DEMAIN LA GUERRE CIVILE EN AMERIQUE ? DONALD TRUMP TRIOMPHERA-T-IL EN 2020 DES DEMOCRATES QUI VEULENT SA DESTRUCTION ?
GEOPOLITIQUE INTERNATIONALE :
Face à Trump, les Démocrates préparent la guerre civile
Les Européens viennent de découvrir que l’Iran travaille sur des missiles balistiques à capacité nucléaire ! Il était temps !
Son électorat, celui de l’Amérique profonde, lui reste fidèle, avec un socle de 40 %. N’oublions pas que le peuple américain est un peuple fier et patriote, pour qui le slogan « America first » garde tout son sens.Il est impossible de savoir, parmi la dizaine de candidats démocrates, qui va remporter la primaire à gauche. Chaque État donne des résultats différents, même si Joe Biden semble le plus souvent le mieux placé.En fonction de l’adversaire que Trump affrontera, les sondages fluctuent.
Car la vraie réussite, c’est le pouvoir suprême. Devenir l’homme le plus puissant de la planète.
Bloomberg, que Trump appelle « le petit Michael », dit aimer les riches et affiche une fortune bien supérieure à celle de Trump.Allons-nous assister à un formidable duel entre deux milliardaires à l’ego démesuré ? Une éventualité impensable en France, où il vaut mieux se déguiser en nécessiteux pour être élu.
Il est vrai qu’en France, pour faire une belle carrière politique, il vaut mieux être un repris de justice qu’être riche ! Car toute grosse fortune est suspecte.
La campagne présidentielle américaine commence en janvier.Réponse en novembre 2020.
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Michael Bloomberg était invité de Gayle King sur CBS. Ce qu’il a dit a terrassé le camp Démocrate.
Le milliardaire new-yorkais et candidat à l’élection présidentielle (qui obtiendra probablement moins que 1% aux primaires) a déclaré sur CBS News dans une interview, qu’il avait décidé de se lancer dans la course parce que Trump « mangerait tout cru » tous les autres candidats à la Maison-Blanche.
« J’ai regardé tous les candidats. Et je me suis dit, Donald Trump les mangera tout cru », a déclaré Bloomberg à Gayle King.
« Laissez-moi reformuler. Je pense que je ferais mieux pour rivaliser avec lui et le battre. »
King, qui est une amie personnelle d’un autre candidat à la primaire Démocrate Corie Booker, a utilisé les 15 minutes de son temps d’antenne pour défier l’ancien maire de New York depuis un point de vue très à gauche, exigeant par exemple de savoir comment il allait réussir sur le contrôle des armes à feu. Elle s’est aussi inquiété des dépenses électorales excessives, et a demandé si Bloomberg ne représentait pas un « vieil homme blanc » de plus sur le terrain.
L’ancien maire de New-York a dit que Trump devrait être destitué parce que le président ne comprend pas que c’est mal d’utiliser la fonction publique pour son profit personnel.
Bloomberg s’est lancé dans la course le mois dernier après avoir refusé de le faire plus tôt dans l’année. Il a insisté sur le fait qu’il n’avait rien contre Joe Biden, qui partage beaucoup de ses positions politiques modérées, et qu’il ne courait pas pour l’éliminer [hum… je m’autorise le doute].
« [Biden] n’a pas le poste de président des États-Unis et moi non plus », a répondu M. Bloomberg. « J’essaie de prendre le poste à Donald Trump, pas à Biden ».
Bloomberg est le deuxième milliardaire qui cherche l’investiture Démocrate avec Tom Steyer, qui se traîne entre 1 et 2%, et est totalement inconnu. Kamala Harris, qui était dans ces chiffres, vient de jeter l’éponge. En coulisse, la Sénatrice noire était la favorite des Obama. Elle m’a beaucoup amusé, en soutenant que c’est à cause du racisme et du sexisme qu’elle a du renoncer : l’idiote ne s’est pas rendu compte que ceux qu’elle accusait de ces tares étaient les électeurs Démocrates !
Bloomberg se bat pour rejoindre le peloton des candidats Démocrates de tête, qui sont d’ailleurs tous blancs et vieux, dans un contexte où les militants de gauche réclament de la diversité et du sang neuf !
« Il serait préférable que le groupe soit plus diversifié, a dit Bloomberg, qui lui aussi est blanc et vieux. « Mais le public est en train de choisir et de rétrécir ce champ, » en référence à l’abandon d’Harris.
