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24 septembre 2019

L'ESPACE DEVIENDRA-IL MILITAIRE ? C'EST MALHEUREUSEMENT CE QUI EST EN TRAIN DE SE FAIRE AVEC LES GRANDES PUISSANCES DU MONDE

FORCE SPATIALE AMÉRICAINE LES NOTES DE REAGAN ET LA FLOTTE DE VAISSEAUX À ANTIGRAVITÉ DU COMMANDEMENT SPATIA

Force spatiale américaine : beaucoup de bruit pour rien
Force spatiale américaine : beaucoup de bruit pour rien© SAUL LOEB Source: AFP
Le vice-président des Etats-Unis Mike Pence, lors de son discours sur la création de la force spatiale américaine, le 9 août 2018.
 
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Le vice-président américain Mike Pence a annoncé la création d'une «force spatiale» américaine mais l'expert en défense Philippe Migault explique pourquoi cette apparente révolution n'en est pas une.
C’est l’été. Août. Les rédactions sont vides. L’information se fait rare. En conséquence la moindre déclaration un tantinet tapageuse se voit aussitôt accordée une importance démesurée par les quelques journalistes privés de vacances, les célibataires – les chargés de famille sont à la mer – et les stagiaires.
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signature de TRUMP pour un espace spacial de l'armée américaine

Pour rivaliser avec la Russie et la Chine, les Etats-Unis créent leur «force spatiale»
Les propos, aussi grandiloquents que ridicules, tenus hier par le vice-président américain Mike Pence, qui a annoncé la création d’ici 2020 d’une sixième branche des forces armées américaines, la «force spatiale», sont donc tombés à point nommé. Chic, un souffle de géopolitique. Arrière les huiles solaires, l’apéro, l’info balnéaire. Place à l’international, à la stratégie, à l’analyse… Trump aurait-il encore signé une énième provocation dont se repaître ?
Navré, chers confrères, mais non. Non. Cette annonce, survenant après celle qui a été faite sur le même sujet par Donald Trump lui-même, le 18 juin dernier, n’est qu’un pétard mouillé. Elle n’est synonyme d’aucune inflexion stratégique majeure. D’aucun plan d’envergure visant à bouleverser les rapports de force. Plus une restructuration qu’une révolution, la création de cette «force spatiale» répond, essentiellement, à un objectif de politique intérieure américaine. A l’approche des élections de mi-mandat du 6 novembre prochain, Donald Trump fait tout simplement campagne. Elu sur un slogan simple, «Make America great again», il tient à rappeler qu’il reste fidèle à cette ligne.
Ecoutez le discours de Mike Pence : «Le temps est venu d’écrire le prochain grand chapitre de l’histoire de nos forces armées, de préparer le prochain champ de bataille, où les meilleurs et les plus braves des Américains seront appelés à dissuader et à contrer une nouvelle génération de menaces pour notre peuple, notre nation». Rajoutez «aujourd’hui nous célébrons le jour de notre indépendance !» et vous vous verrez, de suite, en route pour l’espace, à l’assaut d’un ennemi inhumain, surpuissant, aux côtés de Will Smith et de Jeff Goldblum… Ce qui est bien avec les spécialistes du marketing politique d’outre-Atlantique, c’est que leurs ficelles sont toujours les plus grossières. Associer les mots «espace», « menace », «chapitre», «histoire», revient, instantanément, à évoquer dans l’inconscient collectif américain Kennedy et sa «nouvelle frontière», Reagan et sa «guerre des étoiles», deux défis majeurs lancés à la face de l’ennemi soviétique. Cela revient, aussi, à inscrire Trump dans la lignée de ces deux géants, emblématiques de deux âges d’or américains. 
Asseoir la domination de l'Amérique
Trump, comme ses prédécesseurs, ne livre pas une bataille désespérée pour la survie des Etats-Unis. Il entend simplement asseoir la suprématie, la domination de l’Amérique une bonne fois pour toutes. Parce qu’il n’est pas de terrain plus exigeant que l’espace en matière de technologies, de défis industriels, d’excellence, de planification, Trump entend démontrer qu’avec lui l’Amérique est en mesure de vaincre quiconque sur le plus compliqué des champs de bataille potentiels. Et parce que les Américains sont simples, patriotes, sans complexes, qu’ils ne sont pas, bien au contraire, du genre à s’indigner lorsqu’on les considère comme «un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur», on peut parier qu’ils vont adorer ce nouveau défi, du moins ceux qui ont élu Trump en 2016.
Certes, ce défi n’en est pas un, faute d’opposition crédible. Russes et Chinois développent des armes anti-satellites qui pourraient, dans le cadre d’une confrontation ouverte avec les Etats-Unis, minorer l’avantage technologique américain en le privant d’une partie de ses relais de communication, de ses outils de guidage et d’observation.
En revanche, du point de vue des moyens, ils sont, comme les Etats de l’Union européenne, surclassés par les Etats-Unis. Aucun des «Américains les plus braves» ne risquera donc sa vie dans une guerre qui se déroulera, si elle a lieu, en orbite, et à des vitesses exigeant une complète automatisation des missions.
Les Américains, comme ils l’ont si souvent fait, s’apprêtent donc, roulant des mécaniques, à vaincre sans péril… Mais comme ils se moquent de la gloire…
Flotte de vaisseaux à antigravité du commandement spatial l’armée américaine voyage déjà parmi les étoiles.

