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Cercle Napoléon
nouvelle formule semaine du 27 mars au 2 avril
Cette semaine, une association amie: Pour le Panache, la présentation de notre nouvelle carte d'adhérent au Cercle Napoléon, plastifiée et de format carte de crédit, et celle de nos prochaines activités, sortie sur le terrain et conférences, les prémisses de la Première Campagne d'Italie, Napoléon et Marie-Louise, la Campagne de France, le Franc Germinal, Soult, et les Prénoms.
Vous organisez une manifestation napoléonienne ? Vous voulez nous parler de votre association de reconstitution ? Ou d'un lieu insolite, ou peu connu en relation avec l'Empire ? Faites-nous en part, nous le publierons par courriel (1200 envois) et aussi sur Facebook, où nous avons largement dépassé les 8800 abonnés.
Et merci de renvoyer vous-même ce courriel à tous vos amis sensibles à l'épopée napoléonienne.
Pour que Vive l'Empereur !
au sommaire de cette semaine
NOS AMIS : L'ASSOCIATION POUR LE PANACHE
LA VIE DE L'ASSOCIATION : CARTE DE MEMBRE, VISITES ET CONFÉRENCES
NOS ÉPHÉMÉRIDES :
• 27 MARS 1796 : BONAPARTE ET LA PROCLAMATION DE NICE
• 28 MARS 1810 : NAPOLÉON ET MARIE-LOUISE À COMPIÈGNE • 28 MARS 1803 : BONAPARTE SUR LE FRANC GERMINAL • 29 MARS 1769 : NAISSANCE DE NICOLAS JEAN-DE-DIEU SOULT • 30 MARS 1813 : MARIE-LOUISE RÉGENTE DE L'EMPIRE • 30 MARS 1814 : MONCEY DÉFEND LA BARRIÈRE DE CLICHY • 31 MARS 1814 : NAPOLÉON ARRIVE À FONTAINEBLEAU • 1er AVRIL 1803 : BONAPARTE ENCADRE LES PRÉNOMS • 2 AVRIL 1810 : NAPOLÉON ÉPOUSE MARIE-LOUISE
vous avez raté les éphémérides de la semaine dernière ? Cliquez plus bas
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une association amie POUR LE PANACHE : UNE PASSION POUR L’HISTOIRE
L’association "Pour le Panache", créée en 2014 et présidée par Daniel Mathieux, s’adresse à tous les amoureux de l’Histoire, notamment Napoléonienne. Elle fédère de nombreux passionnés d’histoire militaire: collectionneurs (armes, tableaux, miniatures, statuettes uniformes ou figurines), reconstitueurs multi époques, personnes à la recherche d’informations (généalogie militaire, uniformologie…), ou désireuses d’obtenir une copie de documents ou de textes et d’en connaître l’origine. Des rencontres, pendant lesquelles chaque membre peut partager ou échanger des informations sur l’histoire militaire de toutes les époques, sont organisés régulièrement. Daniel Mathieux, allias "Baron La Poste" en reconstitution, et toute son équipe, sauront vous communiquer leur passion pour les ouvrages, les objets, es costumes et accessoires d’antan, au sein des diverses sections de PLP. Pour le 1er Empire, PLP, seule association de reconstitution niçoise, est reconnu comme un participant de qualité par ses tenues et par son éthique : Grande Armée d’Alsace, Vosges Napoléoniennes et, bien entendu, l’état-major de l’Empereur, tant avec Franck Samson qu’avec Jean-Gérald Larcin (qui est agréé par le Service Historique du Ministère de la Défense). PLP et ses reconstitueurs participent aussi aux commémorations 14/18 - 39/45, Algérie, La Fayette, Garibaldi, guerre de Sécession et western, etc… programmées chaque année, dans les Alpes Maritimes. En complémentarité avec d’autres associations amies, PLP est présent lors de manifestations en France et au-delà de nos frontières: Italie et Belgique. Un cycle de conférences est présenté dans les maisons des associations, la maison du combattant, les ehpad, les écoles (reporté pour cause de Covid) à Nice principalement mais aussi dans d’autres villes et en Belgique. Alors … Empanachez-vous avec PLP !!!
Renseignements : Daniel Mathieux - Pour Le Panache 4 rue Andrioli – 06000 NICE
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ADHÉREZ AU CERCLE NAPOLÉON ET RECEVEZ CETTE CARTE DE MEMBRE PLASTIFIÉE POUR QUE VIVE L'EMPEREUR !
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Prochaines activités du Cercle Napoléon
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Sortie sur le terrain réservée aux membres du Cercle Napoléon 16 avril 2022 : Mégalithes et Prieuré de Saint-Michel de Grandmont
Visite commentée du prieuré du XIIe siècle de Saint-Michel de Grandmont, près de Lodève, de son parc, de ses mégalithes, et repas convivial. Dans l'après-midi, pas loin, visite d'autres mégalithes dont certains vous surprendront. Peu de marche.
