » avant l’hiver.
« On peut avoir des tensions sur le gaz cet hiver »
« Il faut se mettre dans le scenario du pire, car il existe. À tout moment, la Russie peut interrompre totalement ses livraisons de gaz », a renchéri la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, dans un entretien au Figaro daté de ce lundi ».

En matière d’approvisionnement, « on peut avoir des tensions sur le gaz cet hiver », avait averti dès ce samedi la Première ministre Elisabeth Borne lors d’une rencontre avec la presse.

Savoir qui l’on va couper, et qui l’on va pouvoir aider…

« Si l’électricité venait à manquer, le gouvernement prépare pour l’hiver une série de mesures destinées à prioriser les ménages et certaines industries. « Il faut nous mettre en ordre de bataille maintenant sur l’organisation, le délestage, la sobriété, la réduction de consommation… c’est maintenant que nous devons prendre les décisions », a affirmé le ministre de l’Economie.

Le risque de pénuries d’énergie ne s’arrête d’ailleurs pas aux frontières françaises, la présidente de la Commission européenne ayant appelé mercredi les 27 Etats membres de l’Union européenne à se « préparer à de nouvelles perturbations de l’approvisionnement en gaz, voire à une coupure complète de la part de la Russie. »

Vous remarquerez que pour le moment, nous ne faisons pas comme nos voisins allemand ou le Bundestag (l’assemblée nationale) a adopté un plan d’économie: plus de chauffage au-dessus de 20 degrés l’hiver et plus d’eau chaude dans les bureaux individuels, par exemple!

Nous en France, nous avons toujours la norme de chauffage des gymnases pour faire du sport en sueur… ce qui est une ânerie écologique et une aberration écologique.

C’est important de transpirer.

Sinon, je vous invite à préparer votre plan d’urgence énergétique personnel et pas uniquement à courts termes, c’est un plan de longs termes qui est nécessaire, car cela risque bien de durer.  

Prenez bien soin de vous.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

 

Charles SANNAT

 

 

Il faut bien que ce débat arrive sur la table !

En effet, tout est bon pour justifier les taxes.

Et c’est ça qui est drôle.

Les vieux avec la vignette automobile, les péages pour les routes, les taxes sur les carburants pour l’escrologie et le bien de la planète comme les indulgences autrefois.

Payez les taxes sur les carburants et vous serez absous de vos émanations puantes de CO².

Une bonne TIPP, ou TICE et vous serez pardonnés mes frères.

Mais voilà.

Voilà les voitures électriques.

Comment donc continuer à taxer tout ce petit monde ?

C’est en suisse que l’on avance le plus vite sur le sujet.

« Comment conserver des recettes suffisantes lorsque les voitures électriques seront majoritaires sur les routes ? Face au défi de l’après-pétrole, la Suisse étudie toutes les possibilités et envisage de taxer les véhicules électriques, rapporte L’Automobile magazine. Dans ce pays, la fiscalité automobile repose sur trois sources principales de recettes : les impôts et les surtaxes sur les « huiles minérales », mais aussi les impôts automobiles et la vignette.

A cela s’ajoutent « les compensations des cantons, pour un montant global de près de deux milliards de francs par an qui servent à l’entretien des routes », précisent nos confrères. En moyenne, l’automobiliste suisse paie ainsi 800 francs par an, soit un peu plus de 800 euros. Mais avec l’arrivée des voitures électriques, le pays redoute de voir baisser progressivement ses recettes sur la fiscalité des huiles minérales.

Le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) et le Département fédéral des finances (DFF) ont donc pour mission de proposer de nouvelles mesures d’ici la fin 2023 pour revoir la fiscalité automobile. Une refonte complète du système est envisagée.

Le Conseil fédéral souhaite ainsi que les voitures électriques soient taxées au plus tard en 2030, sur l’indice kilométrique. Plus les propriétaires de véhicules électriques rouleront, plus ils paieront. Le but étant de faire payer en fonction de son usage des routes et de leur usure. La méthode pour relever le kilométrage n’est pas encore connue, en revanche, il est probable que la Suisse opte pour une redevance ».

 

En Suisse vous paierez au kilomètres parcourus !

 

Et voilà ; en fait même plus besoin de justifier les taxes.

C’est juste que l’Etat a besoin de vous ponctionner et de vous faire les poches.

Encore des sous, toujours des sous, en Suisse comme ailleurs, même si en France nous touchons le pompon !

Vous aurez donc une taxe aux kilomètres parcourus.

La justification ?

Aucune.

Il faut remplir les caisses.

Il serait bon de remettre à plat la chose fiscale.

Pour quoi payons-nous des impôts, parce qu’au train où vont les choses, il n’y a plus, tout simplement, de consentement à l’impôt et nombreux seront les Français à aller se faire ponctionner ailleurs sous des cieux plus cléments, ce qui va accélérer la chute de l’Etat impécunieux et des piètres gestionnaires qui gouvernent ce pays depuis trop longtemps.

Charles SANNAT

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