Les notes de Reagan et la Flotte de vaisseaux à antigravité du commandement spatial - 09/2015.

 

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LES NOTES DE REAGAN ET LA FLOTTE DE VAISSEAUX À ANTIGRAVITÉ DU COMMANDEMENT SPATIAL.
par Michael Salla

reagan

Le 13 avril, l’Administration des Archives Nationales a diffusé 250.000 pages de documents concernant le gouvernement de Ronald Reagan. Ça représente des mois de travail avant que les chercheurs aient fini de les recenser.

Nous espérons que cela permettra, entre autres, d’éclairer un commentaire relevé dans son Journal à la date du mardi 11 juin 1985 (page 334) :

« Déjeuner avec 5 savants spatiaux de haut niveau. Passionnant. L’espace est décidément notre ultime frontière, et certaines découvertes en astronomie, etc… font penser à de la science-fiction, mais nous sommes bien dans le réel. J’ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite. »

Je trouve cela curieux parce que notre Navette spatiale peut embarquer un maximum de huit passagers, et cinq seulement ont été construites. Même en chargeant ces cinq navettes et les envoyant toutes ensemble dans l’espace, nous n’arriverions jamais au chiffre de 300 passagers. Reagan avait-il révélé l’existence de programmes hautement classifiés ? C’est apparemment le cas, selon des dizaines d’informateurs des milieux militaires et issus de compagnies privées : le Strategic Command est l’un des dix pôles de commandement dans l’armée américaine; il contrôlerait une flotte de vaisseaux à antigravité qui ont la taille de porte-avions.

Les États-Unis ont structuré leurs forces militaires en instituant dix commandements unifiés, chacun sous la responsabilité d’un général ou un amiral à quatre étoiles, qui dépend directement du Ministre de la Défense. Six d’entre eux servent à couvrir toutes les régions géographiques du globe.

A cela s’ajoutent quatre commandements opérationnels dont les activités militaires spécialisées sont orchestrées par un unique « Combatant Commander ».
De 1985 à 2002, le « Space Command » a été responsable des opérations militaires dans l’espace.

En juin 2002, le « Space Command » a fusionné avec le « Strategic Command », qui a la charge des activités spatiales comme la gestion des satellites, des missile, du nucléaire, et des missions de renseignement.

air force

Les rumeurs selon lesquelles les États-Unis possèdent une flotte ultra-secrète de vaisseaux à antigravité circulent depuis des années.

Le 23 mars 1993, lors d’une réunion destinées aux ingénieurs, organisée à Los Angeles, le Dr. Ben Rich* – ancien directeur exécutif des ‘recherches avancées’ chez Lockheed – a montré une image d’un disque noir se dirigeant vers l’espace et a déclaré :

« Nous possédons maintenant la technologie nécessaire pour ramener E.T. à la maison ».

Des informateurs des milieux militaires et d’autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu’ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravité, comme l’Aurora et le TR-3B.
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* Benjamin Ben Rich, ancien Directeur de la Lockheed Skunk Works l’a admit sur son lit de mort : les visiteurs extraterrestres sont réels et l’armée américaine voyage déjà parmi les étoiles.