Pour une meilleure organisation, les inscriptions prélables sont nécessaires, le coût sera de 30 € par personne. Contactez Bertrand Leenhardt (voir plus bas) et adressez lui unchèque de réservation de 30€ par personne, en indiquant"mégalithes".
Le rendez-vous sur place sera à 10h45. Prévoyons un covoiturage.
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Un repas sur réservation prolongera cette conférence ce sera, pour plus de convivialité, un buffet
Si vous voulez y participer, réservez en renvoyant et en indiquant "demi-soldes" un chèque de 30€ par convive, libellé au nom du Cercle Napoléon à Bertrand Leenhardt, 7 rue Jeanne Galzi, 34670 Baillargues, et confirmez votre envoi postal par un courriel
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Prochaines conférences du Cercle Napoléon
• mercredi 20 avril 2022 Les demi-soldes fidèles jusqu’au bout Jean Lacroix
• vendredi 13 mai 2022, revivre l’épopée napoléonienne: la reconstitution Emile Kern
• vendredi 10 juin 2022 Cambacérès Professeur Jean Tulard
• samedi 25 juin 2022 Napoléon et les écrivains du XIXe siècle Thierry Lefebvre et François Zabatta
• Vendredi 21 octobre 2022 Comment parler aujourd’hui de Napoléon Thierry Lentz
• Samedi 19 novembre 2022 Murat mon ancètre Prince Joachim Murat
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27 MARS 1796 : BONAPARTE ET LA PROCLAMATION DE NICE
Pauvre armée d’Italie ! Avec ses 30 000 hommes, elle manque quasiment de tout. Elle est dépenaillée, sans chaussures. La solde n’arrive que par intermittence. Il n’y a plus de discipline. Son chef vieillissant, Schérer, n’a eu pour toute réussite que sa victoire à la bataille de Loano, le 24 novembre 1795, sur les Austro-sardes.
De ses quatre généraux, qui va le remplacer ? Sérurier ? Laharpe ? Augereau, qui avait brillé à Loano ? Ou plutôt Masséna, 37 ans, à la réputation déjà bien établie ?
Non aucun d’entre eux. Le Directoire, depuis Paris, a choisi Napoléon Bonaparte, un jeune général de 26 ans, qui n’a jamais commandé ni même participé à une réelle bataille en ligne, un général novice, qui n’a eu pour seules expériences que le commandement de l’artillerie à Toulon, et le massacre du 13 vendémiaire an IV (5 octobre 1795); un Corse connu pour ses influentes relations dans les cercles parisiens, et sa proximité avec Barras, dont il aurait même récupéré la maitresse, une veuve d’origine créole nommée Joséphine de Beauharnais…
En fait, trois semaines avant son arrivée à Nice et sa prise de commandement (27 mars 1796), le 9 mars, dans la mairie du IIe arrondissement, Bonaparte (au pas de charge) épousait Joséphine. “Mariez-nous vite !” avait-t-il ordonné à l’officier du ministère public. Le 11, il quitte Paris, est à Marseille le 20 (ou le 22 selon certains historiens), y embrasse sa mère, lui fait part de son mariage, et récupère au passage l’adjudant général Leclerc.
Bonaparte est à Toulon le 24, dort à Antibes, et le 25 rencontre Berthier, chef d’État-Major de l’armée d’Italie; il arrive à Nice le 26, reçoit le 27 Sérurier, Laharpe, Augereau, et Masséna, ses divisionnaires, pas vraiment ravis de voir ce jeunot, envoyé par le Directoire, prendre autorité sur eux.
Bonaparte constate l’extrême dénuement des soldats de l’Armée d’Italie. Il dicte à son aide de camp, Jean-Baptiste Muiron, une proclamation qu’il fait recopier. Chaque mot compte, il la veut simple mais forte et galvanisante. Il la relit. Il s’approche de sa troupe et lance d’une voix forte ces mots célèbres:
“Soldats, vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience, le courage que vous montrez au milieu de ces rochers sont admirables; mais ils ne vous procurent aucune gloire, aucun éclat ne rejaillit sur vous. Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir; vous y trouverez honneur, gloire et richesse. Soldats d’Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance ?”