Bloomberg a ensuite insisté sur le fait qu’utiliser sa fortune personnelle pour financer sa campagne n’est pas différent des autres candidats qui collectent des fonds auprès de riches donateurs – et pourrait même faire de lui un meilleur président.
Meilleur je ne sais pas, mais plus indépendant certainement : il n’aura pas à renvoyer l’ascenseur. Là encore, sans s’en rendre compte, Bloomberg reconnaissait que le président Trump n’a pas non plus de comptes à rendre, puisqu’il avait financé lui-même sa campagne.
« Je ne veux pas qu’on m’achète », a dit le candidat.
Bloomberg a admis avoir un énorme ego, mais a insisté sur le fait que ce n’est pas pour ça qu’il est candidat à la présidence [je vous autorise un franc rire]. Il a vanté le travail qu’il a fait en tant que maire pendant trois mandats [bien mérité, il est vrai, mais…].
« L’équipe que j’ai mise sur pied a fait une énorme différence à New York, a déclaré M. Bloomberg. « Et la ville de New York en a profité et continue d’en profiter aujourd’hui. »
Ce n’est pas vrai. Bloomberg n’a pas « fait la différence », il a continué le formidable travail engagé et réussi par Giuliani. Le talent de Bloomberg a été d’avoir eu la sagesse de continuer dans les pas de son prédécesseur.
Mais Bloomberg a fait une erreur. Il vient de s’excuser, donc s’est déjugé et a contredit l’action dont il disait quelques instants plus tôt être fier, pour avoir utilisé des méthodes qui ont maintenu la sécurité et le faible taux de criminalité dans la ville.
Il a défendu ses excuses pour la répression controversée « arrêter et fouiller », affirmant que les dirigeants « compétents et intelligents » admettent quand ils font des erreurs. C’était un coup par la bande contre Trump, qui s’excuse rarement, voire jamais. Pas sûr qu’il aura convaincu.
SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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Trump a déclaré dans son discours au sommet de l’IAC (Israeli American Council) dont il a été le premier président américain en exercice à y assister, que « de nombreux Juifs américains n’aiment pas assez Israël » !
Une grande partie des juifs ne comprennent ni le sens, ni l’utilité d’Israël
Et il a tout à fait raison. Une grande partie des Juifs américains, peut-être une petite minorité ou une grande majorité, je ne saurais le dire avec précision, n’a pas vraiment d’attaches avec Israël, dont ils ne comprennent ni le sens, ni l’utilité, étant donné qu’ils ont vécu dans un pays, les Etats-Unis, où l’antisémitisme, même quand il existe, ou a existé, l’a toujours été dans une version plutôt «légère», et sans commune mesure avec celui existant ou ayant sévi en Europe ou dans les pays musulmans.
Les Juifs Américains n’ont jamais été obligés de quitter leur pays parce que Juifs ou menacés de finir en cendres, et ils ne se rendent absolument pas compte du rôle vital d’Israël. Qu’un président américain ait besoin de le leur rappeler en dit long sur l’état d’esprit qui règne dans cette communauté.
Les plus ardents défenseurs d’Israël à qui j’ai eu à faire sont toujours des Chrétiens
Étrangement, les plus ardents défenseurs d’Israël à qui j’ai eu à faire depuis que je vis ici ont été et sont toujours des Chrétiens, et pas seulement des Évangélistes, mais des Catholiques et des Protestants de plusieurs dénominations et, aussi étrange que cela puisse paraître, de nombreux Musulmans, de différentes origines, de différentes obédiences, de différentes classes sociales et de niveaux d’éducation différents. C’est seulement depuis quelques années qu’on voit apparaître un antisémitisme musulman, importé du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord, de Turquie ou de l’Iran des Mollahs, principalement par les «Frères Musulmans» et leurs affidés, ainsi que par d’autres organisations islamistes dites charitables, mais dont le but est de semer la zizanie, qui commence à se faire ressentir cruellement.
Trump est le président le plus proche d’Israël
Trump est un excellent président pour les Etats-Unis, les résultats se constatent au quotidien, mais il est aussi le président le plus proche d’Israël, celui qui soutient ce pays avec le plus de détermination et de conviction. Et quand je vois de nombreux Juifs, et pas seulement ceux de gauche, le traiter d’antisémite, j’ai honte pour eux et je ne me reconnais pas dans cette communauté là.
SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eddad Aber
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