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1: « Au sein de la Skunk Works (entité secrète de recherches et de développement de Lockheed), nous étions un petit groupe très cohérent constitué d’environ cinquante ingénieurs et de concepteurs vétérans, d’un expert machiniste et d’une centaine de travailleurs et magasiniers. Notre point fort a été la construction d’un petit nombre d’avions technologiquement avancés de grande classe pour des missions très secrètes. »

2: « Nous avons déjà les moyens de réaliser des voyages parmi les étoiles, mais ces technologies sont gardées secrètes au sein de « projets noirs », et il faudrait un acte divin pour les faire sortir au bénéfice de l’humanité… Tout ce que vous pourriez imaginer, nous savons déjà le faire. »

3: « Nous disposons maintenant de la technologie pour renvoyer les Extraterrestres chez eux. Non, cela ne prendrait pas une vie entière pour le faire. Il y a une erreur dans les équations. Nous savons laquelle. Nous avons maintenant la capacité de voyager vers les étoiles. D’abord, vous devez comprendre que nous n’atteindrons pas d’autres étoiles en utilisant la propulsion chimique. Deuxièmement, nous devons concevoir une nouvelle technologie de propulsion. Ce que nous avons à faire est de trouver où Einstein s’est trompé. »

4: Lorsque qu’il fut demandé à Ben Rich comment les Ovnis se propulsaient, il répondit : « Permettez-moi de vous poser une question. Comment fonctionnent les ESP ? » L’intervieweur a répondu : « Tous les points dans le temps et l’espace sont liés ? » Ben Rich a alors rétorqué : « C’est comme ça que ça marche ! »

Cet ancien directeur de la Lockheed « Skunk Works » savait que l’Ovni extraterrestre de Roswell avait influencé les modèles de maquettes lors de tests de soucoupes top secrètes par l’armée de l’air américaine. Selon un rapport de la CNI News réalisé par Michael Lindemann, un résident duColorado, les données de conception ont été calculées à partir des illustrations médicaux légales et de nombreux témoignages sur l’Ovni de Roswell, fournis par William L. « Bill » McDonald.

Le Dr. Ben Rich a confirmé :

1. « Il y a 2 types d’Ovnis – ceux que nous construisons et ceux que « eux » construisent.

Nous avons appris à la fois des récupérations du crash et des retombées actuelles. Le gouvernement savait et jusqu’en 1969, a pris une part active dans l’administration de cette information. Après la purge par Nixon en 1969, les décisions étaient prises par un conseil d’administration international du secteur privé… »

2. Presque toutes les conceptions aérospatiales « biomorphiques » ont été inspirées par le vaisseau spatial de Roswell – du Kelly’s SR-71 Blackbird en passant par les drones de combat actuels (UAVs, UCAVs) et nos navettes et vaisseaux spatiaux… »

3. Ben Rich pensait que le grand public ne devait pas être informé au sujet des Ovnis et des extraterrestres.

Il estimait que nous ne pourrions jamais supporter la vérité. Ce n’est que dans les derniers mois de sa vie qu’il a commencé à réaliser que le conseil d’administration des sociétés multinationales, chargé de gérer le secret, pouvait représenter un problème plus grave pour les libertés individuelles des citoyens que la présence même de visiteurs extraterrestres.

Qui était Benjamin R. Rich?

Benjamin R. Rich était sorti de Berkeley en 1949 avec un brevet d’ingénieur en mécanique; il était âgé de 25 ans. Il voulait à l’origine devenir médecin. Puis il entra à l’UCLA pour obtenir une maîtrise en aéronautique. Il a rejoint Lockheed en 1950.

En Décembre 1954, Kelly Johnson a intégré ce thermodynamiste de 29 ans dans son département des Recherches avancées, pour un salaire de 87 dollars la semaine. Kelly recherchait un thermodynamiste « de préférence intelligent », et le débaucha de la branche principale parce qu’il avait un casse-tête à résoudre.

Ben Rich commença par travailler sur les problèmes d’admission du Starfighter XF-104. Il fut ensuite affecté aux recherches sur l’U-2, l’A-12, le YF-12, le Sr-71, et le D-21. Dès 1958, il intégra le programme du SR-71. Sa qualification de thermodynamiste l’amena à suggérer que les avions de la classe des Blackbird soient peints en noir, afin de réduire les températures de surface.