Bonaparte a réussi. Ses propos ont imposé sa volonté et son autorité. Ils ont électrisé ses soldats, il écrit le lendemain à Carnot: “J’ai été très bien reçu par l’armée, qui me montre une confiance qui m’oblige à une vive reconnaissance.” Ses soldats ? Ils vont maintenant le suivre partout, jusqu’en 1815. Mais pour l’instant ils n’en sont qu’à quitter Nice, le 2 avril, par un sentier côtier, direction: l’Italie. C’est le tout début de la première campagne d’Italie de Napoléon Bonaparte…
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Regardez "La Première Campagne d'Italie" par Jean-Pierre Loubet sur la chaine Youtube Cercle Napoléon
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28 MARS 1810 : NAPOLÉON DÉCOUVRE MARIE-LOUISE À COMPIÈGNE
• Lisons Frédéric Masson: “L’impératrice Marie-Louise”, Goupil et Cie, Paris, 1902:
Jamais épouse royale n'a été attendue avec une telle impatiencepar son fiancé. Depuis le départ de Berthier, l'Empereur compte les heures: au début, il se contenait encore, s'occupait et se distrayait aux préparatifs, prenait des informations près de M. de Dreux-Brézé pour raffiner sur l'étiquette; surveillait les dispositions de la chapelle dans le Salon carré du Louvre; commandait des meubles, arrangeait l'appartement de l'Impératrice et le montrait à ses hôtes.
Il dictait des mesures de police pour placer la foule dans la Grande galerie, il pensait aux dégagements, vérifiait la solidité des escaliers, comptait les soldats de garde; il organisait les cortèges, réglait les fêtes et les divertissements populaires; il disposait les actes de bienfaisance, les grâces et les remises de peine; il mettait en branle tous les poètes pour des vers, tous les vaudevillistes pour des à-propos, tous les peintres pour des allégories, tous les graveurs pour des estampes; et, dans ce frénétique mouvement qu'il imprimait à Paris et à la Cour, il tuait le temps.
Mais il est venu à Compiègne. Cela est d'obligation lui semble-t-il: c'est à Compiègne que Louis XVI a reçu Marie-Antoinette; c'est donc à Compiègne que doit arriver Marie-Louise. Là, un temps encore des préparatifs l'ont occupé, des galanteries qu'il imagine ou qu'on lui suggère: le salon des bains tendu en vrai cachemire, des leçons de valse qu'il prend, des costumes élégants, des souliers à la mode qu'il essaie.
Que faire encore ? Qu'on enlève, dans la Galerie de Diane, les tableaux qui représentent les défaites de l'Autriche ! Qu'on arrête les décorations de l'ordre des Trois Toisons ! Est-ce le moment de rappeler les deux entrées à Vienne ? La Famille invitée est arrivée, mais qu'Eugène et la vice-reine ne viennent pas d'abord à Compiègne: cela pourrait déplaire. Par contre, quel empressement pour accueillir le grand-duc de Wurtzbourg, ci-devant grand-duc de Toscane, archiduc d'Autriche et oncle de Marie-Louise ! Que de soins pour lui et combien de recherches !
Mais, à la fin, tout est prêt; les tentes de pourpre et d'or sont dressées près de Soissons pour l'entrevue de cérémonie; l'appartement que l'Empereur doit occuper à l'Hôtel de la Chancellerie, durant que Marie-Louise logera au château, est installé selon ses habitudes; une impatience le prend qu'il cherche à tuer par de folles galopades, des chasses de dix, douze lieues où il entraîne éperdument sa suite exténuée.
Et lorsque les cavaliers d'ambassade qui ont assisté au mariage, lorsque les chambellans et les écuyers qui ont porté des missives, arrivent à Compiègne, il les presse de questions, il veut tout savoir de sa future femme. Il se fait apporter le portrait d'elle dont l'impératrice Maria-Ludovica s'est privée en sa faveur, et il faut qu'on lui indique toutes les parties de la ressemblance.
A Vienne, à la représentation de gala, le colonel Lejeune a pris un croquis de profil de l'archiduchesse: il le montre et Napoléon, qui a sur sa table les médailles de tous les Habsbourg, s'écrie: Ah ! C’est bien la lèvre autrichienne ! Et il le compare aux médailles, il s'arrête à toutes les formes du dessin, il se frotte les mains, il rit aux éclats, puis il se reprend à interroger; jamais sa gaieté n'a été telle.
Le feu prend dans les combles du château pendant qu'il cause; il ne s'en dérange, ni ne s'en soucie. Tout a disparu de ce qui n'est point l'objet unique de ses désirs. L'état de son esprit, mieux que tous les témoignages, son écriture le révèle en ce moment d'une façon indéniable: le 23, il écrit un court billet à Bessières pour le charger de remettre en mains propres une lettre à l'Impératrice, et ce billet il le paraphe de son N habituel. Mais cet N a, cette fois, quatre centimètres et demi en hauteur et neuf en largeur. Toute sa puissance, son orgueil, son ambition réalisée se lit dans ce trait de plume. Il est au sommet, où la tête tourne.
