MESSAGE DU GENERAL CHRISTIAN PIQUEMAL : " LA FRANCE NE PEUT PAS MOURIR, ET ELLE VIVRA" !

22 février 2020 Publié par Marc Le Stahler

MESSAGE DU GENERAL PIQUEMAL

(Observatoire du Risque Génocidaire)

ATTENTION : CECI EST UN MESSAGE IMPORTANT DU GENERAL CHRISTIAN PIQUEMAL !

(PRESIDENT DU CERCLE DE CITOYENS PATRIOTES ET DE L’OBSERVATOIRE DU RISQUE GENOCIDAIRE)

« LA FRANCE NE PEUT PAS

MOURIR, ET ELLE VIVRA » !

Français !

Je vous salue avec respect, estime et amitié.

Vous le savez, j’ai lancé le 8 février un appel à tous ceux qui ont un cœur. Avoir un cœur nécessite d’abord posséder du courage et  ensuite ne pas baisser les bras devant la barbarie quotidienne qui sévit dans notre pays en toute impunité.

Nous, Peuple de France, respectueux de la justice et de la liberté, nous ne pouvons cautionner et admettre cette mise à mort endémique de tant de Français, surtout de jeunes gens, d’enfants pris dans les filets cruels d’une guerre qui avance masquée. Laura, Matteo, Valentin, Timothy, vous êtes venus grossir les rangs de tant de victimes innocentes.

Vous n’étiez pas nés pour être égorgés, poignardés ou lynchés ou percutés par une voiture conduite par un multi- récidiviste de 18 ans ; vous aviez la vie devant vous.

Nous refusons de voir ceux que nous aimons sombrer dans l’oubli, dans la rubrique des faits divers, et que toute cette souffrance, y compris celle de ceux qui vous aimaient si fort soit étouffée par l’omerta criminelle d’un pouvoir devenu odieux, injuste à force d’iniquité.

Nous viendrons donc sur tous les parvis de France chaque dimanche à 10 h pour nous rassembler, faire le point, nous informer, nous entraider et nous mobiliser.

Chaque dimanche à  10h15 nous ferons une minute de silence pour demander que justice soit faite.

Ce ne sera pas la minute de silence de la soumission et de la résignation, non, ce sera celle de l’exigence de ne pas priver le peuple qui a fondé les droits de l’homme à être foulé aux pieds comme de la poussière et être bâillonné jusque dans la mort cruelle de ses enfants, de ses parents.

Oui, le droit de vivre existe pour tous.

Français, et tous ceux qui ont un cœur véritablement battant, ne laissons pas la France, phare du monde, être livrée à des vautours et à des monstres !

Sur votre parvis, vous serez peut-être seul au début, mais chacun de notre côté nous nous posons comme stèle vivante en mémoire de ceux qui ne sont plus et ont été livrés à leurs bourreaux dans une impunité légalisée. 

Nous réclamons Honneur, Justice et Respect du Peuple, quotidiennement humilié et trahi !

La France ne peut vivre dans cet ensauvagement qui mutile et piétine son corps tout entier.

Ce corps c’est nous, c’est vous !

N’acceptons pas que notre pays devienne celui où on égorge nos enfants en sortant de l’école, où on viole notre mère, notre femme, notre fille dans sa propre maison, où l’outrage subi devient la règle avec le silence et le déni des institutions.

Évaluons le prix de la trahison de nos intérêts vitaux.

Pacifiquement mais fermement dans cet espace de vie de nos communes disons fermement : NON !
Peut-on voir nos enfants se faire égorger sans bouger ? NON !

NON à la mort et à la ruine organisée de notre Peuple !

NON aux profanations et aux incendies d’églises !

NON à l’information censurée !

NON à un peuple humilié, blessé et mutilé !

Aussi, témoignons dans l’observatoire du risque génocidaire afin que nous dénoncions ensemble les horreurs subies.

Notre combat est juste car la France coupée en deux se fracture chaque jour davantage.
Aussi, nous devons impérativement réagir. Je compte sur vous !

La France ne peut mourir. Elle vivra !

Christian Piquemal
21 février 2020

Comments

[DUCROCQ]

Bonjour, je suis entièrement d'accord sur ce sujet. Tous les jour j'enrage de cette situation de voir nos soit disant " élites " se volant la face et nous abreuver de discours lénifiants. Ils sont responsables devant la France . J'approuve sincèrement ce discours du général PICQUEMAL. Je l'ai connu dans ma jeunesse a Satory, je le félicite pour son parcours, en espérant que de notre vivant nous puissions voir un changement rapide. Roger DUCROCQ.