En 1975, Rich succèda à Johnson à la tête des Recherches avancées, puis devint vice-président de Lockheed en 1977. Pendant cette période, il engagea ce département dans la création du F-117A.

En 1977, lors du premier vol du XST, Kelly Johnson alors à la retraite lui tapa sur l’épaule et lui cria : « Hé bien, Ben, c’est ton premier avion ! »

En 1984-86, il a assuré la présidence par intérim de la Compagnie Lockheed, puis il est rapidement retourné diriger la branche des Recherches avancées.

En Mai 1990, quand ce département est devenu une compagnie indépendante, Ben Rich en devint le premier président et fut nommé « Chief Skunk. »

Rich a pris sa retraite en décembre 1990, alors qu’une première escadrille de F-117A rejoignait l’Arabie Saoudite pour l’opération Bouclier du Désert.

Ben Rich (avec son équipe du F-117A) a remporté le Trophée Collier en 1989; il fut membre de l’AIAA (American Institute of Aeronautics and Astronautics), dont il avait reçu en 1972 le prix national des concepteurs d’avions, a été sélectionné en 1988 par l’AIAA et la Société Aéronautique Royale britannique comme orateur de l’année des Conférences des Frères Wright. En 1991, il fut élu membre honoraire de l’AIAA. Il publia ses mémoires en 1994, sous le titre : « Skunk Works ».

Ben Rich est mort d’un cancer le 5 janvier 1995, à l’âge de 69 ans. A sa demande, ses cendres ont été répandues d’avion près de sa maison du front de mer sur la côte de Californie à Oxnard. A ce moment précis, un F-117A est sorti des nuages et a salué son créateur d’un battement d’ailes.
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point zero

 

Dans son livre, « The Hunt for Zero Point », l’analyste Nick Cook, du Jane’s Defense Weekly, écrit ceci à propos de l’Aurora : « Depuis la fin des années 80, on s’interroge sur l’existence du successeur secret du Blackbird; il s’agit d’un avion mythique nommé l’Aurora qui serait capable de voler deux fois plus vite et aux limites de notre atmosphère » (p. 14).

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D’autres informateurs, comme Edgar Fouche, ancien contractant du Ministère de la Défense, ont soutenu que l’Aurora, à la suite du Blackbird [ou du SR-71] se compose de deux types d’avions hypersoniques pour aller dans l’espace :
« L’Aurora intègre le SR-75, qui est capable de voler à Mach 5, et sert de vaisseau-mère pour le SR-74, qui peut atteindre Mach 18 et aller placer des satellites dans l’espace. »

Plus spectaculaire, il y a aussi le TR-3B, de forme triangulaire, qui selon Fouche génère un champ électromagnétique intense, lequel réduit son poids de 89%. D’après lui, le TR-3B utilise l’effet Biefeld-Brown (créé par d’importantes charges électrostatiques), puis des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets l’amènent à des vitesses prodigieuses. Ca se situerait bien au-dessus de Mach 18, qui est selon lui la vitesse du SR-74. Fouche affrime que le TR-3B a un diamètre de 200 mètres, ce qui approche la taille d’un porte-avions.

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Des preuves bien établies confirment qu’il existe une flotte secrète d’engins spatiaux à antigravité. Par exemple, cette note étonnante du Président Ronald Reagan, dans son Journal, nous parle d’une navette qui aurait la capacité d’emporter 300 passagers en orbite terrestre. Autre exemple, le 6 août 2007, la NASA a honoré « l’Equipe de Soutien aux Vols Habités » parce qu’elle a permis d’éviter aux vaisseaux de la NASA d’entrer en collision avec des débris spatiaux. Cette équipe faisait partie du Space Command, dont il est notoire qu’il est le principal commandement militaire qui fournit une assistance spatiale à l’U.S. Strategic Command.

« Cette récompense… souligne le soutien exceptionnel que l’équipe nous a apporté pour permettre à la navette, à la Station Spatiale Internationale et à leurs équipages, d’éviter les dangers des débris en orbite, les collisions de vaisseaux, et autres accidents potentiels qui sont inhérents aux manœuvres en orbite. »

Ce qui explique les engins que les astronautes ont vu les accompagner. Ils ont dit que sans aide, ils étaient fichus !