Et voici que celle femme approche; le 25 elle est à Nancy, le 26 à Vitry. C'est demain l'entrevue. Il n'y peut tenir. Seul avec Murat, il part; il dépasse Soissons; encore quatre lieues et demie; il arrive au relai de Courcelles; la pluie tombant à flots, il s'embusque sous le porche de l'église et attend. Le courrier ! Les voitures ! Il se précipite. Est-ce seulement pour la voir, repartir après ? Mais l'écuyer a baissé le marchepied, ouvert la portière, et crié: l'Empereur !
Trempé de la pluie reçue, il s'élance et, brusquement, embrasse sa femme qu'affolent ces façons. Plus d'arrêt, plus de dîner à Soissons; au galop, et toujours trop lentement au gré de son impatience, on roule vers Compiègne; à dix heures, sans avoir mangé, on y arrive sous une pluie qui noie les lampions, transit les spectateurs et les gardes. Au bas de l'escalier, la Famille est assemblée, il la présente d'un mot; dans le vestibule, il bouscule les petites filles à corbeilles de fleurs et les diseurs de compliments; dans l'appartement préparé pour l'Impératrice, il improvise un souper où Caroline seulement est admise. Quelles instructions avez-vous reçues de vos parents ? demande-t-il à Marie-Louise. — D'être à vous tout à fait et de vous obéir en toute chose. Il la prend au mot.
Le lendemain, à midi, les femmes de l'Impératrice servent le déjeuner de l'Empereur près du lit de sa femme. L'appartement de l'Hôtel de la Chancellerie est resté vide. "Epousez une Allemande, mon cher", dit Napoléon à un de ses familiers; "ce sont les meilleures femmes du monde, bonnes, naïves et fraîches comme des roses."
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28 MARS 1803 : LE FRANC GERMINAL PORTERA À L’AVERS LE PROFIL DE BONAPARTE
En créant le 7 germinal an XI (28 mars 1803) le franc germinal, Bonaparte, Premier Consul, assigne à la monnaie un poids fixe de métal, garant de la stabilité des transactions commerciales, et impose sur les monnaies françaises une nouvelle symbolique.
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UNE PASSION POUR
L’HISTOIRE DE FRANCE
L’association « Pour le Panache », présidée par Daniel MATHIEUX, s’adresse à tous les amoureux de l’Histoire, notamment Napoléonienne.
Cette structure, créée en 2014, fédère déjà de nombreux passionnés d’histoire militaire : collectionneurs (armes, tableaux, miniatures, statuettes, uniformes ou figurines), reconstitueurs multi époques (*), personnes à la recherche d’informations (généalogie militaire, uniformologie, …), ou désireuses d’obtenir une copie de documents ou de textes et d’en connaître l’origine.
Des rencontres, pendant lesquelles chaque membre peut partager ou échanger des informations sur l’histoire militaire de toutes les époques, sont organisées régulièrement.
Daniel MATHIEUX, alias « Baron La Poste » en reconstitution, et toute son équipe, sauront vous communiquer leur passion pour les ouvrages, les objets, les costumes et accessoires d’antan, au sein des diverses sections de PLP. « PLP » est reconnu comme un participant de qualité par ses tenues et par son éthique : AHVAE, Grande Armée d’Alsace, Vosges napoléoniennes et, bien entendu, état-major de l’Empereur, tant avec Franck Samson qu’avec Jean-Gérald Larcin (qui est agréé par le Service Historique du ministère de la Défense).
Un cycle de conférences initié par Didier ASIN, vice-président, et des expositions, sont programmées, et se tiendront dans les Alpes-Maritimes lors de la saison 2017-2018.
Présente dans tous les grands rendez-vous azuréens avec l’histoire (Mars aux musées, bicentenaires napoléoniens, Journées Impériales de Nice d’octobre 2017), l’association participe aussi, en complémentarité avec d’autres associations amies, à des manifestations en France et même au-delà de nos frontières : Italie et Belgique.
L’association est en outre partenaire de plusieurs municipalités dans le département des Alpes-Maritimes : Vallauris-Golfe Juan, La Brigue, Annot, Roquefort-les-Pins, etc.
Alors… Empanachez-vous avec PLP !!
Renseignements : pourlepanache2016@gmail.com
4 rue Andrioli - 06000 NICE / Tél. 06 74 55 47 31
(*) La reconstitution historique est une pratique qui consiste à recréer certains aspects d'une bataille, d’un évènement marquant d'une période de l’histoire, d'un mode de vie au quotidien, en s'appuyant sur des éléments matériels reproduisant le plus fidèlement possible la réalité de la période en question (vêtements, mobilier, objets usuels, armes, etc.).
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