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Toutefois, le public n’a pas connaissance que l’USAF Space Command ni le Strategic Command disposeraient d’engins spatiaux qui puissent assister la Navette ou l’ISS. Normalement, ces vaisseaux de la NASA devraient nécessiter des corrections graduelles, lesquelles prennent beaucoup de temps, et ne permettraient pas de faire face à des dangers imminents.

Selon Ted Twietmeyer, cette récompense est la preuve que des engins à antigravité existent, qui sont dotés d’armes à rayonnement de particules avec lesquelles ils peuvent détruire les débris qui se trouvent sur le chemin des vaisseaux de la NASA.

Cette idée d’une flotte secrète, disposant de technologies avancées, capable d’intervenir pour assister la Navette et l’ISS, est également renforcée par le témoignage d’un ancien employé de la NASA.

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Clark McClelland a travaillé comme opérateur pour plusieurs lancements de la Navette de 1989 à 1992. Il a déclaré avoir vu embarquer un passager immense, qui devait faire 2,5 à 2,80m et à côté de lui un engin à antigravité en forme d’aile delta.

McClelland connaissait tous les astronautes de ce programme de la NASA, et il pense que ce personnage en combinaison spatiale était un extraterrestre. On ne peut écarter la possibilité que cet être, ainsi que l’engin, aient fait partie d’une mission secrète en relation avec la Flotte de l’Espace, sous l’autorité de l’U.S. Strategic Command.
http://www.stargate-chronicles.com/site/

McClelland_shuttle_alien_smallL’idée d’une flotte secrète a été aussi relancée par le hacker britannique Gary McKinnon, qui risque d’être extradé aux Etats-Unis pour avoir fouillé dans les ordinateurs de la NASA et de l’armée.

hacker

McKinnon avait annoncé qu’il avait eu accès à des dossiers secrets du Pentagone et de la NASA, dont une ‘liste d’officiers non-terrestres’, ainsi qu’une directive qui évoquait des ‘transferts de flotte à flotte’.

Se pourrait-il que le géant, accompagnant deux autres astronautes, fasse partie d’un groupe d’officiers ‘non-terrestres’, qui peuvent apporter leur soutien aux programmes de la Navette, sous l’égide du Space Command de l’US Air Force?

Si on considère ces preuves, émanant de diverses sources, la note du Président Reagan rédigée en 1985 dans son Journal apparaît comme une reconnaissance évidente d’un programme spatial secret qui permet de transporter et de prendre en charge des centaines d’astronautes. Cette note montrerait qu’il a reçu un ou plusieurs briefings sur ce sujet.

D’autres indices importants peuvent émerger des 250.000 pages de documents récemment déclassifiés. L’essentiel serait que le public soit informé des technologies d’antigravité qui ont été développées dans le plus grand secret, et qu’on utilise depuis des décennies pour envoyer des astronautes militaires dans l’espace. » –

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Samedi 9 Mai 2009

Michael Salla a poursuivi dans The Examiner son article du 19 avril sur le journal de Ronald Reagan, la NASA, et les programmes secrets. Il titre aujourd’hui : « Le déclin de la NASA et la flotte qui maîtrise l’antigravité ».

« Le Président Obama n’a toujours pas nommé le nouvel administrateur de la NASA. Un délai qui n’est pas sans précédent. Le Président Bush, dans la première année de son mandat, avait attendu jusqu’en Novembre avant de nommer Sean O’Keefe à l’époque.
Si l’on tarde à désigner le remplaçant de Michael Griffin, c’est peut-être que des décisions importantes doivent être prises sur des opérations programmées, alors que l’administrateur intérimaire, Christopher Scolese, est toujours en place.

Des décisions cruciales ont déjà été prises pour réduire les effectifs lorsque la Navette Spatiale cessera de fonctionner, en 2010, malgré une demande du Congrès visant à étendre sa durée de service.

A noter également que les responsables de la NASA ont décidé le mois dernier de ramener de six à quatre le nombre d’occupants dans la capsule du programme Constellation – la solution de remplacement pour la Navette spatiale.

Constellation doit servir à emmener des astronautes vers la Lune et Mars, et assurer l’entretien de l’ISS.

Le retard d’Obama reflète l’idée déjà très répandue que les affaires de la NASA ne font pas partie de ses priorités. On peut constater que le budget de la NASA n’a cessé de diminuer depuis la fin des missions Apollo au début des années 70. Le déclin de la NASA est inévitable. Si les rapports des informateurs sont corrects, alors la NASA ne serait en fait qu’une couverture servant à dissimuler les activités d’une flotte hautement classifiée, qui maitriserait l’antigravité, et serait utilisée pour placer des centaines d’astronautes militaires dans l’espace.

Comme je l’ai précédemment évoqué, le Président Ronald Reagan avait fait une allusion à cette flotte dans son journal, à la date du 11 juin 1985, en écrivant : « J’ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite. »

De nombreux informateurs et des experts aéronautiques ont déjà révélé divers aspects des technologies avancées d’antigravité, grâce auxquelles, selon les termes de Ben Rich (ancien directeur exécutif de la branche des Recherches avancées de Lockheed), « nous serions capables de ramener E.T. à la maison ».

Si le commentaire de Reagan et les témoignages des informateurs sont fondés, nous avons vu dans la 1ère partie que cette flotte spatiale est gérée par l’U.S. Strategic Command.

Le nom de code de ce programme secret est ‘Solar Warden’. L’existence de Solar Warden, si elle est vérifiée, prouverait que la NASA n’est qu’un programme de couverture qui utilise les technologies obsolètes de propulsion avec des fusées.
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David Wilcock parle de Solar Warden ici :

Extraits :
Histoire du programme spatial secret et les différentes factions :

La faction « Solar Warden » : Le premier programme gouvernemental secret qui à été développé était « Solar Warden ». Le but de ce groupe était d’être la force policière du système solaire. Ils inventoriaient les différentes races, car il y a beaucoup d’extraterrestres partout. Les Nazis ont décidé de s’allier avec le groupe le plus fort, l’Alliance des Draconiens négatifs, appelée la Flottille Noire…………

Une des cinq principales factions dans le Programme Spatial, nommée Solar Warden, est maintenant alliée avec les Avians Bleus et ils travaillent avec l’Alliance sur la terre, jamais la Cabale………
http://vol370.blogspot.fr/2015/05/0805-david-wilcock.html
——————————
Dès lors, le Programme « futuriste » de Constellation serait lui aussi une couverture parce que nous aurions déjà un programme spatial capable de missions interplanétaires utilisant des technologies de propulsion par antigravité.

La première référence à Solar Warden date de Mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs du forum Open Minds, a révélé son existence et ses moyens : tous les programmes spatiaux ne serviraient qu’à occulter la réalité de cette flotte. Nous disposions, dès 2005, de huit vaisseaux, utilisés comme des porte-avions, et 43 « protecteurs » – qui sont des avions spatiaux.

L’un aurait été récemment perdu, suite à un accident dans l’orbite de Mars, alors qu’il tentait de ravitailler la colonie multinationale. Cette base aurait été établie en 1964 par une équipe américano-russe.

Une autre source qui a évoqué Solar Warden est un informateur anonyme du Projet Camelot, nommé ‘Henry Deacon’, qui a travaillé comme physicien aux laboratoires Laurence Livermore.

Les initiateurs du Projet Camelot connaissent sa véritable identité; ils ont vérifié ses qualifications et l’ont estimé crédible. Selon eux : « Henry Deacon a confirmé qu’il existe une vaste base sur Mars, dont la maintenance est assurée par une flotte spatiale alternative (nom de code SOLAR WARDEN). »
http://projectavalon.net/lang/fr/henry_deacon_fr.html

no names

D’après l’ouvrage du journaliste William Arkin sur les noms de codes militaires, qui attribue deux lettres spécifiques aux programmes militaires secrets, Solar Warden relève d’un Commandement militaire unifié. Ça voudrait dire que Solar Warden est contrôlé par le Strategic Command, ainsi que nous l’avons déjà exposé.
http://www.democracynow.org/2005/1/27/code_names_a_look_behind_secret

Si Solar Warden a permis d’établir une colonie sur Mars, en utilisant des systèmes de propulsion à base d’antigravité, ça pourrait expliquer pourquoi les recherches sur l’antigravité sont devenues hautement classifiées vers le milieu des années 50.
Cela expliquerait également pourquoi les chercheurs civils qui étaient parvenus à répliquer les technologies d’antigravité furent brutalement écartés ainsi que c’était arrivé pour Otis T. Carr en 1961.

Cette mise à l’écart a été révélée pour la première fois en 2007 grâce au témoignage de Ralph Ring, l’ancien fidèle de Carr.

Les témoignages d’informateurs et d’experts se multiplient, qui attestent de l’existence d’un tel programme spatial. Il permettrait d’envoyer des centaines d’astronautes militaires dans l’espace.

Si Solar Warden existe, ou s’il s’agit d’un programme militaire classifié de même type, alors on peut comprendre pourquoi le Président Obama tarde à nommer un nouvel administrateur à la tête de la NASA. Le déclin persistent de la NASA depuis la réussite d’Apollo ne met pas en cause la compétence et le savoir faire des personnels de l’organisation. La réalité politique serait que des programmes militaires hautement compartimentés empêchent que les technologies avancées d’antigravité soient versées au secteur public pour des applications commerciales.

Constellation, le nouveau Programme « futuriste » de la NASA, avec ses technologies obsolètes des années 40, n’est qu’un programme de couverture et ne mérite pas d’être financé. Il serait préférable que le public soit informé des réels programmes menés par l’armée américaine et des compagnies privées qui utilisent des technologies avancées d’antigravité, et nous devons savoir comment ils les ont obtenues. »

http://vol370.blogspot.fr

 

Prototype de vaisseau spatial de 8000 passagers

D’après le témoignage d’une américaine resté anonyme, son mari, qui était capitaine dans la marine américaine puis promu au poste de vice-amiral, lui dévoila « qu’ils » sont en possession d’un prototype de vaisseau spatial, avec une capacité de 8000 passagers ! (le nombre est correct).

Il aurait bénéficier de technologies furtives, son système de propulsion ainsi que son carburant reste quand à lui secret. Le vaisseau serai stationner derrière la Lune pour ravitailler une base lunaire.

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Selon cette même personne, depuis les années 80, le gouvernement US possède des SR-71 modifiés pouvant secourir la navette spatiale et faire des trajets vers la Lune et Mars, il y aurait aussi deux triangles ( en vol parallèle, l’un derrière l’autre ) faisant parti d’un ensemble de 10 navires, tournent autour de la Terre pour mesurer certains fréquences émis par les Humains.

Vaisseau spatial Nautilus et Plateforme spatiale top secrète

Le Nautilus est un vaisseau spatial militaire secret de forme delta arrondie qui fonctionne par impulsions magnétiques. Il opère à partir du nouveau siège non reconnue de l’US Space Command, basé profondement sous la plus haute montagne des Wasatch Mountains – Utah.
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Il fait deux fois par semaine des allers retours jusqu’à la station spatiale secrète du renseignement militaire, elle est situé dans l’espace lointain depuis 1968, et armés par des Etats-Unis et l’URSS (aujourd’hui le SIC) avec des technologies de pointe.

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Le Nautilus est également utilisé pour des opérations de surveillance, grâce à sa capacité à pénétrer l’espace aérien des pays ciblés par le haut de l’espace profond, une direction généralement pas attendu.

Il est fabriqué conjointement par la division des projets spéciaux Phantom Works de Boeing, près de Seattle et de l’UE Airbus Industries consortium anglo-français.

Au cours d’un Voyage à Washington il y a plusieurs années, j’ai eu une conversation avec un ancien dirigeant de Boeing qui a travaillé dans les laboratoires Phantom Works, Boeing’s Black projets de division (en gros l’équivalent de Skunk Works de Lockheed). L’exécutif a confirmé ce que j’avais appris plus tôt à partir d’un initié de renseignement: que Boeing avait fait équipe avec Airbus Industrie en Europe pour fabriquer le Nautilus.

Source : Richard Boyland / Ufonetwork

Info complémentaire

D’après un témoin anonyme il y aurai 7 stations orbitales. La première a été conçue dans les années 60 et la dernière est opérationnel depuis 2007.

La dernière station est composé de protections à effet miroir, et au centre un ordinateur hors du commun qui indique des informations inconnues.

Cette station est commandé depuis la terre par une » agence top secrète « .

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Copyright les Hathor © Elishean/2009-2015/ Elishean mag

 

Source: http://www.elishean.fr/?p=49705

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